Assistant Personnel (Tome 1)

Chapitre 6

Il tournait et virait dans son lit, n'arrivant pas à oublier les images qui lui revenait en mémoire. Deux heures s'étaient écouler et il ne trouvait toujours pas le sommeil. Il décida de se lever et d'aller allumer la télévision.

Rien ne lui donnait envie, même le match de foot était d'un ennuie. Il coupa l'écran pour aller sur son ordinateur. De retour dans sa chambre, il tira les rideau et constata que le temps allait bien avec son moral du jour. Le ciel était gris et le vent soufflait assez fort en vu des branches de cerisier qui se balançaient vigoureusement. Il prit place à son bureau et alluma son PC.

Midi était passer depuis un moment. Il ne s'était pas lever pour aller manger, n'ayant pas vraiment d'appétit. Toujours sur son ordi, il taper sur les touches, écrivant des codes sans vraiment savoir à quoi il lui servirait plus tard.

Une petite notification s'afficha dans le coin droit de son écran, lui indiquant un nouveau message dans sa boite mail. Il cliqua dessus et grimaça en constatant qu'il venait de son travail. Etes-ce le blond qui le lui envoyait? Il se désespérait lui même à penser cela et ouvrit le courrier. C'était une convocation pour une réunion des responsables de service qui aurait lieu le lendemain à 8h00 dans la salle de réunion 3 pour discuter du projet ARO. Il ne voyait pas vraiment pourquoi ce mail lui avait été envoyer. Etant un simple assistant, il n'avait pas vraiment l'autorisation de participé à ces réunions. Il décida d'envoyer un mail en réponse, mais se ravisa lorsqu'il vit l'adresse de messagerie inscrit dans le cadre du contact. C'était bel et bien lui qui le lui avait envoyer.

Au moment où il allait fermer le mail, il remarqua une pièce jointe peu commune. Elle n'était pas indiquer dans le courrier et serait passer inaperçu s'il n'était pas aussi pointilleux sur les détails. Il hésita à l'ouvrir. Par mesure de sécurité, il passa par une plateforme sécurisé hors de son réseau privée. Il l'avait créer il y à un an, quand une fille le harcelait et lui envoyait des messages toute les dix minutes. Quand il l'ouvrit, il fit une nouvelle grimace, constatant qu'il ne s'agissait que de son planning pour la semaine. Enfin, celui du blond plus particulièrement. En vu de toute les réunions et de tous les rendez-vous à l'extérieur qui y était inscrit, Sasuke voyait déjà toute les nuits blanches qu'il allait passer. Si son patron avait autant de chose à faire, lui devrait se charger des contrôles et des vérifications journalières. Il en était déjà fatigué.

Il lut tous bien en détail pour pouvoir le retenir avant de commencer la semaine et vit en bas de page un petit mémo.

- "Soit là à 6h00"

- Bah voyons, soupira le brun.

Il ferma le mail après avoir une nouvelle fois jeter un œil au planning. Il avait une très bonne mémoire et c'était bénéfique pour son travail. C'est la raison pour laquelle il était aussi douer dans son domaine. Mais quand il se retourna vers son lit, sa superbe mémoire lui renvoyait des images qu'il préférerait oublier. Toujours assit sur la chaise de son bureau, mais tourner vers son lit, il ne savait plus quoi faire pour occuper son temps. Il finit par se lever, aller s'habiller et quitta son appartement pour rejoindre le métro.

Encore une station et se serait son arrêt. Il se demandait encore ce qu'il lui avait prit de sortir de chez lui, surtout pour aller à son travail un dimanche alors que l'immeuble devait être fermer. Il sentit la rame ralentir et les portes devant lui s'écartèrent. Après tout, maintenant qu'il y était il n'allait pas faire demi-tour.

En arrivant devant les grilles fermer de l'enceinte, il se demanda s'il n'était pas stupide. Un très profond soupire lui échappa et une petite voix sortit d'un boitier s'adressa à lui.

- Bonjour Uchiha Sasuke. Merci de passer votre bracelet devant le lecteur.

Il reconnut la voix de l'intelligence artificielle de la salle des serveurs. C'est vrai qu'il n'avait jamais vraiment fait attention à la sécurité extérieur, mais travaillant dans la plus grande société informatique du pays, il ne fallait pas s'étonner.