Mon nom est Valentin mais on m'appelle Vald

Chapitre 1: La rencontre

Je me dirige à toute vitesse vers ma porte d'entrée afin d'exprimer mon mécontentement à la personne qui est responsable de tout ce vacarme.

À peine ai-je eu le temps d'ouvrir la porte que je fu choqué de la montagne de carton et de meuble qui était entreposé sur mon pallier et tout au long du couloir de mon étage.

Je réusi tant bien que mal à me frayer un chemin au milieu de tout se bordel et me dirige vers le premier mec que je croise. J'allais m'adresser à lui quand soudain une fille sortit de nul part se dirigea vers le mec en lui pointant des documents sous le nez et en lui criant dessus.

Elle: Se n'est pas se qui été prévu dans le contrat, vous deviez déposer les cartons et les meubles dans mon appartement et non sur le pallier !

Lui: Excusez moi ma petite dame mais nous sommes déménageurs pas décorateur d'intérieur.

Elle: Non mais quel culot ! Je vous ai juste demandé de déposer les meubles dans le salon de mon appartement, c'est se qui était convenu dans le contrat regarder. "lui tant les documents".

Lui: "les saisie et regarde" Oui les termes du contrat ont bien été rempli, il est inscrit que nous devions transporter vos bien dans le bâtiment à l'abrit des intempéries et des vols éventuelles. Éstimez-vous heureuse que l'ont vous les ai transporter jusqu'à votre pallier, car normalement nous aurions du les laisser dans le haul d'entrée. Mais sincérement je ne vous voyez pas transporter votre frigo jusqu'au 3 ème étage par les escaliers.

Elle: Non mais qu'est-ce qui vous empêchez de faire quelques pas de plus afin de me les déposer dans mon salon, je trouve que je vous ai payés assez chère pour ça !

lui: Le temps ma petite dame, voilà se qui nous empécher de le faire.

Elle: Non mais c'est incenssé ! Cela ne vous aurez prit que quelques minutes de plus !

Lui: Bienvenue à Paris ma petite dame ! Il faudra bien vous y faire, ici chaque minute compte. Bon je vous laisse, j'ai encore d'autre clients qui m'attendent, au revoir et bonne chance !

Elle: Eh non mais attendez ! Oh... c'est pas vrai pourquoi est-ce que j'ai accépté de venir habiter ici...

Je suis rester planté là, à la regarder, je ne sais pas pourquoi mais elle m'intriguait. Elle avait une telle aisance et elle dégageait quelque chose d'apaisant, oui elle avait une aura particullière. C'est la première fois que je ressentais sa.

Perdu dans mes pensés je n'avais même pas remarqué qu'elle s'était retourné vers moi. C'est sont léger crit de surprise qui me fit sortir de ma rêverie.

Elle: Oh ! Bonjour.

Moi: ... bonjour, excuse moi je ne voulais pas te faire peur.

Elle me fixa avec un regard ébait pendant quels secondes puis elle se resaisit en reprenant une attitude normale.

Elle: Oh euh... Non se n'est rien c'est plutôt moi qui devrait m'excuser pour tout se vacarme et pour tout ce... bordel...

Moi: Non t'inquiète c'est rien. Ils ont vraiment pas été cool sur se coup la.

Elle: Non pas du tout même...

Moi: Tu veux que je t'aide à tout transporter dans ton appartement ?

Elle: Oh non ne t'inquiète pas je vais appeler mes frères pour qu'ils viennent m'aider à transporter les meuble. Car je ne suis pas sur qu'à 2 nous réussirions à transorter ses meubles.

Moi: Oui tu as raisons, mais en attendant tu ne veux pas que je t'aide à transporter les cartons ?

Elle: Non merci, c'est gentil de ta part mais je pense qu'un peu d'exercice va m'aider à calmer mes nerfs "petit rire"

Moi: "rigole" D'accord mais si tu as besoin surtout tu n'hésite pas, tu as juste à frapper à la porte d'en face. Entre voisin il faut bien s'entraider.

Elle: D'accord je te remercie

Moi: De rien bonne chance.

Elle: Merci ! "me sourit"

Au moment où j'allais fermer la porte de mon appartement, je me stop net et la regarde en lui disant:

Moi: Au fait moi c'est Valentin.

Elle: "se tourne vers moi un carton dans les mains" Enchanté moi c'est Valéria.

Moi: Enchanté Valéria ! "lui sourit"

Elle me sourit en retour et sengouffre dans sont appartement avec sont cartons dans les bras. Je referme ma porte d'entrée et me dirige jusqu'à mon canapé où je m'y étale nonchalament. Je ferme les yeux et me remémore sont visage en souriant.

Moi: Valéria...