Partie 27

388 8 0
                                    

- JE VOUS PASSE 1 SEMAINE

J'étais en cour de français à coter de Rayan c'est un algérienne/tunisien il est grave bon délire et Igor un russe, c'est deux la il me protège grave j'suis grave leur préféré limite il parle qu'à moi comme fille dans la classe.

Hassoul je disait on n'étais en français.

La prof : BON VOUS ALLER VOUS METTRE EN GROUPE DE 4 SVP
Nina : OK, KAYNA, LÉA, MYRIAM ON N'EST ENSEMBLE
nous : OOK 

Quelques seconde plus tard, je sens qu'on me prend par la nuque.

Igor : ah ouais t'es sur tu t'met pas avec nous
Rayan : NAN NAN ELLE S'MET AVEC NOUS TA VUE SA OÙ
Igor : répond
moi : mdr mais moi j'men fou c'est pareil mais vous vous aller pas travailler c'est pour sa vous vous mettez avec moi
Rayan : blc tu reste avec nous
moi : j'étais au courant
Igor : vas-y ramène les feuilles
moi : attend faux qu'on choisisse quelqu'un d'autre
Rayan : vas-y prend Nina
moi : NINA VIENS AVEC NOUS
Nina : OUAIS ATTEND

On cris parce qu'on n'étais à l'opposé, elle s'excuse au près des filles quand même, elle prend ses feuilles et nous rejoint. Nous on s'est placer devant les garçons j'étais en face de Rayan et Nina en face d'igor, bien sûr il le fessait rien.

rayan : vas-y speeder la
moi : ferme là ta gueule toi ta qu'a le faire si t'es pas content
rayan : vas-y répète
moi : ta qu'a le faire si t'es pas content paysan
rayan : en plus tu dis paysan, ok
moi : mddr tu va faire quoi
rayan : j'vais t'balayer
moi : mais ouiii
Igor : cour pas à la sortie
moi : c'est pas dans mon tempérament de pas assumer ce que je dis

Avec c'est deux la, on a vraiment une amitié je sais pas comment vous expliquer mais quand on s'embrouille genre quand ils m'ont bien énervé après ils viennent toujours « s'excuser » oui parce qu'il ne me diront jamais pardons hein ils viennent il me porte, il me tape dans le dos, ils me caressent le visage alors qu'il savent que je déteste qu'on me touche, ils me pousse mais moi j'les calcule pas donc ils me repoussent encore plus fort, bref pour eux sa c'est s'excuser.

rayan : on verra

On continue le cour, on n'étais toute l'heure en groupe, hop sa sonne les garçons nous redonne nos feuilles, on range nos affaire, on dis en revoir puis on sort.

J'avance puis un moment je me sens tomber par terre comme une grosse merde mais hamdulilah il m'a rattrapée à 2 cm du sol!

moi : mais quelle force

Il lève ses manches , me monte ses muscles et fais des bisous sur ses muscles.

moi : j'tai dis qu'elle force j'tais pas que t'étais Mike Tyson non plus
rayan : *a Igor* elle chercher?
Igor : aah ouais fais trop la folle
moi : alala même pas tu m'defend zehma

Et je pars zehma je fessait la gueule, il m'a tirer par les cheveux j'ai pas crier 4 fois mdr, il m'a taper fort dans le dos et m'a dis «  mais nan mais nan t'inquiète » je lui est fais un doigt pour rigoler et je suis partis.  

Il étais 13h, oui je finis les cours à 13h c'est pas une vie j'vous le dis, bref, j'étais en direction du bus quand j'entend mon prénom au loin je me retourne c'était Rayan.

moi : qu'est tu veux
rayan : tiens ton crayon
moi : mdr t'es con ou c'est comment
rayan : quoi wesh
moi : t'aurais pu me le rendre après c'est qu'un crayon
rayan : prend le tavu j'suis venu jusqu'à toi prend le
moi : vas-y merci à taleur
rayan : vas-y, eh ramène un caprisun
moi : si dieux le veux
rayan : ramène jtais dis
moi : c'est en me le disant comme sa que j'vais t'le ramène y'a carrefour à coter t'y va
rayan : je chie l'argent moi?
moi : je chie les caprisun moi?
rayan : *en s'approchant* pourquoi tu fais la ouf comme sa?
moi : *en le poussant* mdr vas-y dégage, j'vous en ramènerais
rayan : tu gère
moi : t'inquiète

Chronique de Kayna- Malgré tout c'était lui Où les histoires vivent. Découvrez maintenant