Imagines, tout simplement [commandes fermées]

Stiles Stilinski (Teen Wolf)

Pour -FIONADORABLE

Avant de commencer je voulais dire qu'il y a beaucoup de faux raccords avec l'histoire. Alison est toujours en vie, parle avec Malia et Kira n'est pas présente. Il y a aussi quelques petits trucs par ci par là et je ne sais pas pourquoi j'ai voulu faire ça mais c'est fait ! Alors bonne lecture quand même.

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Le cours de maths se termine, enfin ! Je rassemblais mes affaires en un gros tas avant de le mettre dans mon sac. Je sortais de la salle quand Stiles se mit devant moi.

- Salut ! Fit-il avec un sourire niais et mignon alors que sa veste était mal mise.

Stiles est vraiment adorable. De nous tous je crois bien que c'est le plus drôle, même s'il ne fait pas exprès. Il est certes maladroit, parano et souvent louche mais il n'en reste pas moins attirant. Je remettais son col en place en lui répondant.

- Salut Stiles, quoi de neuf ?

Je le poussais vers la sortie pour laisser les personnes derrière nous sortir tranquillement, on ne va pas leur empêcher de sortir de cet enfer. On marchait dans les couloirs côte à côte. Il essayais tant bien que mal de suivre mon rythme tout en évitant de renverser un étudiant ou de faire tomber ses livres.

- Dis, tu pourrais ralentir ? J'aimerais te dire un truc.

Je m'arrêtais pour lui faire face.

- Je t'écoute. Mais je n'ai pas beaucoup de temps, les filles m'attendent, lui dis-je en souriant.

Il commença alors à bégayer.

- Ah ben...euh...en fait, euh, il fallait que je te parles d'un truc assez important. Tu vois ?

- A vrai dire, je ne vois pas vraiment, riais-je.

- Ouais c'est vrai que c'est pas très compréhensible, fit-il d'un rire nerveux.

Il prit une grande inspiration.

- En fait ce que je veux dire c'est que...

- Te voilà enfin  ! Sais-tu depuis combien de temps on te cherche ?

La voix de Lydia résonnait dans tout le couloir malgré le brouhaha constant des élèves. Je sentais donc que j'allais me faire disputer par celle-ci. A côté d'elle se trouvait Allison et Malia. Elle s'avançaient toutes les trois vers nous, Lydia marchant un peu plus vite que les autres. Juste avant qu'elles n'arrivent Stiles lâcha un soupir.

- On t'a cherché partout, fit Lydia, pourquoi tu n'es pas directement venue au point de rendez-vous ?

- Eh bien, commençais-je, on devait me dire quelque chose alors je me suis arrêtée.

- Avec qui tu devais parler ? Dit Lydia, semblant ne pas avoir remarqué la présence du garçon à côté de moi.

- Bonjour Lydia, fit Stiles d'un air ennuyé sans la regarder. Content de vous voir les filles.

Avant même qu'elles ne puissent lui répondre Lydia prit la parole.

- Bon, on y va Fiona, en espérant qu'il reste de quoi manger de bon à la cafet'.

- Attends, Lydia (je me tournais vers Stiles) qu'est ce que tu voulais me dire Stiles ?

-Laisse tomber, je te le dirai plus tard. Gardez nous des places à la cafet'. Je vais chercher Scott.

- Bien sûr, à tout à l'heure.

Il est parti après qu'on se soit dit au revoir et je suis partie avec les filles manger. C'est un peu dommage, j'aurais bien aimé savoir ce qu'il allait me dire. J'espérais qu'il veuille enfin m'avouer ses sentiments. Tout le monde, Scott y compris me donnaient des indices me faisant croire que mes sentiments envers lui étaient réciproques. Quand on est tous ensemble, ils font toujours tout pour que je me retrouve aux côtés de Stiles. A la cafet' ils nous font manger face à face et quand on se parle ils nous lancent des petits regards qui veulent tout dire. Mais peut-être que je me faisais des illusions. Peut-être que ce n'était que mon imagination qui souhaiterait que tout ceci soit réel. C'est vrai, après tout  le lycée disait qu'il est amoureux de Lydia. Peut-être qu'il voulait me demander s'il lui plaît.  Je me rendis compte que nous étions déjà sur une des tables à l'extérieur lorsque mon pied heurta violemment celle ci. Heureusement que je portais des baskets sinon je crois que mon orteil serait cassé. Une fois assise je me rendis compte que mon plateau était vide, mais Allison mit vite les aliments qu'elle avait pris pour moi pendant que je rêvassais sur le chemin. Je la remerciai, un jour de plus.