Idyllique... non.
Merveilleux... non.
Le Paradis, il n'y a pas d'autre mot pour vous décrire le décor.La toiture, rougissante se laisse transpercé par un arbre immense, protecteur de la petite cour.
Les murs safrans vêtus de lierres, trempent leurs pieds dans l'herbe verte et moelleuse.
L'orchestre de nuit a commencé ses plus belles symphonies et fait entendre la voix des criquets, le chant des oiseaux, le souffle du vent.
Partout l'air est imprégné d'un parfum délicat, qui enivre et fait danser l'amour.
La lune se baigne dans l'étang, et sous son œil lumineux, les ombres se détachent enfin pour se déverser par le portail doré.
Les ombres passent en coulisses, quittent le décor.Car Orphée, Perséphone et Samael quittent le Paradis, et s'en vont rejoindre leurs amants,
Aux tréfonds des Enfers...
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Quand il est question d'amour
PoesíaIl a été, est, et sera toujours question d'amour. Pourquoi? Parce que.