Never Enough (Drarry) [one shot]

Jamais assez

C'était devenue notre petit rituels.

Se retrouver dans les toilettes de Mimi le soir, apres le repas. Quand personne ne nous verais.

Tout ça a commencer la quatrième année, lors du tournois de la coupe de feu. Tout le monde était contre moi, parce que j'ai était sélectionné alors que je n'avais même pas mis mon nom dans la coupe.

Flashback:

Je suis aller me réfugier dans les toilettes de mimi, et je me suis laissé aller. Tout est sortie. Toute les larmes possibles. Et alors que j'étais dans un coins, ils sont rentraient. Enfin surtout lui, sans défense, sans masque. On pouvais lire tout de lui, comme un livre ouvert. Monsieur Malefoy est donc gay. Je ne savais qui était l'autre, mais quand il ma vue il avais tout de suite laisser Malefoy en plan, qui se retournas et me vis par la suite.

Nous étions tout deux dans une position délicate. Il me voyais "faible" et j'ai découvert un de ces secrets.

A vrai dire, nous devions être tout deux aussi mal allaise que l'autre, puisque aucun de nous deux bouger, ni parlais. Bon faut bien que un de nous y aille:" - tu ne te moque pas de moi ? Dit je

- je ...eu... Qu'a tu vue exactement ?

- toi et un autre mec s'embrasser très sensuellement. C'est tout.

-merde.. Murmura t'il, tu.. Eu...sa ne te choque pas ?

- pourquoi ? Sa devrais ?

- et bien...

-... Écoute Malefoy, tu ne dis a personne que tu ma vue pleurais comme un gros faible et je ne dis a personne que tu aime les garçon, comme ça le problème est réglé ?

- oui mais.. C'est pas ça le problème, tu a vue qui c'était ? Enfin je veux dire pourquoi sa ne te choque pas ?

- attend ... On est vraiment entrain de parlais sans s'insulter ?

- faut croire, mais vue les circonstance ce n'est pas vraiment le moment, répond a mes questions potter!

- non je ne sais pas qui est l'autre mec, et non sa ne me choque pas... Je baissa le ton de ma voie et murmura, moi aussi je suis gay de toute façon.

- j'ai pas compris la fin de ta phrase potty.

- moi aussi je suis gay de toute façon, voila tu est content ? "

Son aire hautains disparut, et il s'approcha de moi pour s'assoir. Nous avions continuer a discuter quelque temps. On parlais de tout est de rien, mais aussi de mec, ou plutôt se qu'on trouvais beau.

Fin flashback

C'était comme ça que sa avais commencer. Et aujourd'hui je voulais l'inviter au bal des sorciers. Mais j'avais peur. Peur de sa reaction. De la reaction des gens. De mes amis. De ses amis. Des professeurs. Des autres école. De tout.

Nous n'étions pas ensembles, seulement amis, mais je voulais tellement plus. Se n'est jamais assez pour moi nos conversations. Je voudrais tellement un câlin de lui mais je n'est que des accolades. Je ne sais même pas se que lui récent. Bon aller courage Harry, tu lui demande :" -Hey, Harry! Désolé du retard, Pancy ne voulais pas me lâcher.

- oh, Dray. Pas de problème.

- ça va ? Tu a l'aire dans la lune.

- je...je réfléchissais.

- t'en a jamais assez de réfléchir ? Sa t'arrive souvent c'est temps si.

- oui, je sais... Dit je voulais savoir si...

- .... Toi aussi tu aimerai qu'on ne fasse plus semblant dans les couloirs ?

- oui mais ...ce n'était pas ça... Je voulais juste...

- ... J'en ai pas parlais si c'est ça.

- NON! Drago, laisse moi terminé ! S'il te plait.

- oui pardon. Je t'écoute."

Je voulue reprendre mais rien ne voulais sortir. Je pris une grande inspirations, et c'est partie:"- je voulais savoir si tu avais un cavalier pour le bal des sorciers ? "

Il me regarda interrogateur puis je repris:"- parce que... Si tu n'a personne, je pensais, enfin si tu veux bien, je pensais qu'on pourrais...

- Harry. Stop, je t'arrête. Il n'y a que très peu de monde qui savent pour mon homosexualité. Et je n'est pas envie que tout Poudlard sois au courant et que sa tombe au oreille de mon père. Ce n'est pas du tout contre toi, au contraire j'aurai accepter volontier mais....

- ...il y a ton pere. Je vois. C'est toujours comme sa. Tu te renferme sur toi même a cause de ton pere. Si tu pense que je t'inviter parce que tu es le seul a savoir que je suis gay et que je ne connais personne d'autre de gay , tu te trompe. C'est bien plus que sa. J'en ai jamais assez. Nos conversation ne me suffisent plus Dray. Nos accolade non plus."

Il y eu comme un grand silence. Puis Drago se retourna pour partir et m'annonça qu'il y allais deja avec Pancy. Il partie et je retourna au dortoirs. Une fois dans ma chambre les larmes s'écharpèrent sans que je les retiennes. Elle glissais sur mes joues comme un ruisseaux dans la montagne. Je ne savais même pas si j'allais le revoir avant le bal .

* * *

Le jour J était arrivé. Je ne l'avais pas revue depuis la dernière fois, excepté en cour et dans la grande salle. J'ai essayer de lui faire signe, je lui est froller la mains plusieurs fois dans les couloirs, mais rien.

Toute les filles c'était habillée de belle robe et les hommes avais tous de beau costume, sauf Ron, son costume était vraiment laid.

J'attendais. Je ne sais pas se que j'attendais mais j'attendais. J'espère qu'il est changer d'avis. Je vis Pancy arrivé, et se diriger vers Zabinie. Faut croire qu'il m'avais mentis sur sa partenaire.

Après une demi-heure d'attente, je le vie. Il était magnifique. Je ne fixer que lui. Il passa a coté de moi et se dirigea vers une serpentard. Se qui me fis extrêmement mal.

Les musiques s'enchainer, ainsi que les dances. Je voulus partir quand dans un coins du couloir on me tira. C'était lui :"- tu ne pensais pas partir sans m'offrir au moins une dance.

- pourquoi je t'en offrirais une alors que tu ma éviter pendant deux semaine et toute la soirée.

- je ne t'éviter pas. Je voulais te faire une surprise.

- quel surprise ? Tu ma fais plus de mal qu'autre chose! "

Une musique au piano commença. C'était un slow. Une femme commença a chanter. Une chansons d'amour magnifique.

Il me tendu sa mains quand la femme chanta "take my hands" . Et je ne me fis pas prier. Je lui pris la mains, mis l'autre sur son épaule, et il mis son autre main a ma taille. Nous commençons a dancer se slow, seul.

Plus la musique avancer et plus nous nous rapprochions l'un de l'autre . Jusqu'à être l'un contre l'autre, nos têtes chacune dans le coue de l'autre.

Juste avant la fin de la chansons, nous levions nos tête et quand nos regard se croisèrent, quelque chose se passa. Nous venions de tout comprendre.

Mais ce n'était jamais assez. Et nos lèvre se frôlèrent, puis le contacte fue délicat pour se transformais en baisers d'amours. Un amour que l'on croyais cacher.

Mais lors de ses derniers instant avant de nous enfuir dans les toilettes de mimi, nous avions était vue, sans le savoir. Quelqu'un qui pourrais tout révélé a tout moment. Espérons juste que notre secret ne sois pas révélé. De toute façon pour nous il n'y a jamais assez.