Les membres du groupe se sont réunis sauf lui.
Ils ont tous remarqués sans exception le changement. Cela les inquiète énormément que leur protégé, se laisse aller de cette façon.
- elle me manque, lui aussi.
Ils approuvèrent tous à l'unisson, les paroles de TaeHyung.
Leur maknae leur manquait, elle d'avantage.
- que doit-on faire maintenant ? le laisser pourrir n'est pas une bonne idée.
Ils avaient tout tenté, vraiment tout pour le voir de nouveau sourire ou rigoler.
- je suis prêt.
Cette voix grave, inaudible, presque cassé, leurs fit sauter de surprise. Le sujet de la plupart de leur discutions se tenais près des escaliers.
Les joues creuses, le teint pâle, son beau corps musclé devenu fragile comme de l'argile, rendis ses aînés malheureux et triste.
- qu'est-ce qu'il y a ?
Il avait mal à la gorge en prononçant ces simples mots, faire des mouvements futiles ou ouvrir la bouche devais lui fournir de grands efforts.
- viens t'asseoir, ici.
Un de ses aînées, NamJoon, tapota doucement la place à ses côtés, l'incitant à venir s'y asseoir, ce qu'il fit en avançant vers la place avec beaucoup de difficulté, manquant de tomber à chaque pas effectué.
Le voir à effectuer des gestes simples, rendis de nouveau ses hyungs tristes.
- jungguk, tu vas bien ?
Le concerner leva ses yeux vers sont hyung qui l'avais poser cette question. Il ne répondit malheureusement pas, préférant regarder la moquette, ses yeux commençaient à lui piquer.
- jungguk...
Pourquoi tout lui dégoûtait ? Même son propre prénom le répugnait.
Soudainement, il éclata en sanglots, ne pouvant plus résister plus longtemps. De sa main droite fragile, il tapa avec les forces qu'il lui restait son torse, montrant sa vive douleur dans la poitrine.
L'actuelle image qui rendait leur maknae misérable, pathétique, serrais leur cœur. SeokJin, HoSeok, JiMin, TaeHyung, pleuraient pour leur protéger, les autres se retenaient comme ils le pouvaient.
- j'ai mal.
Le leader, le prit dans ses bras, essayant de calmer ses sanglots interminables. Tous les autres membres s'empressent de le prendre aussi dans leur bras.
Il poussa un cri, pouvant donner des milliers de frissons dans les moindres parties du corps.
- ça va aller.
Non, rien ne va aller. On ne peut plus rien réparer depuis que le mal est intervenu.
- tu veux qu'on aille la voir ?
Il hésita un moment, mais répondit d'un hochement de tête.
Cela lui fera un grand bien de la revoir, ou pas.
