Morte.

14 5 8
                                    

À l'ombre sous les feuilles,

Mon coeur lui est en deuil.

Un pied proche du cercueil,

Un autre se cachant dans un recueil.

Ma vie dépeinte comme un miroir brisé.

Mon âme, surement évaporée.

Tes pas m'écrasent et j'étouffe.

Tu m'enfonces doucement dans ce gouffre.

Rechutte dans de ténébreux vices.

Vie de supplices.

Et je crirais encore d'une voix bien forte.

"Aidez-moi" car je me sens morte.

Life of PoemsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant