Mon nom est Valentin mais on m'appelle Vald

Chapitre 4: 26 ans dans le mensonge

Moi: Valentin, Nathalie et Pascal ne sont pas mes vrais parents, j'ai été échangé à la naissance.

Le blondinet fut tellement surprit qu'il se retourna vers moi laissant sa clope tomber au sol.

Vald: Non...

PDV de Vald:

Je fut tellement surpris de la nouvelle que la clope que j'avais entre mes lèvres alla s'écraser au sol. Je regardais mon ami essayant de déchiffrer sur son visage le moindre signe qui me démontrerait que c'était une mauvaise blague. Mais les seuls signes que je déchiffrés sur son visage était ceux de la tristesse et d'un profond désespoir. Le voir comme sa me fit terriblement mal au coeur AD étaient pour moi un ami, mon backeur, le parrain de mon fils mais surtout il était comme un frère pour moi. 

Moi: AD comment...

AD: Je ne suis pas née à Aulnay... je suis née dans l'Orne... putain de merde j'ai l'impression que toute ma vie n'a été qu'un mensonge durant ses 26 dernières années... je ne sais même pas qui je suis...

Je vois mon ami s'effondrer en mettant sa tête dans ses mains. Je peux remarquer que sont dos sursaute légèrement, je comprends tout de suite qu'il est en train d'éclater en sanglot. Je l'ai déjà vu plus d'une fois pleurer quand on était seul et qu'il venait se confier à moi quand il avait perdu des membres de sa famille. Mais la c'était différent, se n'était pas quelqu'un qu'il avait perdu, mais lui même. 

 Je m'approche vers lui, m'assois à ses côtés et lui pose ma main sur son épaule. C'est se que j'ai toujours fait dans ses moments là quand il était triste, je posait ma main sur son épaule pour lui montrer mon soutien et j'attendais qu'il aille mieux. Mais aujourd'hui j'ai l'impression que se geste ne lui suffira pas pour le réconforter.

Moi: Est-ce que tu sais ce qu'il s'est passé il y a 26 ans?

Il redressa la tête et colla son dos contre le dossier du canapé en fixant le mur blanc qui se trouvait en face de lui.

AD: Oui, Valéria m'a tout raconté

Moi: Et tes parents étaient au courant ?

AD: Non pas du tout, ils ont été choqué en apprenant la nouvelle, quand on l'a appris on a été faire des testes pour confirmer ses dires et les testes ont révélés que je n'étais pas leur enfant biologique.

Moi: Est-ce que tu as rencontrer tes vrais parents ou est-ce que tu les a déjà contacté ?

AD: ... Ils sont mort il y a 3 mois dans un accident de voiture... et c'est grace à sa que les enquêteurs ont pu retrouver ma trace et comprendre se qu'il s'était réellement se jour là.

Moi: C'est terrible, tu n'as même pas pu les rencontrer. Mais comment sa se fait que tu es pu être échanger à la naissance sachant que tu n'es pas née dans le même département.

AD: Je vais te raconter toute l'histoire... Il y a 26 ans donc je suis née 26 juin 1992 dans l'Orne, mais j'ai été victime d'un trafique de nourrisson. Quand ma mère qui m'a élevé à accouché, il y a eu des complications durant l'accouchement et quand les infirmière ont emmené le nourrisson dans la pièce d'à coté pour lui prodiguer les premier soins, celle-ci a fait une erreur grave se qui a entraîné la mort du nourrisson. Et pour ne pas que l'hôpital est à subir des représailles et qu'ils ne soient entraîné en justice l'hôpital a contacter certains médecins véreux qui pratique le trafique de nourrisson. Et il se trouvait que je naissait le même jour que le nourrisson avec lequel j'ai été échangé, alors quand je suis née on à fait croire à mes parents biologique que j'étais trop faible et que je devais être enfermé dans une pièce spécifique. Et c'est grâce à se stratagème que l'échange à pu avoir lieu. Et cela a permis à l'hôpital de ne pas avoir de représailles car il n'avait rien à se reprocher parce qu'ils ont mentionné que le nourrisson était faible bien avant que ma mère ne m'est mis au monde. Et en justifient dans le dossier qu'ils avait fait en sortent de me prodiguer tout les soins nécessaires afin que je puisse vivre, ils n'avait aucune preuve contre eux. Le nourrisson qui est décédé et moi avons été le jours même échangé. Ils ont fait croire à mes parents qui m'ont élevé qu'il n'avait pas le droit de me voir car j'étais placé dans une pièce stérile. Et pour se qui est de mes parents biologique il leur ont dit que le lendemain que leur nourrisson étais décédé dans la nuit car il était beaucoup trop faible et que même les machines n'arrivait à le maintenir en vie correctement.

Je ne peux pas croire sa, comment des médecins ont-ils put faire sa ? Ils ont fait souffrir des familles dans le seul but de protéger leur peau.

Moi: Putain sa me dégoute ! Ils n'ont même pas eu les couilles d'assumer leur erreur, et ils ont préféré faire souffrir des familles sans même se mettre à leur place et voir tout le mal que sa aurait pu leur faire.

AD: Sa a toujours était comme ça Val, c'est toujours ceux qui ont le plus d'argent et d'influence qui s'en servent pour cacher leurs erreur et ils en ont rien à foutre du mal qu'ils peuvent faire au gens ou non.

Moi: Et Valéria dans tout sa ?

AD: Valéria "sourit" eh bien elle a grandit pendant 22 ans en pensant qu'elle avait un frère aîné qui est mort à la naissance et elle a vécu seul avec nos parents. Jusqu'à il y a deux mois et demi quand elle a su se qu'ils s'étaient réellement passé.

Moi: C'est toi qui l'a contacté ?

AD: Oui, quand j'ai été voir la police il m'ont remis un dossier avec les coordonnées de mes parents et de ma soeur. Et en sortant du comisériat je l'ai contacté, et le lendemain je partais dans l'Orne pour aller la voir. On avait besoin de se voir même si s'était peut être trop tôt mais on en avait besoin, surtout moi, je voulais être auprès de la personnes qui avait le même sang que moi et qui ressentait les mêmes émotions. Et j'ai bien fait d'y aller car c'est la meilleur chose qui me soit arrivé depuis 2 mois et demi.

Moi: C'est vrai que vous vous ressemblez, physiquement mais aussi dans votre caractère et dans votre manière d'être. Et elle semble beaucoup attaché à toi.

AD: Oui et moi aussi je le suis, mais parents et mes frères l'apprécie beaucoup aussi, ils l'ont vu plusieurs fois et on même passé 2 semaines avec elle et il la considère comme leur enfant. Et je pense que sa lui fait du bien à elle aussi d'avoir une figure paternel et maternel à ses côtés, elle est encore jeune et je sais que même si elle ne le montre pas elle en souffre terriblement à l'intérieur.

Moi: Oui c'est une bonne chose et maintenant qu'elle habite près de toi et de tes parents se sera plus pratique.

AD: Oui et au moins maintenant elle est près de moi et je me sens moins seul.

Moi: Tu sais AD peut importe qui sont tes parents, car tu es et tu n'as jamais cessé d'être toi.

AD: Oui tu as raison. Mais dit moi sa t'arrive de dire des trucs censés toi des fois "ricane".

Moi: oh la ferme "rigole".

AD: Merci vieux frère.

Moi: De rien mon khey !

On continua la fin de soirée en fumant et en buvant tout en matant des séries sur Netflix. J'étais soulagé qu'AD se sente mieux après qu'il se soit confié à moi, même si je sais que sa blessure n'est pas pour autant guérit et qu'elle va mettre plus de temps que sa à cicatriser, et que sa laissera une cicatrice.