𝑳𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒊 𝒅𝒆 𝒎𝒂 𝒎𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒓𝒆 𝒂𝒎𝒊𝒆

20.𝓙𝓪𝓷𝓮

Je me demande ce qu'il c'était passer pour qu'il parte loin, c'est alors que mon cerveau fit un tour dans ma boite crânienne et je compris qu'il était partie à cause du baiser, je savais que cela avait un rapport avec moi, mais je ne voulais pas le croire, j'avais, sans le vouloir mais peut être fin au couple de ma meilleure amie, elle pleurait dans mes bras et je sentais un pincement dans mon cœur et les remord qui me grimpait le long du corps pour m'envahir me faisant comprendre que j'avais fait une anormale erreur et que je m'étais laisser importer par mes sentiments et mon manque d'amour.
C'est alors qu'elle se redresse et j'essaye d'adopter un air normale mais elle fronce les sourcils avant de se pencher sur le bord de la table basse et de prendre un mouchoir, elle renifle et je ne dis rien le silence signifie que je ne sais absolument pas ce que je devais lui dire.
« Il est partie car il a dit -j'ai besoin de temps et de prendre l'air- m'a t-il dit, je ne sais pas ce qui cloche dans notre couple je te jure... »me dit-elle avant de reniflée encore une fois et s'essuient le nez avec finesse, je me racle la gorge en espérant que je pourrais l'enmenée que une fois qu'elle pourrait accepter même si ce n'était qu'un mensonge.
« Peut être qu'il est surmené a cause du travail ? Dis-je en espérant que ceci n'est pas l'air suspect, elle me regarde un instant et ne dit rien.
-Peut être, mais habituellement il me l'aurait dit. »Dit-elle en essuyant une larme à nouveau, je me redresse je ne sais pas quoi dire et je me sens nerveuse j'espère juste qu'il ne crachera pas le morceau à cause des remords à condition qu'il en est, c'est lui qui m'a embrassé après tout je peux très bien me défendre comme ceci. Je me sens impuissante, je ne sais pas quoi lui dire, je suis obliger de me noyer dans un mensonge comme celui ci je ne peux me résoudre à tout dire, et je sens bien qu'un jour tout ce sera.
« Je suis désolée Jane, je me plains de mon mari et toi ça va au moins ? Me demande t-elle semblerait-il inquiète.
-Oh oui ça va, c'est juste que... Je réfléchie un instant, C'est juste que j'ai embrasser mon patron. Elle me regarde avec de grand yeux, elle entre ouvre la bouchée pour montrer qu'elle est bien évidemment choquée de cette nouvelle.
-Tu es sérieuse Jane ? Me demande t-elle pour être sûr que je ne mente pas, je ricane.
-Je suis sérieuse, mon patron m'a littéralement embrassé dans l'ascenseur pendant que nous descendions tout deux. Dis-je en soupirant, je suis vraiment perdu, est ce que je vais perdre mon job ? Malgré tout je ne le souhaite pas.
-Mais il t'a dit quelque chose avant pour que...? Me demande t-elle ahurie, je soupire une énièmes fois.
-Il m'a dit qu'il me trouvais très belle et... il n'a pas finis sa phrase qu'il m'embrassait déjà, dis-je avec désespoir, mais je pense que tout ceci était une erreur phénoménale, et si je ne m'était pas arrêter pour lui dire de me poser on serais surement aller plus loin... »dis-je en me grattant l'arrière de la tête un peu intimidée par cette avoeux, je savais qu'elle ne me jugerais pas, mais elle me ferais à la place un sermon sur le faite de ce contrôler et toute les autres paroles que l'ont sort à des amies dérivant sur un chemin glissant.
« Écoute, Jane, c'est pas moi qui vais te juger tu le sais bien mais, tu aurai dû peut être te contrôler aussi non ? Me dit-elle oh tiens comme c'est surprenant ! Elle me dit de me contrôler venant de ça part c'est un peu culotté...
-Écoute je me suis parfaitement contrôler, et je trouve ça déplacer que ce soit toi qui me le dise alors qu'avant Caleb tu te tapais pas mal de mecs ma belle. » dis-je en révélant une choses qui pour elle était oublier mais pas pour moi, combien de fois j'ai dû la ramasser à la petite cuillère parce que madame n'était pas contente ou qu'elle était tomber enceinte deux fois ! Et elle avait dû avorter deux fois parce qu'elle avait trop la frousse d'assumer ses conneries, tout ceci personne ne le sais excepté moi, ses yeux s'arrondissent mais reprenne une taille normale assez rapidement.
« Tu as raison, c'est vrai que je ne devrais rien te dire toi au moins tu as le cran de le stopper ce que je n'ai jamais su faire avec mes anciens patrons.. dit-elle attristée, je soupire et la prend dans mes bras j'y suis aller fort...
-Je suis désoler j'y suis aller fort déjà que ça va pas fort. Dis-je à voix basse en posant ma tête sur la sienne et la serrant contre moi dans une accolade désespérée.
-Ce n'est pas de ta faute, tu as raison de me dire ça j'etait limite entrain de te faire la reproche alors que c'est toi qui m'a déjà accompagné faire des teste de grossesse même quand j'avais appris pour mes deux grossesses non désirer tout ça c'est toi qui était là quand j'ai fais mes conneries, je peux pas te reprocher ta conduite t'es loin d'être comme moi... j'ai juste peur que ça t'arrive aussi c'est tout, dit-elle en relevant la tête pour me regarder avec un regard inquièt, je souris faiblement.
-T'en fais pas pour moi, tu as été mon exemple de tout ce qu'il ne faut pas faire, dis-je en ricanant elle ricane aussi mais elle soupire de tristesse à la fin, je comprend qu'elle sois triste je suis presque dans le même état qu'elle mais c'est totalement différent, lorsque je la regarde je rêve de lui dire que c'est de ma faute tout ceci et que j'ai des remords, je veux tout lui dire mais c'est impossible pour moi j'arrive pas à trouver les mots et je sais que je vais la perdre à tout jamais si elle savait cela alors pas pur égoïsme je ne lui dirais rien car j'ai beaucoup trop peur de la perdre.
-Tu pense à quoi ? Jane ? Me demande t-elle je sors de mes penser et là regarde fixement, je souris faiblement je ne sais pas quoi lui dire.
-Rien t'inquiète pas, il faut juste que la prochaine fois j'évite de m'embrasser mon patron ! Dis-je en ricanant, je marque un temps de pause avant de dire.
-Je dois boire un un peu d'eau je peux aller me servir ? Demandais-je, elle hoche la tête toujours avec son mouchoir à la main entrain d'essuyer son nez dégoulinant, je me lève et déglutis tout ça me met beaucoup trop de pression je ne sais quoi faire, ni comment réagir, et je ne peux penser à autre choses que Caleb qui part sous les cocotiers ce dorée la pilule.
Il faut que je le vois et que nous parlions tout deux.