Ça fesait maintenant deux semaines que je n'avait pas vu Rayane et tant mieux . Il était toujours dehors a faire je ne sait quoi et quand il venait à la maison il parlait business au téléphone . Desfois je l'entendait même ramenez des filles à la maison . Pour ma part je partait souvent visiter ma famille ansi que celle de rayane , d'ailleurs je m'entendait très bien avec sa soeur Maya. J'était même partit prendre un café avec Anis et j'avais grave kiffer bien que Rayane était toujours quelque part au fond de mes pensées.
On était un samedi soir, j'était bien poser devant Netflix avec un bon grec dans les mains. Je m'appretait à prendre ma première bouchée lorsque quelqu'un se mit a frapper super fort sur la porte
je sursauta et je me mit a paniquer parce que les coup étaient vraiment fort. C'est dans se genre de moment que jaurai kiffer que monsieur soit à la maison. Je m'approcha lentement de la porte et quand je louvris je resta choqué.
Rayane était par terre remplit de sang
moi: AHHHHH RAYANE MAIS TA QUOI POURQUOI TU SAIGNE COMME ÇA
lui: ai de moi a me le ver
j'essaya de le soulever mais il était trop lourd en même temps il fesait 1m90. Il y mit du sien et on réussit. Je le mit sur le bol de toilette et je souleva son chandail
il c'était fait poignarder mais heureusement se n'était pas profond. J'allais appeler une ambulance mais il m'arrêta
lui: non
il était vraiment faible et je voulais pas le fatiguer encore plus. J'enleva son chandail et je le vi sourire du coin des yeux. Je commençais a le soigner et c'est à ce moment là que jetait fier d'avoir fait mes études d'infirmiere . Par contre un truc me gênait , c'était qu'il me fixais
moi: arrête de me regarder comme ça
lui: comment ( avec un sourire au coin de la bouche)
JEN POUVAIS PLUSS JEYGDJHWEVFYUQEWG IL ÉTAIT TROP BEAU
j'était devenue toute rouge,
lui: pourquoi tu rougit comme ça
moi: MDR ta trop cru c'est juste que J'ai chaud
Apres une bonne trentaine de minute j'avais enfin terminer . Pendant tout le long il avait fait que crier de douleur MDR javais grave kiffer.
je l'aida a se relever et une fois debout il se retourna vers moi, il prit une de mes mèche de cheveux et la mit derrière une de mes oreilles il se rapprocha de plus en plus vers moi. J'avais des grosses bouffer de chaleur . Je me sentait conne parce que il me fesait grave de l'effet et je volais pas
Arriver a quelque centimètre de ma bouche je ferma les yeux parce que je pensait qu'il allait m'embrasser mais il me chuchota seulement un petit merci au creux de l'oreille
MAIS LA HONNNTTTEEE , C'ÉTAIT LA HCHOUMA
il se mit a rire ( avec sa bel voix grave)
lui: HAHAHAHAHAHAHAH tu voulais jet embrasse hein ben tu demandera à mon cousin parce que j'ai toujours pas oublier.
moi: connard
je partit en furie dans ma chambre le laissa planter la bas.
2 heures plus tard je descendit chercher à manger lorsque j'entendit du bruit dans la salle de bain
Rayane était encore la bas assis sur le bol de toilette
moi: quesque tu fait encore ici?
lui: j'arrive pas a marcher j'ai trop mal
moi: pourquoi tu ma pas appeller
lui: je voulais pas que t'essaie encore de m'embrasse (avec un sourire)
moi:connard
lui: tg parle moi je suis pas ton pote
j'allais partir mais il m'attrapa
lui: vas fait moi monter jveux dormir
Apres 30 minutes de galère on avait enfin réussit a mettre monsieur dans son lit
lui: PUTAIN JAI TROP MAL AÏEEEE
moi: tant pis
Il me lanssaun regard noir
je partit cherche une crème spécial , je m'assit sur le lit et souleva son chandail
lui: okay je voit
il avait grave kiffer le petit con
moi: tg c pour t'enlever la douleur
je me mit a masser doucement pour quelque minutes, une fois terminer j'allais me lever mais il me retena
lui: merci sab
moi: derien
et je partit dormir dans ma chambre
demain était un nouveau jour.
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Chronique de sabrina: Marier de force à mon pire ennemie
General FictionOn se haïssait, on se détestait , on ne pouvait meme pas se voir en photo et ca depuis le bac a sable . Je ne sais pas pourquoi mais il avait le don de menerver. Mais tout mon monde s'écroula lorsque japprit que je serai marier de force a celui-ci...