salut
je suis ici
enfaîtes
tu
tu sais que-
putain
tu aurais pu être tellement plus que ce que tu es aujourd'hui et chaque fois que j'y pense, ça me déchire. tes valeurs étaient tellement belles qu'elle m'éblouissait. j'en étais tellement fière, j'en parlais à tout le monde. tout chez toi m'impressionnait, j'adorais tout chez toi. j'adorais absolument tout.
parfois je te regardais et je me disais
comment?
comment une personne avait réussi à élever une âme, un être, un être humain, aussi bon, aussi bien dans un société rempli d'imperfection? d'haine? comment pouvait-on rendre une personne aussi belle dans un monde où la langue principale était la critique négative?
je me suis tellement posé cette question, que finalement tu as répondu en devenant comme tout les autres.
j'ai parlé trop vite.
c'est pour ça que je n'arrivais pas à penser à autre chose, passer à quelqu'un d'autre. puisque je me disais que c'était impossible que des valeurs changent aussi rapidement. aujourd'hui, j'ai réalisé que tu n'es plus le même mais parfois, encore là, ça fait mal d'y penser.
l'espace d'une seconde quand tu me regardes, par moment, j'ai l'impression de te retrouver. j'ai l'impression que tu oublies ce que tu veux offrir au monde quand tu me regardes. que rien existe, à part moi.
et ça me rappelle ce que l'on était.
tu me manques
même si je sais que tu n'existes plus vraiment.
je t'ai vraiment aimé. je t'ai aimé avec tout ce que j'avais. tout ce que je pouvais donner. je n'y ai jamais pensé deux fois.
M
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sugar
Ngẫu nhiên« je peux toucher? » je fixais ma cicatrice sans rien dire. il y avait quelqu'un qui avait déjà essayé d'imprimer ses mots sur mon corps. ça avait fait mal et je m'étais attaché à lui aussi. je pris une grande respiration: « si tu veux. » je voula...
