Chapitre 2

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Impossible c'était bien lui l'homme de mes rêves, je ne l'avais jamais vu, pourquoi je semblais si bien le connaître ? Je ne pouvais pas le connaître mais mes larmes couler seul sur mes joues, comme si on me rendait aujourd'hui un peut de ma raison de vivre.'' Je dois délirer, ce n'est que mes chaleurs... '' je t'entais de m'en convaincre mais rien ne marchais. Je l'attendais, je le voulais, c'était lui, celui qui me manquait tellement, c'était lui. Au milieu de tant d'émotions je chercher à reprendre mes esprits, les vapeurs qui entouraient ma vue, les attouchements beaucoup trop appuyer de cet homme et mon envie irrépressible de lui dire à quel point je l'....Non. Tout ça n'était dû qu'aux chaleurs, je devais me reprendre. Je n'arriver pas à parler, à lui dire de s'éloigner. Son intimité qui cogné contre la mienne après qu'il met assied sur ses jambes pulsait comme si elle allait exploser, pendant mes absences et mes réflexions ma respiration se saccadait il glisser des mots d'espoir à mes oreilles. Cela était entrecoupé de longues respirations où il tentait de ce contrôlé.

- Vous m'avez tellement manqué...Je suis si heureux de vous revoir. Parmi tant d'autres revenaient souvent et glisser en moi comme un Frison délicieux.

J'avais jusque-là réussi à l'éloigner de ma nuque, ne voulant pas qu'il la morde, mais je n'étais plus sur de pouvoirs me retenir moi-même de m'offrir à lui bien longtemps. Il essayait lui-même de se retenir mais ses lèvres se rapprochait trop dangereusement de moi. Mon sac était trop loin pour que je prenne mon suppresseur en seringue, beaucoup plus rapide que la pilule dans ma poche et ce connard d'ascenseur c'était bien évidemment refermer. Il était hors de question que ma première fois soit avec un inconnu dans un ascenseur ! J'aurais voulu le repousser, le frapper, mais mes forces était toutes partie dans mon excitation. Avec énormément d'effort je réussis à parler

- M....suppresseurs....sac....

Mon esprit le repoussait autant que mon corps s'accrocher a lui. Ma bouche cherchait sans cesse la sienne, mais mes yeux clos ne comprenaient pas pourquoi elle ne la trouvait pas. Je me sentis bouger au moment ou ses ongles s'enfonçaient dans ma chaire et que ma langue rencontrait enfin la sienne. La sensation si délicieuse de ce contact désespéré me fit jouir instantanément provoquant chez moi d'immanence spasme de bien-être, les bras de l'homme me retenir pour m'empêcher de tomber en arrière. La force de cette jouissance me permit de rouvrir enfin les yeux et découvrir le visage torturé par le contrôle de l'homme en face de moi. Tout dans cette expression indiqué le danger, la rage, l'a retenu et devait procurer la peur. Mais ce que cette expression m'inspira fut tout autre, je ne fus pas surpris de la trouver à mon goût et d'en être fière. La seconde qui suivit ma contemplation, une aiguille viens se planter dans ma cuisse fessant retomber instantanément toutes les odeurs dans la cabine. Ils nous fallut cependant de longues minutes pour reprendre notre souffle. Durant les qu'elles l'homme ne me lâcha pas mais n'arrêta pas de s'excuser, il avait enfoui son visage dans mon épaule et à trembloté comme s'il pleurait. Avec mes dernière force je réussis à lui caresser les cheveux avant de tomber de sommeil. 

Cette nuit-là, mon rêve fût tout autre, pas de mort violente, pas de pleur, juste le bonheur presque stupide avec un gamin qui me suivait partout nous étions en tenue presque militaire mais bien plus extravertie. Entourer de monde qui m'appelait capitaine à mon passage, je vérifiais toutes les chambres d'une sorte de château que les autres soldats s'appliquer à nettoyer sans grande conviction vu le résulta. Le gamin, qui me suivait saluant au passage toutes les personnes que l'on croisait d'un point dans le dos et l'autre sur la poitrine, avait un grand sourire sur son visage et chaque fois que je le voyais mon cœur ratait un bon. Je ne montrais rien mais je sentais que sa présence à elle seul me comblait de joie. Puis comme dans un film on passa du jour à la nuit en un clignement d'œil. La nuit tout semblait plus facile, c'était comme si rien ne pouvais me déranger tant qu'il était à mes côtés. J'étais bien contiens qu'une étrange menace régnait sur le monde mais juste en étant assied dans ces bras je n'y pensais plus. Comme si je pouvais enfin me montrer tel que j'étais, que mon vrais moi ressortait, celui qui avait des émotions, qui pouvaient aimer sans se soucier du monde. Dans ses bras je me sentais à l'abri et je savais que tous les mots tendres qu'il me susurrer à l'oreille était réel, je pouvais y croire. L'amour qui régnait en moi, me rendais inconscient, ce gamin me rendais plus insouciant que jamais.
Les images et les sentiments qui avaient envahi mon corps me quittent petit à petit, chassé par la lumière et une froideur soudaine sur mon front. Je revenais à la vraie vie et plus j'avançais vers le monde réel, plus je me souvenais des événements survenue plus tôt. Un retour trop violant à la réalité me fit me relever et respirer plus bruyamment que je ne l'aurais dû. Je me réveiller pourtant d'un rêve pas d'un cauchemar. Mes joues humides de larmes n'auraient pas dû l'être, pourtant je dus reprendre mon souffle avant de pouvoir ouvrir les yeux. La bouffer de chaleur qui parcourait mon corps était une dure évidence du passage de mes chaleurs. J'avais remarqué Hanji dans un coin tandis qu'un jeune homme se tenait debout à côté d'elle, l'air inquiet. Ce jeune homme que j'avais vu plus tôt....Eren ? Comment pouvais-je connaître son prénom. Je me refusais d'y croire, mais je savais pourtant très bien qui il était, il était le gamin qui me rendais si vivant dans mes rêves, celui qui mourait encore et encore sous mes yeux... Celui que j'aimais...Et aujourd'hui il s'agissait de mon alpha.

- Rivaille, comment te sent tu ?

Mon visage inexpressif n'avait pas le moindre secret pour ce docteur fou, elle savait parfaitement comment interpréter ma confusion. Elle prit une inspiration, celle qu'elle prend quand elle a une mauvaise nouvelle à annoncé.

- Ta rencontre avec ton alpha a déclenché une trop forte réaction pour ton côté oméga et l'a complètement détraqué. Tu peux remercier E..

- Eren...

À l'appel de son prénom il réagit, ce n'était pas si étrange, il était l'homme dans mes rêves et maintenant que je l'avais en face de moi j'étais pleinement capable de me souvenir de son prénom, de son visage...Mon cœur se serrait encore dans ma poitrine et mon épris se méfiais. Comment pouvais-je avoir rêvé de quelqu'un que je ne connaissais pas avec autant de conviction. Connaître jusqu'à son prénom et être près à me jeter dans ses bras à tout moment. Cette méfiance poussait quelque par au fond de moi, l'alpha à s'éloigner. Il n'approcha pas et alors que Hanji ne savait pas si elle devait continuer sont explication ou nous laisser tranquille, je lui fis signe de continuer en l'écoutant cette fois-ci.

- Ta rencontre avec ton alpha a déclenché une trop forte réaction pour ton côté oméga et l'a complètement détraqué. Tu peux remercier Eren d'être parvenue à se retenir et avoir trouvé tes suppresseurs à temps. Une telle dose de phéromones aurait transformé n'importe quel autre alpha en tueur. L'odeur a atteins les autres bureaux et beaucoup ce son senti mal. Rivaille, il faut que tu sache qu'une tel force t'a fais du mal à toi et ton côté oméga, malheureusement je n'ai jamais eu ce genre de cas, je ne connais donc pas les conséquences. Il me faut pour ça te faire des examens complets. Eren à très bien réagis...Malheureusement il a réagi trop tard, ton corps porte de nombreuses marques semblable à une hémorragie interne mais tu n'as pas l'aire d'avoir de séquelles. C'est pour quoi je ne comprends pas ce qu'il s'est passé.

- Je suis désolé...si j'avais réagi plus tôt vous n'en seriez pas là...

Les mots sortaient si difficilement de sa gorge que je les comprenais à peine. Comment aurait-il pu mieux faire ? Son alpha était bombardé de phéromones plus puissant que n'importe qu'elle omégas aurait pus produire.

- Tant fait pas gamin tu n'y es pour rien, c'est déjà suffisamment étonnant que tu y es résisté...

- Ça c'est car il y a un fort amour et une forte connexion entre vous deux et vos deux natures.

- Ça m'étonnerais on ne se connaît même pas, cette hypothèse est complètement stupide, médecin psychopathe...

- Rivaille que tu y crois ou pas les fait sont, encore en cet instant il y a une telle alchimie entre vous que même les bêtas n'ose pas s'approcher. Vous êtes connecté par le cœur et par l'âme. Vous êtes ce qu'on appel une pure paire. Deux âmes sœur dans un langage plus courant. Mais ça va plus loin que ça, et si aujourd'hui ton corps et à ce point mal en point après seulement quelques minutes de chaleur, je te laisse imaginer les risques si tu les as toute une journée.

Les nombreuses remarque et observation de Hanji continuèrent de longues minutes, jusqu'à ce que je j'accepte de faire tous ses examens.

Un irrésistible besoin de toi.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant