Partie 10: Seule face à mon cauchemar.

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Point de vue de Lou:

Je suis dans un lit, des bras m'entourent les hanches. Je me tourne et  vois le visage d'Ellios tout près de moi. Je sens mes joues chauffaient.

Qu'elle heure est-il?

00:20

Je suis désolé, mais c'est mon combat pas le tien. Et j'aurai trop peur qu'il te blesse. Je me lève du lit en enlevant les bras d'Ellios de mes hanches. Je marche sur la pointe des pieds, pour ne faire aucuns bruits.

J'avance et trouve mes chaussures au sol je les prends ainsi qu'un veste d'Ellios, pour ne pas avoir froid. Un dernier regard vers le vampire qui est dans le lit, sans m'en rendre compte un léger sourire se crée sur mon visage.

 Ensuite je pars de sa chambre et descends les escaliers dans un silence de plomb.

Tu veux dire notre chambre.

C'est pas le moment ma conscience, là j'ai du boulot. Je dois aller trouver mamie j'ai trop peur  qu'on l'enlève. J'arrive à la grande porte, je m'arrête et regarde derrière moi. Peut être que c'est la dernière fois que je vois cette endroit. 

Je sors de l'école, le vent souffle les feuilles rouge, marron et jaunes dansent dans cet air frais de la nuit. J'avance le collier de mère autour de mon cours. De ma main gauche je fais apparaître une flamme pour mieux voir, et de la droite une épée pour me défendre.

Après avoir passer la grille en métal noir j'entre dans la forêt. On entends les loups chanter, la lune clairvoyante observe mes faits et gestes. J'avance toujours avec la crainte de tomber sur quelqu'un qui voudrait me tuer ou autre. 

J'arrive enfin à la ville après une heure de marche. Mais que je suis bête, j'aurai pu utiliser ma super-vitesse. Au lieu de me fatigué pour rien. Je me mets à courir et rapidement j'arrive dans le centre de Londres. 

Il me reste un peu de route, je souffle quelques minutes et reprends ma course. Je me faufile dans les rues sombre du village de ma grand-mère. J'arrive facilement devant la maison, il y a une garde à l'entrée. 

Un détail me percute sur place à côté de la porte, il y a une cage. Le garde me voit arriver et il sourit, des canines des yeux rouges, un vampire. Il s'avance vers moi je fais de même, la colère monte d'un coup et je change de tenue. Je suis habillé d'un genre de tunique de combat j'ai un arc et des flèches mais aussi une épée et d'autres choses. 

- mademoiselle Jonathan, mon maître a hâte de vous voir, me dit il avant de m'attaquer.

Il se jette sur moi, j'ai le temps d'esquiver et de d'attraper mon épée. Il se relève en grognant et fais pousser des plantes qui m'attrapent les pieds. 

- je contrôle les plantes, elles sont à ma merci, dîtes moi avez vous peur de mourir, me dit il en s'approchant de moi. 

Il me caresse la joue d'un main, je lui met coup de boule dans la tête, puis je crame les plantes avec mes mains. Je fonce sur lui et lui tranche la gorge. Il tombe au sol, j'attends sa respiration, le sang coule de la plaie, il va mourir dans quelques minutes. 

- le prochain sera ton maître de merde, lui dis je. 

Puis je pars dans l'entrée, il fait tout noir. J'entends des crier à l'étage. MAMIE! Je cours en haut, il y a des hommes, ils sont quatre.

Le premier est de dos, je lui plante l'épée dans son dos. Il tombe je n'ai pas le temps de la reprendre, que le second m'attaque. 

Il jette des boule de feux que j'essaie d'éteindre avec mon eau. Sauf que c'est la que je la vois, ils l'ont attrapé à la gorge. 

- ne bouge ou je la tue sur place, puis toi, Lou, me dit il.

Son regard n'a pas changé depuis le temps, ses yeux rouge son sourire carnassier et son visage pâle. Mon oncle, Zayne. Il me répugne au plus haut point. Je voudrai le tuer sur place, mais de un il a ma grand-mère en otage et de deux il y a encore des vampires à tuer.

- ENFOIRÉE, COMMENT TU OSES PORTER NOTRE NOM, TU N'EST QU'UN MONSTRE, criai je. 

Je prends mon arc et une flèche dans les mains.

- tututut je ne ferais pas ça si j'étais toi, tu ne voudrais pas la tuer, tout ça c'est ta faute, tout est de ta faute, tu es née avec un destin glorieux tout comme ton père, mais vous n'êtes que des erreurs de la nature me cri t il. 

Chérie tires, vas y!

Mamie, tu vas bien.

Oui ne t'inquiète pas pour moi, tires.

NON NON JE PEUX PAS, SINON IL TE TUERA ET J'AI DÉJÀ PERDU BEAUCOUP!

C'est un ordre, fais le de toi même ou j'utilise mes pouvoirs pour te contrôler tires vite.

Non, non je peux pas. 

Je suis désolé ma chérie, je t'aime.

NOOOOOOOOOOOOOOOON

Sans m'en rendre compte, les larmes coulaient toutes seules et mon corps ne m'écoutait plus. Je ne voyais que les yeux de ma grand-mère, il brillait dans le noir, on ne voyait que ça même si la lune éclairait elle aussi. 

Mes bras bougèrent tous seuls, et je tirai la flèche. Le second vampire tomba, suivit du troisième mais le quatrième, mon oncle disparut. Je le cherchais du regard, quand je me tournai, je l'ai vu son épée qui lui coupa la tête.

Sa tête qui tomba au sol juste à mes pieds. Et lui qui riait aux éclats. Mes larmes redoublèrent, mais cette fois si la colère et la tristesse prirent le dessus. Mes yeux étaient recouvert de la même pellicule rouge et ma tenue changea une nouvelle fois toute noir avec des flammes rouges. 

Tout mon corps était recouvert de la flamme destructrice, pris d'un élan de colère je couru vers lui à toute vitesse et lui lança des dizaines de boules de feu. 

- je suis le numéro deux de ma génération, ton père était le premier avant que tu arrives puis quand Toya a vu ton destin de reine, j'ai était oublié, me dit il. 

Il n'avait aucunes égratignures.

- c'est tout t'es aussi faible que ça, ça m'a chatouillé, me dit il en rigolant avant de courir vers moi. 

Je ferme les yeux et la je vois ma mère, mon père et ma grand-mère ainsi que toute la familles. Même si ne les connais pas, je les vois qui pleurent. 

J'ouvre les yeux et sens une douleur à mon ventre, un liquide rouge coule le long de mon corps. Du sang... mon sang. 

Mais à ce moment là je ne sens plus rien et une grande puissance parcourt tout mon corps.

Tu es vraiment têtue comme fille, Lou.

Ellios, je suis désolée, elle...elle...elle.

Chut arrêtes de pleurer, je suis devant la porte, bats toi, tu es bien plus forte que tu ne le crois princesse. 

Cette puissant monte en moi, quand Zayne s'approche je ne fais rien. Il m'attrape le cou mais jambes ne touchent même plus le sol. Sur mon visage aucunes expressions ne ressort sauf un petit sourire.

- pourquoi tu ris, me demande t il. 

- pour ça, lui dis je. 

Et juste à cet instant, je pose les mains chaudes sur son visage le feu qui en sort le brûle en fouet fouet. Il me lâche et je tombe au sol, au loin je vois Ellios qui court vers moi. 

Zayne lui, disparaît comme par magie, j'attends encore son cri de douleur dans mes oreilles.

- tu es débile, folle, pourquoi tu as fais ça, me dit Ellios.  

- c'est bon je suis la, regardes moi je vais bien, bon ok je saigne un peu mais sinon ça...

Puis plus rien, juste un trou noir et le cri d'Ellios.  Je ne suis qu'une débile, une folle, mais je pensais bien faire pour vous protéger toi, Nina, Jasmine, grand-mère et tout le monde. 

- PUUUUUTAIN DE MERDE, FAIT CHIER!!!!, cria une voix.

La lignée des JonathanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant