Chapitre 1

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Chapitre 1

Planter devant mon ordinateur. Je travaille sur une nouvelle affaire qui n'est qu'un simple divorce entre un homme très riche qui ne veut rien laisser à sa femme parce qu'elle lui a demander le divorce après avoir appris qu'il la tromper. Cette affaire me donner mal au crâne pas par le faite qu'elle soit simple mais les deux partis ne sont pas près à faire des concessions.

Je décide de fermer mon ordinateur et d'aller me faire un café cela va me détendre le temps de reprendre le boulot.

Quand je passe devant mon miroir, je me rends compte que quand les gens me disent que je ressemble à ma mère ce n'est pas totalement faux. Mes cheveux brun sont attaché en chignon quelque mèche bouclé descende sur mes épaules, mes yeux marrons ressemble aux yeux de mon père, il renferme en eux ma vie et mes secrets. Je continuais à me regarder et à me demander qu'elle était en réalité mon problème face aux monde. On ne peut pas dire que je suis très sociale et que je n'arrive pas forcément à me faire des amies, ni des petit-ami. D'un autre côté, je n'ai jamais vraiment eu de petit ami, je me suis toujours renfermé sur moi. J'avais tellement peur que quelqu'un me fasse encore du mal, pas parce qu'on ma blesser mais parce que l'amour fait mal. Quand la personne sort de notre vie. Parce qu'aussi ma famille était des tarés et que chaque personne qui m'approcher, repartais en courant. 

« Allez, reprend-toi Erika ! »

Cela fait maintenant 5 ans que j'ai quitter mes parents pour mes études mais aussi parce que je ne les supportaient plus. Eux et leurs histoires complètement rocambolesque que je ne veux plus jamais connaître. Jamais plus je ne veux les revoir.

Après avoir pris mon café, je retourne au travaille. Après de long heures à passer sur mon ordinateur , je décide d'aller prendre un bain. Quand je suis enfin dans mon bain, j'arrive enfin à me détendre, je repense à mes parents. Je me demande ce qu'ils sont devenue sont-ils toujours dans leurs affaires louche ? Ou alors ils sont tous en prison ? Je penche plus sur la deuxième option. Même si je n'ai rien vue avec leur nom dans une quelconque affaire. J'aimerais tellement avoir des parents qui sont normale et qui n'ont pas fait de prison. Mon père a passer la plupart de ma vie en prison, et quand je suis partis il était toujours en prison. Ma mère passer son temps à détruire la vie des gens qui m'entourer ou qui entourer mon demi-frère. Ma mère à passer le plus claire de sont temps à me pourrir la vie. Elle me disait toujours que faire des études était pour les femmes qui ne pouvait s'offrir un homme. Alors quand j'ai était prise à l'université et qu'elle là sue. Elle ma littéralement envoyer valser. Je me souviens encore de sa gifle et de la douleur lancinante qui m'avait parcourue .

Toujours dans mon bain, je ferme les yeux en imaginant ma vie autrement. Quand tout a coup mon téléphone sonne, je m'essuie les mains sur ma serviette a ma droite et prend mon téléphone qui est posé sur le rebord de la baignoire. Sur mon écrans, je vois un numéros inconnue. Qui peut bien m'appeler a une heure pareil, il est déjà une heure du matin. Cela me fait penser que je n'aies toujours pas manger. Je répond toujours en me demandant qui peut m'appeler à cette heure-là.

« Allo ? Demandais-je

Erika ? Me répont-il »

Non, mais je rêve. Alec, mais qu'est ce qu'il veut. Je décide de raccrocher directement et d'éteindre mon téléphone. Depuis quand on n'appelle quelqu'un à cette heure-ci et surtout comment à t'il eus mon numéros. Je ne veux plus jamais avoir à faire à eux. Plus jamais je ne retournerais dans leur horrible monde. Je sors de mon bain, toujours en colère. J'entoure mon corps d'une serviette chaude et vide la baignoire. Je sors de la salle de bain. Avance dans mon couloir, rentre dans ma chambre et prends un pyjama dans ma commode. Maintenant, habillé je retourne dans mon salon, prendre mon ordinateur. J'éteins les lumières et retourne dans ma chambre. Je m'allonge sur mon lit en prenant mon ordinateur , je décide de regarder un film, pour passer me nerfs sur autre chose. Non, mais qu'elle genre de personne, ne comprend pas quand je leur ais dit que je ne voulais plus les revoir. Il peut se passer n'importe quoi, je ne veux plus les revoir. Il ne pense qu'a eux. Qu'elle genre de famille veut faire croire qu'il sont soudé mais qu'à la moindre occasion vous plante un poignard dans le dos. Je les déteste tous, un par un.

Je pense qu'une bonne cigarette va me donner du courage et me faire penser à autre chose. Je descend de mon lit et m'approche de ma fenêtre, prend mon paquet qui ais poser sur le dessus de ma commode. Ouvre ma fenêtre et m'approche de celle-ci en allumant ma cigarette. La fumé se répands dans ma gorge tous en me détendant. Pourquoi voulait-il me parler ? Je ne suis pas prête à les revoir. Ma vie est très bien en ce moment, je n'ai pas besoin d'eux pour qu'il vienne tout gâcher, j'ai mis assez longtemps pour forger ma vie toute seule et qu'elle ressemble à ce qu'elle ais maintenant ce qui veut dire calmer et sans problème. Je n'ai pas besoin qu'il vienne foutre la merde, maintenant. Je finis ma cigarette et la jette par dessus ma fenêtre et ferme celle-ci. Je retourne sur mon lit et me met un film d'horreur, j'ai besoin de me changer les idées. Pendant que mon film se met en route, je prends mon téléphone et le rallume. Je fais mon code pour débloquer mon téléphone, appuis sur le numéros qui ma appeler. Mon téléphone m'envoie sur la page de contact. J'hésite à appuyer sur le bouton d'appel mais me renfrogne et clique sur bloquer le numéros. Enfin, j'efface le numéros. Comme ça plus de contact possible. Je souffle un bon coup. Retourne sur mon film.

A la fin du film, je ferme mon ordinateur et le pose sur mon bureau et retourne dans mon lit me coucher. Demain, j'ai une affaire à 15 heures. Alors, j'ai le temps de me préparer demain.  

L'innocence en dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant