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chapitre 2 : Elodie

Depuis que j'avais été séparer de Célian et Orphée j'étais dans une voiture inconnu avec des gens qui m'étais inconnu et qui pourtant, au fond de moi, il me semblait les avoirs déjà vus. Alors la m'as peur de l'inconnu était servi. Il me sembla que le trajet en voiture durait déjà depuis plusieurs heures quand enfin on s'arrêta. L'homme qui était a coté de moi et qui me dissuadais de faire quoi que ce soit de stupide me prit sans ménagement. Lorsque je suis sortie de la voiture, je ne m'attendais pas ca, j'étais sur un port, un port énorme avec plusieurs bateaux mais un d'entre eux me tapa dans l'il. Il n'était pas comme les autres, il était beau, grand , majestueux, on aurait dit un navire qui venait tout droit de la flotte de Christophe Colomb lors de sa découverte des Amériques. Ils commencèrent a avancer et je du les suivre, Ils m'ont fait montée sur ce bateau. D'ailleurs je crois que le seul point positif dans toute cette histoire est le bateau. Je me retrouva dans la cale il y avait plusieurs cages, et j'atterrie dans l'une d'elle. Puis ils sont remonter je me suis retrouver toute seule, dans cette endroit étrange sortit tout droit d'un pirates des caraïbes ou d'un film historique . Je me surpris a penser a ces moments là dans les livres les héros n'ont jamais besoin d'aller aux toilettes. Ouais bas sauf que la je suis pas l'héroïne d'une série ou d'un livre et que si je trouve pas vite quelque chose je vais avoir un gros soucie. Alors j'ai appelé , crier, crier toutes les forces de mon être quelques minutes plus tard un homme est arrivé j'allais pouvoir lui demandé mais il prit la parole le premier.

" Alors, voila l'une des deux qu'on cherche c'est cela?

- Oui chef, nous l'avons trouvé, répondit un molosse derrière l'homme

- Ma chère pourriez-vous répondre a une toute petite question de ma part et gentiment, que je ne soit pas obligé d'utiliser la manière forte." Il marqua une pause et repris.

" Tu comprends j'espère." J'opina du chef puis il posa sa question.

" Pourrais- tu me dire qui est ton frère."

Dans mon cerveaux c'étais le bazar, un capharnaüm, une tempête, je ne comprenais pas sa question. Enfin après tout je suis fille unique, je ne savais pas quoi dire, puis j'ai choisit de lui dire la vérité de toute manière j'étais déjà dans le pétrin donc bon.

" Je je n'ai pas de frère.

- Tu mens je vais donc reprendre ma question, Qui est ton frère ?

- Mais puisque je vous dit que je n'en sais rien!"

A ce moment la, il fit une mimique qui n'augurait rien de bon et approcha ses mains de mes tempes. A ce moment la c'était comme si je fondait, mon cerveau brulait. Je me souvins d'un personnages de mon livre préférer qui pouvait lire dans les pensées des gens, alors je me mit a essayer de ne penser a rien, le néant, le vide, j'y était presque mon but allait être atteints, il allait arrêter voyant qu'il ne trouverait rien mais j'avais si mal, un seul mot sortie de mon cerveau et il était trop tard, c'était Quentin, c'est idiot étai arrivé avec sont sourire et sa phrase fétiche " la douleur n'existe pas ce n'est qu'une épreuve que tu peux surmonter avec la plus grande des facilitées.

Il retira ses mains et je tombas a genoux, puis il prit la parole: "Allez me le chercher, il s'appelle" il marqua une pause et avec un sourire hilare se tourna vers moi et repris :" Quentin Galbez". L'horreur du se voir sur mon visage, je ne savais pas ce que j'avais fait mais je me suis dit que j'avait fait une bêtise et surtout que je venais de livrer un ami qui n'avait rien a voir avec tout ca.

l'homme repartit suivi par le molosse, je resta seule et assise dans le noir je me suis mis a penser. Je me suis sentie minable puis me revint les souvenirs de c'est phrases quand il était poète a ces heures perdue ou son optimisme débordant et sa soif de découverte, les discussion qu'on avait sur ce qu'il y avait avant la vie et après la mort, finalement je vais peut-être pouvoir répondre a la deuxième.

Puis je tomba de fatigue.