chapitre 2: Le comble pour un inspecteur

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L’inspecteur paniqua, appuya sur tous les boutons. Il prit son téléphone. Pas de réseau. Il était à la merci de l'ascenseur. Quelque minute plus tard une voix se fit entendre. Cette voix avait quelques choses de robotique. La voix lui dit de laisser tomber l’enquête. Sinon il serait le prochain à qui on enlèvera quelque chose.
L’ascenseur redémarra dans seul coup. Il tomba au sol. Et il vit en lettre écrite avec du sang humain. Dernière avertissement.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et il sortit.


Il se précipita vers le cadavre. Et reconnu sa mère. Il s’effondra en pleure. Il l'emmena alors à la morgue accompagné d’un psychologue et du personnel soignant.
Une fois arrivé à la morgue il dut quitter sa mère. Il alla chercher sur le bureau du légiste le rapport pour les autres victimes.
Il remonta ensuite. Il rencontra dans l’ascenseur la capitaine mis au courant de la situation et de la dernière victime. Elle essaya de convaincre l’inspecteur de prendre une ou deux semaine, le temps de se remettre de ce qui c’était passé. L’inspecteur lui dit de partir car c’était son enquête et que le meurtre de sa mère ne changerais rien.
La capitaine partie. Il donna le rapport du légiste a un brigadier une fois arrive à leurs Q.G. Le brigadier lut le rapport à voix haute : les 6 premières victimes ont été tues à égal intervalles et de la même manière : pompé de leurs sang. Dans leurs analyses sanguines, il s’y trouvait un produit mystérieux et inconnu. C’est le premier indices trouvait…il s’interrompit ensuite en voyant le premier rapport de la septièmes victime, la mère de l’inspecteur.
Il tendit le rapport de la mère à son fils. Celui-ci lui renvoya en pleine tête après l’avoir survolé. L’inspecteur partit alors en prenant un escalier de secours.
Le brigadier, pendant ce temps, lu le dernier rapport du légiste qui venait d’arriver sur la septième victime. Il y découvrit notamment que le mode opératoire avait légèrement changé par rapport au premier rapport fait sur ce meurtre et sur les autres.
Il poussa un cri et s’évanoui seul, dans l’étage. La dernière chose qu’il vit c’est l’horloge : 6h55.
Quand l’inspecteur revint, calmer, il y découvrit le cadavre de son brigadier. À cote de celui-ci se trouvait une lettre avec, marque avec le sang du brigadier : C’est mon dernier avertissement !!!      Signée : le tueur de l’hôpital.
L’inspecteur appela tous de suite ces collègues brigadier et ils l’emmenèrent chez le légiste.
Le temps de remontait De la Zerrato compris que pour trouver le coupable il devait faire avancer l’enquête beaucoup plus vite. Il demanda alors à ses équipes de fouiller toutes les scènes de crime. Il alla interroger les personnes ayant découvert les autres cadavres. Enfin l’enquête se met en route pensa le meurtrier il pensa ensuite de ce que penserai l’inspecteur quand il découvrirait la farce macabres qu’il lui préparait.
Après avoir interrogé tous le personnel de l’hôpital sans exceptions l’inspecteur, en allant vers l’ascenseur du deuxième étage remarqua une taches de sang semblable à celle  dans laquelle on retrouve les cadavres précèdent. Ensuite il leva la tête et vit 7h55.il pensa ensuite à se cachait pour observe le meurtrier.
À 7h59 celui-ci arriva et, en poussant le chariot qui cachait l’inspecteur, lui déposa, sur ses genoux, le cadavre sanguinolent. Celui-ci poussa un cri puis en essayant d’attraper le coupable tua nette la victime qui se tenait sur ses genoux. Il découvrit alors, dans la poche de sa blouse, une lettre, il reconnut d’où provenait cette lettre.
La lettre provenait d’une enquête dans laquelle cette inspecteur alors brigadier avait enquêté. Celle-ci, contre toute attentes avait été classé sans suite sur les témoignages de la première femme de l’inspecteur et sa regrettait fille.
Cette lettre avait été envoyait par la victime a son ex-petite amie : la fille de l’inspecteur. Elle devait servir à prévenir celle-ci que ses jours été compte et que l’on chercher à la tuer. Mais la lettre avait été intercepté avant d’arriver à destination et quelle que jours après se « procès » sa fille fut abattue en pleine rue avec sa mère : la commandante de police. À la suite de ce nom lieux on a recensait vingt victimes lié à cette affaires. S’ajoutant à cela les victimes dite du « Complot », une organisation étudiantes était reliée à ces vingt meurtres est ayant revendiquait les trente-deux victimes directe et indirecte de l’affaire.
Certains policiers ont de suite pensé que le brigadier pouvait être une des causes de la mort de la commandante et de leur fille. Car certaines rumeurs disent qu’il aurait, volontairement, bâclée et dissimuler des preuves.
Sinon revenons à se cadavres « tue »par l’inspecteur. Il appela ensuite, tout en cachant la lettres qui faisait défaut à l’enquête, son équipe qui arriva de ce pas et lui ôtèrent le cadavre des genoux. Après c’être changer, il demanda de relie tous le personnel de l’hôpital a des affaires qu’il avait traité étant brigadier. Son équipe le questionna et ne voulant pas être dessaisit de l’enquête, après tant de sang verse par sa fautes, il montra la lettre qu’il avait trouvait.
Les résultats ne se font pas attendre trente seconde plus tard la majorité de l’équipe se trouva mêlé à une de ces enquête et une trentaine fut directement relie a une classe sans suite. Il regarda ensuite l’horloge 8h55. Ils ressentir tous un vent glacial qui plongea la pièce dans un silence mortuaires.il attendirent 9h puis, une partie de l’équipe alla arrêter la trentaine de personnel, l’autre partie alla chercher le nouveau cadavre.
Une fois trouvé ils trouvèrent comme précédemment une preuve d’une autre enquête classe sans suite, où l’inspecteur avait enquête.
Le meurtrier, pendant ce temps-là, ce trouvait à la cafeteria entrain de siroter un granite. De sa place il observa l’équipe. Il pensa alors que l’équipe enfin devait une équipe dite de professionnelle et qu’à l’avenir il lui faudrait être plus prudent. Et aussi de mieux dissimuler les preuves sur les cadavres il regarda ensuite l’heure et vit 9h54. Il alla donc chercher un bidon de sang.
Alors que le meurtrier allait mettre en place la scène de crime, l’inspecteur interrogeait les membres du personnelle arrête. Sans résultat il leva alors la tête et vit 10h00.
L’équipe partit alors chercher l’énième cadavres. Une fois descendu à la morgue l’inspecteur chercha la nouvelle preuve attendue et la trouva pas. Puis dans sa tête un déclic il se rappela, ou se trouvait le bout de papier que sa fille avait écrit en son attention pour le prévenir qu’elle été en danger. Il y trouva la troisième preuve.
Il pensa que cet idée de vengeance à vouloir remuer le passe pouvait être un mobile il remonta alors avertir ses subordonné de cette idée.
La commandante arriva sur ce fait au q.g., prévenu des tournures de l’enquête. Elle examina les preuves, l’indice, le suspect, les témoignages retranscrit. Elle songea qu’elle aurait peut-être du appelait et sortir de vacance un autres inspecteur mais maintenant, tant que cet inspecteur n’en souhaiter pas elle ne pourrait rien faire.
Le téléphone sonna, le tirant de sa rêverie. Elle décrocha puis tout en écoutant son interlocuteur regarda l’horloge murale face à elle et vit 11h00. Au bout du fil son interlocuteur se présenta et dit qu’il était le meurtrier et qu’il venait de déposer sa nouvelle victime à l’étage 1 et demanda si ils voulaient qu’il le livre à l’étage trois ou si il venait le chercher. Il raccrocha ensuite en voyant qu’il n’aurait pas de réponse. La commandante en resta sidérée. Le meurtrier a quand même eu le toupet de prévenir la police et vde lui demander s’il voulait qu’il livre le cadavre. Elle se dit ensuite qu’il faisait sa pour narguer la police et prouvait son intelligence par rapport à toute la brigade. Il était tellement en confiance qu’il risquait un jour de commettre une erreur. Elle avertit l’inspecteur puis tout en l’accompagnant lui donna la marche à suivre selon elle.
L’inspecteur et la commandante descendirent à la cafétéria d’où ils essayèrent d’espionner les alentour et donc les personnes suspects. 5 minutes plus tard le téléphone de la commandante sonna : c’était la morgue qui lui demander de venir récupérer elle et son équipe tous les cadavres car ils prenaient trop de place et gênait tous le personnel et les familles qui venait se recueillir provoquer de petits soucis.la commande acquiesça et demanda à toute l’équipe sauf l’inspecteur de venir l’aider.
Ils partirent dix minutes plus tard laissant De la Zerrato tout seul, à la merci du tueur.
Jusqu’à 11h50 il enquêta interrogea fit des photos des relever fit des recherches…
Mais rien de concret : pas de suspect, pas de mobile, pas de témoin, pas de preuve…
À 12h00 il descendit et se rendit à la cafétéria pour aller acheter quelque chose à manger. Après avoir acheté son repas il remonta à l’étage 3 et se rendit à son q.g.
À 12h30 il reçut un coup de fil annonçant la découverte de la victime du tueur encore à l’agonie.
L’inspecteur se précipita vers l’ascenseur.
Au même moment le tueur se dirigea vers le q.g. de son « ennemie » et y déposa un mot ainsi qu’un autre cadavre. Il déplaça des indices en rajoutant et en enlevant. Il partit ensuite comme si de rien n’était et alla s’occuper de sa prochaine victime qu’il venait « d’enlever ».
L’inspecteur arriva sur les lieux du crime. Il interrogea, pris des photos, fit des prélèvements…
Il remonta ensuite à son QG ou il découvrit tout le désordre mis par le tueur. Il sut que c’était lui car en plein milieux du tableau il avait signé le tueur de l’hôpital sainte Perséphone. Il découvrit au milieu de ce capharnaüm un cadavre il écarquilla les yeux. Il pensa ensuite que le tueur ne tuer plus une victime mais deux maintenant. Il ordonna malgré le fait que son équipe ne soit pas revenue que l’hôpital soit confiné avec les 177 membres du personnel restant.
Il découvrit ensuite le mot laissé par l’assassin : Maintenant je tue 2 victime/jour…
Je voulais juste vous prévenir.
Votre dévoué assassin.
L’inspecteur resta médusé, l’assassin, se sérial killer avait eu l’audace de le prévenir. Il appela la commandante et lui donna tous les détails nécessaires. Il lui dit aussi que son plan ne pourrait plus fonctionner maintenant. Elle lui donna ensuite un conseil.

Les Preuves MystérieusesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant