Regardes moi dans les yeux, aimes moi, souviens-toi, mon amour.
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grande pub à " Transport " de Yves Flank, sans lequel cette histoire ne serait pas née. j'ai repris le style poétique du texte. (:
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Mon amour, mon amour, certains jours, lorsque le ciel était teint d'obscurité, je patientais dos à la lune, vêtue de soie. J'aimais imaginer ton retour, où tu me verrais t'attendre nue, le regard empli d'envies, ton âme indéniablement attirée par la mienne. J'aurais souhaité une douceur de nuage, les rires enfantins et nos histoires d'antan. Tu te rappelles, mon amour ? Tes mains glissaient sur mes seins, j'embrassais chèrement ton cou, tentant d'absorber ton jardin secret. Tu accentuais l'étreinte, entourant tes bras à mes hanches, collant un peu plus nos corps pour assouvir nos désirs. « Que tu es belle, mon ange », disais-tu tendrement, tes yeux parcourant lentement ma peau. Ton sourire apaisant était semblable à une vallée de miel, un désordre joyeux parcourait mes pensées. Je me jetais aux commissures de tes lèvres, prenant soin de ne pas te faire mal avec mes doigts, doucement agrippés aux extrémités de tes joues. Ces instants étaient semblables au paradis, tu me transportais de tes mots, les heures duraient des années, que pouvais-je désirer si ce n'était nos nuits enlacés, allant en ascendant vers un pays merveilleux au goût sucré et aux idées luxurieuses.
