Elle

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elle s'appelle taylor alekseï, orpheline de naissance, j'ai grandit avec des assassins, mes journées quotidienne la bas était cauchemardesque, le matin au petit déjeuner j'étais violé et ça tout les matins.

le midi c'étaient l'entraînement je devais éviter les coups, interdiction de répondre par des coups, au goûter, nous subissions des techniques de tortures, telle que nous broyer les os, et si l'ont pleure criais ou même ne serait-ce que montrer un signe de faiblesse nous étions punis.

c'est à dire qu'il nous faisait nous asseoir nu dans la neige enchaîner pendant 5 jour à -50 degrés en température. le seul véritable repas que l'on avais le droit c'était le soir, des patates uniquement. il nous traitait comme cela pour nous renforcé.

plus d'un sont mort sous ce traitement. vous penser que c'est affreux, que personne ne mérite ce traitement ? qu'une enfant de 5 ans ne méritent pas cela ? que quelqu'un aurait pu faire quelque chose ? 

et bien navrer  de vous décevoir, mais a par la conquête du monde, sauver les enfants n'était certainement pas une priorité, étaient-ils même au courant de cela ?

(en russe)

T: bonjour chef, vous m'avez fait appeler ?

C: oui j'ai entendu parler des dernières missions que tu as réussi, je te félicite, je voulais d'ailleurs te confié une mission spéciale à toi.

l'homme qui se trouve en face de moi est le plus répugnant de toute la race humaine qui puisse existé, plusieurs enfant sont mort par sa faute.

pour se faire respecter il mettais les enfants qui ne donnais aucun résultats de coté, ensuite il nous faisait sortir dans la court, ont se trouvais devant les "déchu" (comme ils les nommais), ils étaient alignées devant nous et accroché à des poteaux en bois.

il prenait des clous et un marteau, il choisissait l'un de nous (ceux qu'il nommait ses "enfants"), et ses enfants devais clouer les pieds et les mains des déchus sur le poteaux.

si un seul d'entre nous fermais les yeux il se prenaient une balle entre les 2 yeux. sans attache et sans remord pour personne.

j'ai tant de fois prié pour mourir, la nuit je pleurais en silence. nous dorions par terre, à même le sol, hiver comme été, il y avait des fenêtre mais sans carreaux, nous dormions avec pour seul vêtement des tissus en lambeaux.

jusqu'à l'age de 12 ans, je subit toutes c'est horreur, 12 ans c'est l'age ou ils nous mettent dans une arène et c'est un combat à mort qui s'annonce, nous nous battons contre des prisonniers, généralement se sont soit des meurtriers, soit des assassins professionnel capturé au court de mission ou capturer lors de tentative d'attaque.

enfin reprenons.

T: je vous écoute.

C: bien, bonne réponse.

il y eu un blanc, il n'attendais qu'une seul chose que je j'oscille du regard, et cela ne signifiai qu'une chose pour moi, ce serait la fin. 

il repris la conversation au bout d'un long moment, très long moment de silence.

C: voici la personne à élimine, je te donne ce sac, tu y trouveras une identité, ainsi que de quoi passer inaperçu. 

joignent le geste à la parole il me tendis la photo d'un homme brun environ 20 as 25 ans environ, brun au yeux vers émeraude, l'indifférence total.

T: qui est-il ? un autre groupe d'assassin ?

C: non il est juste sur mon chemin, un dégât collatérale, je dirais.

il affichât ensuite un sourire carnassier, qu'il était répugnant. il puait le whisky mélanger au cigare et à l'odeur de transpiration. il me répugne au plus haut point. l'odeur de sang me direz vous et bien oui elle est présente mais ont fini par si habitué et cela ne me fait plus rien maintenant.

T: très bien, autre chose ?

il me regarda, puis détourna son regard au bout de 2 minute et continu.

C: oui, une fois que tu auras fini, reste sur place j'aurais sûrement encore besoin de tes services.

part, me direz vous, ..... si seulement c'était aussi simple. si quiconque décide de partir alors il trahi le groupe, et il se feras traquer jusqu'à sa propre mort, donc pour en revenir à ce que je disait pour partir il faut mourir. les règles sont simple tuer pour survivre, remplir des contrats pour vivre et accourir quand le chef appel.

nous avons la possibilité de choisir nos propres contrat, je choisie toujours des hommes malhonnêtes, généralement meurtriers ou encore violeur. je les tue toujours en les regardant dans les yeux, voir la peur dans leur regard, les voir transpirer de peur, il bégayent très souvent quand on leur pointe une arme dessus, mais si tu est proche de lui et que tu lui met le canon sur la tempe, généralement il ne parle même plus, il ose à peine respirer.

j'aime me délecter de cela à savoir punir ceux qui ont commis le pêcher de tuer.

j'ai 5 règles seulement dans ma vie et je m'y tient

1er règle et surtout la plus importante : ne jamais tomber amoureuse,

2ème règle  : tué seulement si nécessaire, c'est à dire si un obstacle se trouve sur votre route et que vous n'avez pas le choix.

3ème : ne jamais tué d'enfants, ils sont innocent ils n'ont rien fait. ils ne doivent pas payer pour les actes de leur parents.

4ème : ne pas s'occuper des histoire des autres, je ne me mêle jamais de la vie des  gens j'ai déjà mes propres problèmes.

et la 5éme et dernière règle : survivre est la dernière option, c'est à dire que tout est permis du moment que je réussi la mission.

nous n'avons jamais revu ceux qui ont déjà échouer, le moindre faux pas et c'en est terminé de tout cela.

sans dire un mot de plus je prend les infos et je fonce vers l'aéroport.

un sous-fifre du chef arrive puis.

 vous l'avez envoyer vers l'homme qui nous envoi toujours un retour de nos assassin par courrier. le chef afficha un sourire carnassier sur son visage.

j'arrive à l'aéroport il est 14h j'embarque dans 2 minute je fonce vers le pont, et passe sans problème.

je monte dans l'avion, il décolle et je patiente, je sors mon ordinateur et me renseigne sur ma cible.

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suite au chapitre suivant.....

Only You (TERMINÉE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant