Clan

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Mon corps qui venait d'être réchauffer, à des frisons. Encore un, toujours quelqu'un, toujours cette douleur. Je l'ai aniler, de mon mental, de mon physique, de ma vie. Une dernière caresse, un dernier cadeau, un dernier au revoir. J'aimerais partir mais cette pression m'en empêche. Je m'elance dans les rues froides jusqu'à la devanture de ce repère. J'y pénètre, le regard perdu, le visage sombre. Je passe une porte puis une autre, un couloir ici, une salle par là; je finis par me stopper. Je m'assois sur mon bureau mon regard refusant de lâcher ce bout de papier, j'esquisse un sourire mélancolique, mon mental faiblit, encore ils vont à nouveau me dévorer.

Recueil de petites histoires Où les histoires vivent. Découvrez maintenant