Chère journal,
Aujourd'hui j'ai posé nue pour James. On est ensuite aller manger dans le parc.
Il est sous le charme c'est sûr. J'ai vu sa tête quand je lui ai proposé de manger un sandwich.. au beurre de cacahouète.
J'ai vu son regard dégoûté.
Mais il a quand même croqué dedans, en me regardant avec ses yeux verts.
Ensuite j'ai continué à le perturber.
Je l'ai mis au défi d'aller dans la fontaine. Et je l'ai embrassé sous les jets d'eaux.
J'avoue c'est digne d'une comédie romantique.
Et ça va vite changer.Élodie posa sa plume sur son bureau. Et ferma son carnet. Elle le prit avec elle. Elle mit ses chaussures et descendit au garage. Descendit les escaliers de la cave. De sa cave.
L'endroit où passaient toute ses victimes.
Elle mit son doigt sur le contour de la poignée en métal.
Et comme par magie: la porte s'ouvrit.
Elle avait installé ce système ultra-sophistiqué il y a quelques mois.
De manière à que personne n'y vienne jamais.
Son père était persuadé qu'il avait perdu la clef et que de toute façon, il n'y avait rien d'important dans cette cave.
Et bien il se trompait.
Elle poussa la lourde porte de bois. Et elle entra:
C'était une grande pièce rectangulaire. Les murs d'un blanc délavé. Très sombre. La seule lumière venait d'une petite ouverture en haut d'un mur. Une longue table haute se dressait au milieu de la pièce. Avec des poignées sur les côtés pour pouvoir y accrocher ses victimes.
Elle se balada dans cette pièce qu'elle connaissait trop bien.
Il y avait aussi un frigo pour stocker de la nourriture, car malheureusement les victimes ne se nourrissent pas toutes seules.
Sur des étagères en bois se trouvais un grand nombre d'instruments de tortures; cordes, couteaux, scies, scotches... mais aussi des instruments de chirurgie et produits pour conserver des organes.
Elle posa à côté son carnet.
Sur l'étage du dessus il y avait plusieurs bocaux. Des bocaux avec un liquide bizarre, un mélange de vert et de rouge, et un cœur humain flottant à l'intérieur.
Chaque bocal avait une petite étiquette collée dessus.
Le nom de la victime écrit en petite lettres soignées.
Luca Emerson
C'était un beau garçon insupportable qui était dans sa classe. Il était toujours le centre de l'attention. Il se faisait sans cesse engueuler pour son insolence. Il était si prétentieux. Il fallait bien une punition digne de son orgueil. Elle avait apprécié le démembré celui là. Surtout au moment de lui enlever les couilles.
Jake Mettew
Un blond. Un blond timide et discret. Et particulièrement séduisant.
Elle était tombée amoureuse. Elle le lui avait dit et il l'avait fiend zone.
Celui si elle l'avait violé. Elle avait apprécié chacun de ses cris. Cela lui donnait des frissons de plaisir rien que dit repenser.
Anne Dublanc
Une fille on-ne-peut-plus insupportable. Avec un manque incroyable d'intelligence et...
un rire.
Un rire !
Un rire de babouin.
Cette fille était dans sa classe. Aussi. Elle l'avait supportée deux semaines. Et après elle s'en était occupé. Elle avait été déclarée disparue. Malheureusement.
Oh comme elle avait apprécié lui coupé la langue! Le sang dégoulinant de sa bouche.
Chacun de ses cris punis à coups de fouet.
Puis elle lui avait rasé les cheveux. Ses cheveux incroyablement volumineux étaient étalés par terre. Élodie se rappelait d'avoir passé plusieurs jours à les nettoyer.Il y avait d'autres bocaux vides mais le suivant avait déjà un nom.
James Meeston
Ce serait sa prochaine victime. Elle le savait. Elle l'avait vu une fois en ville. Dans le métro. Avec sa mère. Il discutait avec sa mère. Et elle avait su. Elle avait su que ce serait lui. Si elle ne se connaissait pas elle aurait put croire qu'elle était tombée amoureuse mais non. Elle allait le faire tomber amoureux d'elle.
Elle allait le kidnapper, le violer et le tuer.~~~
HEY !!
J'ai pondu un deuxième chapitre aujourd'hui.
Dans la tête d'Élodie. Enfin.
J'arrive enfin à écrire ce retournement. Dites moi ce que vous en avez pensez. 💖😋🤪
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Une histoire d'amour "basique" [TERMINÉ]
Mystery / ThrillerJe m'appelle James et j'ai 15 ans et je vais vous raconter comment je suis tombé amoureux de la personne qui a causé ma mort.