Et puis, un beau jour il eu l'arrivée du caramel et de sa belle Nina aux yeux aussi communs qu'une barre de chocolat. Elle arrachait mes poumons, un air doux collé sur son visage. Qu'elle était belle, qu'elle était belle. Tard dans la nuit, elle chuchotait parfois mon prénom « Éloi ». Je me plaisais à penser qu'elle m'aimait encore plus fort que le faisait Zoé. Pourtant je me suis trompé. L'odeur de cerise qu'elle dégageait ressemblait étrangement à celle de l'interdit. Interdit dont l'homme pouvait difficilement résister. Faible, faible, faible litanie que provoquait la jolie Nina. Je ne t'oublie pas.