chapitre 1: l'opposé d'un hôpital

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Le 8 janvier, dans un hôpital : l’hôpital sainte Perséphone, la déesse de la mort dans la mythologie grecque,  à minuit, une infirmière fit le tour de ses patients. Arrivé à son avant dernière chambre, la 192, elle y découvrir un cadavre. Elle cria qu'elle avait besoin d'aide, pris son pou. Rien. Le chariot de réanimation arriva. Ils essayèrent de le ranimer. Sans résultat. Ils l'emmenèrent à la morgue. Arrivé là-bas ils reconnurent une jeune stagiaire de garde. Le légiste constata que la défunte avait été pompée de tout son sang. Il appela la police. La police ne le cru pas et lui raccrocha au nez. En retournant sur les lieux où a été découvert le cadavre il découvrit l'empreinte de la stagiaire dans une flaque de sang.

Ayant fait des recherches sur les différents sangs étant plus jeune, il reconnut que ce sang n’était pas celui d'un humain normal. Mais sans plus. Il se dit qu'il n'y avait aucune preuve tangible de son assassinat et se dit que la police avait peut-être raison et qu’elle s’est suicidée et que tout n’était que coïncidence entre la flaque et le cadavre. Il retourna à la morgue.
Alors que le médecin allait ausculter un patient s’étant réveillé et ayant bipé les infirmières car il avait des douleurs abdominales. Il rencontra un autre cadavre. Il regarda l’heure et il vit 1 :00. Ayant entendu l’histoire du cadavre de minuit il regarda attentivement et reconnu un autre stagiaire. Il appela la morgue et la police. Ce coup-ci la police le cru et envoya une brigade.

Arrivé sur les lieux des crimes, l'inspecteur George de la Zerrato fit le tour de l’étage puis pris l'ascenseur, descendit de trois étage et découvrir, dans un étage vide trois cadavres. Il regarda l'horloge murale et vit 4h00. Il blêmit puis regarda attentivement les mises en scène des meurtres.
Il remarqua que les victimes avaient toutes été tuées de la même façon : pompé de tout leur sang.
Il appela ses collègues et pris des photos de la scène de crimes. Il fit ensuite le tour de l’étage en attendant son équipe.
L'inspecteur se dit que le tueur ne pouvait s’être échappé sans avoir pris l'ascenseur et donc être passé devant lui or il n'avait croisé personnes et aucun plans n'indiquait une sortie de secours ou d'escalier.
Après être revenu sur ses pas. Il remarqua que tous les corps baigné dans du sang. Il en déduit que se sang appartenait aux victimes. Il remarqua au loin, dans la salle de repos des infirmières un tableau blanc mobile et des feutres d'ardoise. Il les prit et transporta le tableau dans une chambre. De cette chambre il vit son équipe passer les porte de l'ascenseur et qui découvrit les trois cadavres. Deux ou trois d'entre eux se précipitèrent aux toilettes les plus proches pour rendre leur petit déjeuner.
Après qu'ils soient revenus l'inspecteur les appela et ils l’aidèrent à déplacer les meubles de la chambre. Ils firent de cette chambre leur QG.
Ils commencèrent par investir la morgue pour l'autopsie des 5 cadavres. L'inspecteur découvrir, ensuite dans le rapport du légiste, la cause du décès de ses cinq personnes et leur identité : elles ont été tuées pompé de tout leur sang et sont mortes quelque minutes après et ces victimes sont toutes des stagiaires de l’hôpital.
L'inspecteur déduit donc que le mode opératoire utilisé par le tueur semblant être là même ils avaient affaire à un serial-killer !
L'inspecteur regarda l'heure et vit 4 :55.
Il remarqua avec étonnement que les deux premières victimes avait été découverte à une heure de décalage mais les trois dernières en même temps avec 3h de différence avec la deuxième. Il décréta que la découverte des deux premières victimes n’était que coïncidence et n’écouta pas son second qui lui disait l'inverse. Son second parti alors en claquant la porte et ne revint jamais.
Il prit l’ascenseur pour sortir mais une infirmière affolé entra en trombe et appuya sur un autre étage : l’étage 6. Ils montèrent et arrivé là-bas il remarqua un attroupement. Son instinct lui dicta d’aller voir. Il se précipita là-bas.
Il y découvrir un autre cadavre il hésita à appeler l'inspecteur mais ne le fit pas. Pourquoi, après tout il n'avait même pas écouté sa théorie. Un bon inspecteur écoute ce qu'ont à dire leur subordonnée.
Hélas tout le monde à la caserne savait que cet inspecteur n’était pas digne d’être inspecteur.
Il n'avait eu de poste que parce que sa troisième épouse l’avait nommé et que en sa mémoire il lui avait donné. Le second regarda l'heure et vit 5 :02 l’intervalle avait été respecté. Il reprit l'ascenseur avec deux chirurgiens dont un sorti en même temps que lui du bâtiment. Ce qu'il y avait d’étrange à sa c'est que l'on aurait pensé qu'il allait opérer quelqu’un vu sa tenue.
L'inspecteur remarqua l'absence de son second qu'à 5 :20 quand il lui demanda d'aller lui chercher un café et un petit déjeuner et qu'il ne lui répondit pas. Il envoya donc des hommes le chercher dans tous les étages de l’hôpital et lui s'occupa du 6.

Arrivé là-bas le personnel de l’étage l'aborde en lui demandant pourquoi il n’était pas venu plutôt quand il l'avait appelé, 20 minutes plus tôt. Il leurs répondirent en souriant qu'il croyait que c’était une blague.
Les infirmières le conduisirent dans une chambre vide où elles avaient transporté le cadavre de manière à ce qu'il ne gêne pas le travail du personnel soignant et le confort des patients. L'inspecteur leur interdits appartient de maintenant de déplacer les cadavres et de nettoyer après sinon il les arrête pour outrage à une enquête de l'inspecteur De la Zerrato : le meilleur des inspecteurs.
Toute les infirmières firent colporter que cet inspecteur était considéré, dans sa brigades, comme le plus mauvais et le plus mégalomane. On ne lui a confié cette enquête juste parce que les autres inspecteurs étaient en vacances ou occupé.
Un de ses brigadiers lui dit qu'il fallait regarder les caméras. L'inspecteur ne pris même pas la peine de lui répondre. Il retourna à son QG. Arrivé là-bas il remarqua que trois brigadier était partie. Il se demanda alors qui lui apportera son café ou de quoi manger.
Au bout de 10 minutes il remarqua sur un plans que l’hôpital été pourvu de caméra de vidéosurveillance. Il se demande pourquoi personne ne l'avais prévenue. Il ordonna à un de ses brigadiers d'aller lui chercher la bande de vidéosurveillance.
Vingt minutes plus tard un brigadier vins le prévenir qu'il ne pouvait pas lui apporter la bande mais qu'il devait aller dans le local de sécurité la regarder.
L'inspecteur l'engueula et le vira de l'enquête. Il partit avec quatre autre brigadier qui partir en signe de soutien. L'inspecteur se retrouva plus qu’avec à son service une dizaine de personnes. Il descendit alors dans le local où l’attendait des agents de sécurité. Il exige que tout le monde sorte pour qu'il puisse visionner la bande vidéo en toute tranquillité.
En visionnant la bande vidéo il remarqua qu’à chaque fois la bande vidéo était coupée pendant cinq minutes et dès que la bande reprenait il découvrit les victimes agonisant puis vit la mort dans leurs yeux. Il comprit que la bande vidéo était coupée pour que le coupable puisse tuer ses victimes en toute impunité.
Il regarda l'heure et vit 5 :55.
Il mit la bande vidéo en marche à l'heure actuelle. Puis il se déplaça partout dans l’hôpital. Il vit à l’étage 7 un chirurgien qui versait un bidon de sang par terre puis la vidéosurveillance se coupa.
5 minutes plus tard la vidéosurveillance se ralluma et il découvrit le cadavre au niveau de la flaque de sang. Il zooma et vit la victime mourir sous ses yeux. Il se précipita vers l'ascenseur et appuya sur le bouton 7. Arrivé entre l'étage 5&6 l'ascenseur s’arrêta soudainement.

Les Preuves MystérieusesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant