TOME 1-Allégeance

Le commencement d'un renouveau

La brise tendre du début d'après-midi me caresser tendrement le visage, ma cape volait au gré du vent. Les yeux fermé le Corp suspendu sur le toit j'appréciais ce que la nature avait à m'offrir. Les bruit d'animaux, du vent claquant les arbres de ma tendre forêt, le ruissellement lointain de la rivière qui s'écoulait. Puis dés voix inhabituelles me « réveillèrent » de cette état second que la nature me menait. Sans le savoir mon Corp ce pencha en avant par habitude, le capuchon de la cape cachant l'entièreté du haut de mon visage. J'aperçut 5 corps marchant auprès de ma mère, Ludnivya , je fronça les sourcils en écoutant leur conversation jovial. Ils semblaient être des amis de longues dates de ma mère alors je retourna à ma contemplation lorsque je me rendit compte qu'ils n'y avait la aucun danger. Seulement pourquoi maman ne m'aurait pas prévenu de leur arriver ? Elle le fait toujours lorsqu'on reçoit des invités afin que je ne me mettent pas en position d'attaque face à eux. Sa doit être une visite surprise. Comme connecter elle ce mît à me parler via la télékinésie.
Ludnivya: Chéri, nous avons des invités je tes vue les observer ne t'en fait pas ce sont des amis à moi. Viens leur dire bonjour au lien de faire la gargouille suspendu au toit.
Appolina: maman tu me connais tu sais très bien que je ne viendrait pas. Je préfère voir si un danger rôde.
Ludnivya: tout les jours tu t'accroche à ce toit pour assurer la sécurité de notre domaine tu peux le lâcher la maison ne risque pas de tomber, et il n'y a pas de danger.
Appolina: nous ne somme jamais trop peu prudent maman, jamais.
Ludnivya: Bien descent pour le dîner cherie je vais préparer ton plat préféré.
Appolina: oui maman je t'aime. Ah et maman?
Ludnivya: oui chérie?
Appolina: Lavender et Aquillon seront là ?
Ludnivya: ..... oui mon ange, je pourrais te ramener à manger dans ta chambre si tu le souhaite?
Appolina: non sa va aller merci.
Fin de la communication
Je dois avouer que voir ma soeur et Aquillon ne m'enchante très peu voir pas du tout. Je ne veux pas m'énerver et faire du mal à ma mère en frappant ma sœur,je vais devoir prendre sur moi même comme d'habitude. Le deuxième dîner ce mois ci en leur compagnie. D'habitude on ne fait qu'un dîner par mois et ma mère ce contente d'aller sur le terrain de la meute pour les voir. Ils faut croire que ce mois ci ce sera deux. Je suis dépitée. Certes c'est une épreuve de les voir tout les deux côte à côte mais sa rend heureuse maman et il faut savoir faire des concessions dans la vie.

4 heures plus tard

Cela fait quelque heure que les amis de maman sont à la maison. Je les entend parler depuis 14:00 autant vous dire que arriver 17:00 mes oreilles sont en compote. Heureusement que j'ai réussi à faire le vide autour et me re concentré sur l'activité naturel. Seulement sa fait quelque minute que je n'entend plus parler.
J'entendis du mouvement sur ma gauche, 5 paires de chaussures ce manifestèrent près de moi.
Le capuchon toujours sur mon nez je releva de quelque centimètre mon visage, 2 femmes et 3 hommes voilà les amis de ma mère. Les deux première femme était... magnifique. La première était d'une peau si blanche qu'on croirait regarder un néon de lumière un regard gris des cheveux long noir, une tunique noir japonaise avec des arabesques rouge lui allant comme un gant accompagné de spartiate noir montant jusque ces genoux, c'était une sorcière. La seconde avait de long cheveux d'un blond si pur tombant en cascade sur son épaule, des yeux d'un bleu magnifique unique, des lèvres fine une peau dorée, une longue robe blanches, elle était pied nus, un ange sans nul doute.
Le premier homme à la gauche de l'ange, était robuste et grand, une peau de miel un regard d'un vert profond, une coupe à l'italienne, une tenue décontractée, un garou. Le deuxième homme était fin et élancé, une peau blafarde, une bouche pulpeuse et rouge comme le sang des yeux rouges, un costard noir un vampire. Le troisième était divin blond avec de long cheveux,des oreilles pointues, des yeux bleu gris grand élancé, le Corp fin mais musclé due un entraînement intensif, des habille classe une peau brillante et éclatante, un elf sans nul doute.
Toujours penchés sur mon toit je les regarder, les détailler que voulait- ils? Pourquoi monter ici sans ma mère ? Je renifla et je sentit l'odeur de cuisson qui émanait de la fenêtre ouverte, elle préparait à manger.