The elder scrolls 5 Skyrim:La naissance d'un héros

-Prologue-

Je sortais lentement d'un long sommeille avec des bruits de sabot sur les pavés et des voix criant des ordres, une douleur lancinante au bas du dos en supplément, surement dû au fait que j'étais allongé sur une planche de bois dur comme la pierre .

Lorsque j'eus le courage de me relever, rien ne me semblait familier, j'avais les mains liées dans le dos et étais entouré d'hommes et de femmes portant tous des blasons qui m'étaient inconnus. L'un d'eux m'adressa alors la parole:

-Vous vous êtes enfin réveillée, vous avez essayé de traverser la frontière tout comme nous et ce voleur-là, il tendit le menton vers l'homme sur sa gauche.

-Si vous n'étiez pas arrivés, je serais déjà à l'Enclume...

Je n'ai pas prêté attention à la discussions plus longtemps, trop abasourdi, probablement à cause de mon éveil prématuré, entouré de soldats inconnus qui portaient le même uniforme, mais l'un d'entre eux attira mon attention. Il n'était pas prostré sur son siège, ne marmonnait pas de malédictions à ses geôliers, il se dressait fièrement ses yeux d'un bleu perçant ne cessaient de lancer des regards noirs aux hommes en armure, nul doute que s'il n'était pas attaché il aurait sauté sur le premier venus, mais on pouvait déceler une grande sagesse en lui de par sa présence et par son regard qui ne cessait pas de passer d'un homme à l'autre .Celui qui m'avait adressé la parole se retourna vers moi en souriant de mon incrédulité.

-Vous n'avez donc jamais entendu parler d'Ulfric Sombrage, le vrai haut-roi de Bordeciel.

-Nous sommes donc en Bordeciel, voilà pourquoi ces forêts avaient un aire si familier, lançai-je, malgré les années je suis de retour sur ma terre natale.

-Et où croyez-vous que nous étions à part en Bordeciel la terre des Nordique, il se mettait à parler plus fort, et ceux ne sont pas ces satanés impériaux qui vont nous prendre notre terre!

Une grande clameur débuta alors dans toutes les charrettes, les sombrages ne cessaient de hurler et de taper du pied tout en criant le nom de leur chef. "ULFRIC! ULFRIC! ULFRIC!"

Abasourdi et ne sachant que faire mon regard se tourna sur les impériaux et l'un d'eux attira mon attention, et de loin! Son armure rouge et or sertie de pierres précieuses était ornée d'une cape avec l'emblème de son armée. Il cria à son commandant pour se faire entendre.

-Discipliné les, je ne veux pas d'une clameur pareille à notre arrivée.

-À vos ordres généraux Tullius.

Après un salut militaire il fît passer le message aux soldats qui ont tôt fait de calmer les sombrages à coup de pommeaux en passant près de nous. L'homme qui m'avait adressé la parole plutôt lança alors.

-C'est ainsi qu'il souhaite se battre, tendre des embuscades, si vous étiez venue vous battre avec honneur ça se serai passé différemment. Je sais que les héros d'antan m'attendent à Sovngarde.

-Calme toi Ralof, il ne sert à rien de s'époumoner pour ces impériaux, de toute façon nous savons tous ce qui nous attend, intervient un homme près de lui.

-Quoi donc? dis-je alors.

-LE BILLOT.