Tu me cherches, tu m'allumes
Alors ne te plains pas
Je sais que tout ce que tu dis, tu le dis comme ça
Mais ces paroles me consumentÀ l'aurore du jour, je vois l'océan
Mon coeur se perd dans le néant
Je trempe mes pieds dans l'écume
Le froid de l'eau et ton caractère me pétrifie tel une enclumeJe me sens couler
Tu n'essayes même pas de me rattraper
Mais de toute façon, ça m'est égal
Car je préfère mourir que de n'avoir que cette relation amicale
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Quotidien du bus
PoetryLes trajets de bus, la pluie battante sur les vitres, les écouteurs vissés dans les oreilles, le flow de Hayley, Hasley et Alessia dérivant sur du pop-rock, les inconnus côte à côte, les effluves de chewing-gum mêlées aux cigarettes et aux parfums...