Monsieur Anderlecht ?

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Je préviens tout de suite il risque d'y avoir plus de fautes que d'habitude je l'ai relu assez vite.
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J'étais pétrifiée devant tant de beauté, le château qu'occupait Lucas et ses vampires était très beau et époustouflant aussi mais avec le maître des lieux devant soi avait un côté surnaturel et le décors paraissait logique. Alors qu'ici, j'avais beau me trouver au côté du maître vampire en question, ce n'était pas la même chose. J'aurais  presque pû me prendre pour une princesse si tant de détails ne s'était pas mis au milieu du passage en me rappelant que j'avais une pauvre vie.

Pendant que j'étais dans mes songes, Lucas lui n'a pas bougé, je suis toujours dans ses bras où j'aimerais secrètement rester une éternité. Et c'est quelques secondes après y avoir pensé qu'il me dépose sur le magnifique parquet.

-Je vais ranger nos affaires, faits connaissance avec les lieux si tu le souhaites et tu trouveras tout le nécessaire pour te rafraîchir dans la salle de douche si tu en éprouve le désir.

Je le remercie et part à la découverte de la suite que nous allons occuper pour une durée indéterminée.

J'entre dans la pièce dont me parlait Lucas tout a l'heure et je trouve effectivement plusieurs produits déposés sur le plan de toilette, monsieur avait tout prévu a ce que je vois.

Lorsque je sort de la pièce je vois Lucas finir de ranger nos affaires ou du moins le peu que l'on a pû emporter.

-Quelle est le programme ?

-Surprise, dit-il d'un ton malicieux ou s'ajoute un de ces éternel sourire en coin.

Et pour le coup je dois avouer que surprise, je le suis. Lui, le grand Lucas,  faire une surprise ?

-Toi ? Faire une surprise ? Je lui dis incrédule.

Ce que je dis le fait rire puis il sourit de nouveau. Je ne trouve pas ça drôle moi, enfin un tout petit peu, petit peu. Et je part dans un rire guttural. Je me calme directement quand je le vois ouvrir la bouche pour prendre la parole, et j'écoute attentivement ce qu'il me dit.

-Ça m'arrive parfois de faire des surprises ne sois pas si étonnée. Tu sais, je suis une personne normale.

-Normal, normal, pas si normal que ça.

-A une exception prête, me dit-il en laissant apparaître une de ses canines.

Je décide de le charier et je simule un malaise, et je ne l'entend même pas se déplacer tellement il le fait vite. Je n'entend rien sauf les battements de mon cœur. D'un coup je sens une étrange chaleur recouvrir ma bouche et je comprend qu'il vient de déposer ses lèvres sur les miennes.

J'ouvre brusquement les yeux pour le voir me regarder avec un amusement non dissimulé et le sourire qu'il affiche ne fait qu'augmenter mon trouble. Il quitte mes lèvres et prononce,

-Alors Élisa, bon réveil ? Me demande-t-il en ayant le culot de me faire un clin d'œil.

-Je...Euh...je... Je balbutine, atrocement gênée.

Il pouffe, et je lui tape l'épaule. Il n'avait pas a faire ça !

-Arrête de rire idiot ! Je prononce, ce qui malheureusement a l'effet inverse de celui escompter, cela le fait redoubler ses éclats de rire.

-C'est tellement drôle tu verrais ta tête ! Allé arrête de bouder, il soupir et ajoute, on ne peut pas rire avec toi.

-Effectivement ça ne me fait pas rire, je réplique.

J'essaie de mettre de côté ce qu'il vient de se passer, dans un recoin de ma tête, j'aurais bien le temps de me tracasser plus tard. Et je me dépêche de changer de sujet.

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