Ma Ville, Mon Village

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Je commence par ma ville, cette dernière où ma mère a donnée naissance à notre famille. Ne l'avant jamais quittée, je connais ces ruelles bien plus que cette belle 'Elle'.
J'adore m'y balader, seul ou accompagné, souvent à pied... Découvrir les gens, les regarder et les voir rue en rue menant ainsi mes pas, ma devise à la haute ville. Ô que magnifique soit-elle, cette place bien vaste de plat, garnie de vert poussé au milieu d'un monde gris vêtu d'un beau blanc se disant, la fameuse place Gueydon.
Dans une ptite table face à la mer, une mer bleu du ciel brillante reflétant les étoiles de la veille, je vois bonheur. Je suis dans une ville d'amour, où l'aimée ne laisse à aucun le choix ! L'aimée pour ces routes magnifiques bandées de gens d'une foie boulimique, l'aimée pour ça mer si vaste et magique, l'aimée pour son charme, son énorme mouvement... Cette montagne qui nous surplomb, que la vie de notre ville ne tient qu'à elle... sans elle cette magnifique dont je vous parle ne serait pas la, sans doute noyée dans ce vaste blanc du nom de notre mer.
Un haut ( montagne ) d'une histoire des plus légendaire, la voyant de loin comprenant d'où tout cet amour nous vient. L'amour vient d'une femme, d'une mère, nous, on a la notre, cette allongée si énorme nous protège, nous donnant cette affections, ce premier... L'amour. Cette légende Yemma Gouraya comme tout le monde la surnomme ( Mère Gouraya ).

Cette ville c'est la mienne, Béjaïa la notre, une bougie qui nous éclair, pour ces miens comme toute mère, ma ville de paradis cette bougie.

Mon village est près de ma ville d'une heure et demi environ, un lieu, un endroit où la vie disant n'existe pas ! Ou au contraire de ma ville le vert est partout.
La seule route qui mène à ce beau bout n'est que celle pour le quitter. Mon village est entièrement piétonnier, autant mettre ces baskets... Ou s'y balader nu les pieds ! Au centre, une grande mosquée qui se peint bien dans le paysage avec son vert, ou la nuit avec la lune du haut de son dôme en fer, portant ce symbole toujours d'Islma, symbole de bonté et de liberté. Seul deux familles y régnant faisant ainsi de leurs grandeures des hauteurs, faisant subir à ce village une ambiance de pureté de la vie, de tout son début, une vie tel celle de mon grand père, de mes ancêtres... Cet ère des anciens qui y domine toujours, ces terres riche si vaste, cet air frais aromatisé de tout sortes de beau parfum vrai, une toile verte tachée de couleurs vives que je vois, que je vis et ressens.
Suivant les étroits chemins, ce labyrinthe qui n'en fini, ce dernier que je connais et que mes yeux en témoignent, pieds sur terre rouge sang, terre d'argile et du sang des grands, que le passé repasse et laisse ces traces... Traces rouge, mort pour nous, mort pour l'islam, mort pour moi... Pour que je sois là où j'en suis, debout de ma liberté, ne craignant leurs armes dans mon dos pointées. Traversant les maisons p'tites de la taille de leurs portes, atteignant le haut, le sommet du village, admirant tout les voisins villages à milliers de pas du vaste ou j'en suis debout, un vaste dont mes pieds bien plongés dans cette mer verte, aussitôt allongé, le bleu m'ébloua les yeux, heureux et fière, amoureux de cet ère, cette terre de mes pères et grands pères, magnifique Tagma.


Entre ma magnifique bougie de ville et mon village d'ancêtres, un changement des plus fascinant, deux vie, deux genèse de culture, de tout en moi... À la fois cette civilisation, ma génération, ce développement de ce monde de mode et d'argent, de beauté et de changement et l'autre monde de l'ancienneté ou n'existe nulle marché, mais un déficit de liberté. Je choisis pas... j'aime les deux, j'admire et je vis des deux, je ne peu vivre sans cette liberté, cet ère de pureté, ce monde de développement, cette fierté du sang des grands, cette culture du moderne du cran. Je suis deux, j'ai pas choisi mais tant mieux... Merci grand Dieu.

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Des avis ^^
Pour ce chapitre j'étais un peu long, mais je veux juste que vous sachiez que quand je parlais de la table la dans la place gueydon, j'étais bien là-bas stylo à la main, un bon p'tit café noir avec un bon coca... Et quand je parlais de mon village j'étais bel et bien pied nu sur terre d'argile au milieu des p'tites maisons en ruine de guerre, le passé qui a fait de leurs future rêvant de la liberté, notre présent.
Merci à tout lecteurs et lectrices ❤️

Personne Pas Comme Les AutresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant