Corps souillé.

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Ton fantôme bien trop présent.
Tout comme mon envie de l'effacer.
Ton sourire arrogant,
Les marques que tu laissais,
Sur le corps que je t'offrais.
Tes mains impatientes serrant,
Ta proie qu'était mon cou.
Forçant l'ouverture de mes jambes,
Une nouvelle fois sans mon consentement.
Sous tes baiser plus pressant que doux,
Qui ne faisait que de précipiter mon enterrement.

Recueil de poèmes.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant