Tableau 7

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Il rentre très écœuré et planque sa femme de nouveau. Il se fait une nouvelle déesse de la beauté ABY au resto :


ABY : bel endroit han !!!


MR SECK : oui la beauté c'est mon goût


ABY : visiblement oui


MR SECK : c'est la peine que je te demande si tu as aimé donc. Est-ce que tu sais que tu es ravissante


ABY : je l'entends parfois


MR SECK : moi je pensais que c'était chaque jour, ho !! Ya trop de jalousie dans ce monde


ABY : moi je n'y prête même pas attention.


MR SECK : tu devrais, je me dis que pourquoi les belles se doutent de leur beauté. C'est paradoxal


ABY : c'est comme ça tu as raison.


MR SECK : et si je t'avouais que je suis infecté par le virus que tu dégage à chaque pas.


ABY : ha bon je ne sais pas quoi dire


MR SECK : justement c'est ça le problème tu ne te crois pas être aimé par ton professeur, tu te sous-estime à la fin


ABY : non, Mr juste j'ai un petit ami et je l'aime


MR SECK : donc pourquoi tu as accepté notre rencart, ce n'est pas du manque de respect à ton petit ami


ABY : non !! Lui il me donne beaucoup de confiance et voilà c'est la raison de ma présence.


MR SECK : je savais qu'avec une telle déesse, les hommes ne sont pas ci aveugles, c'est tout à fait normal que tu es en couple. Mais le monde fonctionne ainsi, là où il y a un homme, il y avait un avant lui.


ABY : oui c'est vrai idem chez les femmes. En tout cas je tiens à lui et je l'aime très bien, je ne suis pas prête pour le laisser.


MR SECK : rien n'est éternel pense et repense à mes propos une fois chez toi.


Il retourne tard chez lui, sa femme le regarde et n'ose jamais se plaindre, elle n'était pas partante mais il lui fait l'amour par la force.


MR SECK : salut toi ma belle épouse


AITOU : qu'est-ce que tu veux encore


MR SECK : moins de bruit je ne suis pas d'humeur, alors fait moi l'amour et du calme


AITOU : non je ne suis pas en forme, j'en veux pas et d'où est ce que tu viens à cette heure


MR SECK : ho !! Tout doux ma belle et depuis quand tu me donne des ordres, retourne-toi ne me fait pas attendre.


Une 1h suivi son départ pour le travail à l'école, deux fédéraux frappent à la porte de son appartement et sa femme les reçoit.


LES FEDERAUX : toc toc !!!


AITOU : qui est ce


UN DES FEDERAUX : nous somme de la police on a quelques questions à vous poser


AITOU : police !! pourquoi êtes-vous chez moi


LE FEDERAL : madame nous avons un mandat de perquisition, votre mari est accusé d'être le chef de la bande de cambrioleurs qui est actuellement recherchée. Nous n'épargnerons aucune preuve qui nous mènera à notre cible.


AITOU : vous vous trompez Mr mon mari n'a rien à voir avec ça, vous n'allez rien trouver ici


LE FEDERAL : ok Madame, mais permettez-nous de faire notre boulot comme il se doit


AITOU : ok la maison est pour vous.


Quelques minutes après


LES FEDERAUX : ok, Madame nous allons partir


AITOU : je vous avais dit que vous n'allez rien trouver ici


LES FEDERAUX : bonne journée Madame


TRIPLE NATURESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant