Coming Home [A.G] -Tome 2-

Chapitre 25 : Réconciliation

Vendredi 22 Juin,

3h53.

Istra, Russie.

J'ouvre mes yeux et je peux voir à mes côtés grâce à la lumière de la lune Antoine, je remarque que je ne suis pas dans ma chambre mais dans celle d'Antoine.

Je regarde l'heure affiché sur le réveil, mais comment j'ai fais pour me retrouver aussi.

Quand j'essaye de me rappeler où j'étais dernièrement, je me rappelle de l'appel avec mon oncle à propos de ma mère. Est-ce vraiment arriver ou est-ce que je l'ai rêvé ?

- Ça va petit coeur ? La voix d'Antoine me fis sursauter.

- Je...oui tout va bien. Bégayais-je.

- Tu pleure ? C'est quand il me le dit que je le remarqua.

- C'est rien, j'ai une question par contre ?

- Je t'écoute ?

- Est-ce que j'ai vraiment reçu un appel de Didier hier soir à propos d'un accident avec ma mère ou je l'ai rêver ? Car c'est impossible que je m'endorme comme ça alors que je viens d'apprendre une telle chose. Dis-je assez rapidement car pour moi c'était inenvisageable, qu'elle fille je ferai sinon, celle qui s'en fou royalement de sa mère et qui s'endort paisiblement.

- Ecoute Mady il va falloir que tu sois forte. Il nu le temps de finir sa phrase que je le coupa.

- Non Antoine j'y crois pas, dit moi que c'est une caméra caché. Et je re commença à pleurer. Je ne peux pas perdre ma mère ! Pourquoi je dors tranquillement alors qu'elle est sûrement entre la vie et la mort ! Dis-je en montant de plus en plus le son de ma voix.

- Tu étais tellement mal quand ton oncle à appeler, tu t'es endormis dans mes bras, j'ai même un doute si tu n'as pas fais un malaise, tu t'es effondré d'un coup. Je me suis dit qu'il serait préférable d'y aller demain.

- Mais putain Antoine, c'est ma mère ! Il fallait me réveiller malaise ou pas malaise, tu aimerais que je te laisse presque dans le secret alors que t'as mère et sûrement entre la vie et la mort !

- Mais je-

- Non c'est bon je vais me débrouiller. J'étais déjà sortis du lit depuis plusieurs minutes et je mis mes chaussures pour partir au plus vite d'ici.

- S'il te plaît Madison écoute moi, ne prend pas le volant, tu es fatigué et énervée je comprend mais je n'ai pas envie qu'à toi aussi il t'arrive un accident. Dit-il toujours sur un ton calme.

- Fallait y penser avant ! Et je partis presque en claquant la porte.

Je me précipita vers l'extérieur du bâtiment et pris une voiture disponible quand nous avons besoin de déplacement personnel tout en ayant pris soin de prendre les clés à l'entré du bâtiment.