Vingt deux

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( NDA: cette vidéo est celle qui doit « montrer » la prestation de Maddison devant l'équipe de football. Évidemment, note héroïne ne ressemble pas à celle qui danse, il ne faut prendre en compte que la façon )

Bittersweet symphony of life....

Quand le premier enchaînement de pointes se finit, j'enchaînais avec les pliés.
Le dos droit et les pieds en pointes, je finissais la première partie avec la musique.
Mon menton étaie levé et mes jambes commençaient à flambée.
J'étais prête à lâcher prise mais je finissais avec une des figure les plus dure, le dos plat.
En danse classique, il fallait de la rigueur, de la tenue, de la mobilité et en bon souffle.
Quand mes cours de danse classique se finissais, il y a des années, ma professeur me disait que je n'avis pas assez de souffle pour tenir la position.
J'avais appris, au fil du temps, et avec de l'endurance, à appréhender et gérer correctement mon souffle.
La souplesse n'avait plus aucun secret pour moi, mais un point restait en dépend: la mobilité.

Mes jambes n'étaient pas assez alignées avec mes épaules et mon dos pour que je tienne plus de 6 secondes, avant que je tourne
sur moi même plus de 5 fois. Je réussissais souvent à faire cette figure, mais c'était une des plus dure, et malgré ma concentration, je ne dépassais pas les 5 tours.
Ma mère me disait que c'étaie déjà génial, mais je pouvais en faire plus.

Heureusement que aucunes des filles ni Aria étaient présentes, parce que je m'énervais bien trop pour réussir qu'on m'aurait sûrement recalée.
La salle de danse contenaient d'énormes baies vitrés, donc tout le monde pouvait remarquer mon énervement.
Tout le monde. Tout les lycéens. Les professeurs. Tout le monde.
Mais je restaient concentrer malgré que quelques personnes restaient à me regardé.
Je restais calme, soufflais un bon coup, et recommençais ma figure.
Mes cours ne reprenait qu'à 16 heures et il étaie à peine 14 heures. Tout les autres années et élèves des classes du lycée Ritix Home reprenaient les cours à cette heure, sauf notre classe, qui contenaient les 3/4 des joueurs de footballs. Et ces derniers avaient entraînement à 14 heures.

Je restais cool, et sereine pour la suite de mes entraînements.
Personne ne devait emprunter  cette salle avant     17 heures, ce qui me laissait parfaitement le temps de finir mon échauffement.

- 1...2...3..4 putain.

4 tours. Je ne faisais que 4 tours. Je pouvait  en faire plus, maîtriser mes gestes, qu'ils soient fluides, mais la danse classique demandait de la concentration et du geste. Je pouvais y arriver. Il suffisait juste que cette fichu tête arrête de tourner.
Bientôt arrivait mon mal de pieds.
Cette journée ne devais pas être la mienne, et mon karma ne devais pas être bon.

Quelques minutes plus tard, et mes entraînements reprit, une bande de mecs arrivait à côté de la salle.
Je devinais, à leur rires , qu'il s'agissait de l'équipe de football.
Calvin m'avais prévenue qu'il y revenait, et je me portait plus que bien de cette nouvelle.
J'étais seule dans une salle, la musique à fond, les portes ouvertes, tout le monde me voyait, et forcément ils s'arrêtèrent pour me regarder.
Je ne les vis pas à l'instant, mais une fois mes tours arrêtés, plus personne ne parlait, tout le monde me regardait.

Je n'étais vêtue  que de mon juste au corps noir, mes collants, ma petite jupe noire et mes chaussons bleues marines. Jusqu'à, tout allait bien.
Mais quand une vingtaine de regard masculins de posent sur vous presque ébahis, vous avez peur pour votre vie, je vous l'assure.

- ça va , je vous dérange pas ?

- salut Madi .

Celui que j'ai aiméOù les histoires vivent. Découvrez maintenant