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Mon amour, mon amour, quelle atrocité ! Des lettres emplies de désarroi, duquel s'écoule un mince filet rougeâtre, pâteux, répugnant, où il est écrit les astres hilares de nos jours heureux. Ô mon amour, jette-moi cet érudit, loin, hideux. Quelle malice d'avoir tenté l'avarice des mots et la couleur atroce de nos fautes. Ne vois que moi, cesse cet illusion ignoble qui te caresse la peau d'incertitude. Ton cœur est miens, laisse tes démons purger l'impureté de ton corps, et assaillir ta folie. Pourquoi ne me regardes-tu pas ? Chaque jour posé à tes côtés, tandis que l'autre jaillit des enfers pour te faire sien, est-ce un indice que tu me laisse là ? D'un simple mouvement, je me jette à ton cou, serrant un peu plus la force de mes doigts. Ta tête pourrait presque exploser de mon étreinte à ses extrémités. Ô mon amour, aime-moi, je suis là !
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Ô mon amour
PoetryRegardes moi dans les yeux, aimes moi, souviens-toi, mon amour. __ grande pub à " Transport " de Yves Flank, sans lequel cette histoire ne serait pas née. j'ai repris le style poétique du texte. (: