Fanfic - Mon histoire impossible

Commençons par la fin (point de vue Reader)

Assis dans le salon tamiser nous discutions tous ensemble tous dispatcher sur le canapé ou sur le sol , des bières sur la table basse dégustant nos habituelle amuse bouche. Un soirée type entre amis et tout ce qu'il y as de plus normal mais à mes yeux cette soirée était spéciale, mon cur ne cessait de battre à tout rompre et, entre deux rire, mes yeux se perdais près de cette homme. Depuis notre rencontre je ne pouvait arrêter de penser à lui il mobsédait jours et nuits et quand je l'avais en face de moi se sentiment écrasait ma poitrine de joie jusqu'à ce que mon être me ramène à la raison. Je ne savais que trop bien que jamais mes sentiments ne serait réciproque alors je me ravisait et de façon dédaigneuse je faisait semblant de profité de la soirée me répétant sans cesse que je devais oublier tout ça et profité de cette soirée. Mon ami semblant avoir remarquer mes illade se penchais vers moi et me souffla au creux de l'oreille : « Tu devrais tenter quelque chose je suis sûr que lui aussi en veux plus ! » Comme toujours je lui répondait d'un signe négatif de la tête en agrippant de nouveau ma bière pour en boire une gorger. Cette soirée n'était pas spéciale que pour cela dailleurs c'était aussi ma première soirée avec ces deux star de la musique, et oui celui pour qui mon cur battais était un célèbre chanteur et son frère un duo qui cartonnais dans toute la France et que j'avais la aujourd'hui devant mes yeux. La fait battais son plein et tout le monde rigolais à gorge déployer mes soucis c'était envoler et je pris un instant pour détailler toute la troupe d'amis. Sur le canapé à angle juste à coter de moi se trouvais Luc un chanteur qui venait tout juste de faire ses début et à qui je souhaitais la plus grande réussite, il est violoncelliste mais aussi guitariste, pianiste et très beau garçon : 1m80 cheveux châtain en dégrader assez long et lisse sur le dessus une légère barbe de 3 jour et un silhouette fine et gracieuse sans oublier grand son sourire qui en ferait craquer plus d'une, sous ses airs de beau garçon talentueux se cache aussi quelqu'un de gentil et timide toujours près à aider son prochain et à donner plein d'amour, allez-y mesdames c'est l'homme parfait. Assis à mon autre coter sur le sol mon amie et ancienne collègue Marine, une très belle femme 1m60 de joie et de bonne humeur et malgré nos 10 ans de différence elle est ma plus précieuse amie elle seul me comprend vraiment et je tente à croire que j'ai aussi jouer un très grand rôle dans sa vie et ça me touche énormément. À coter d'elle deux garçon que je ne connais pas vraiment je sais que comme Luc ils font partie et du groupe de celui-ci ''Temper'' mais il travaille aussi avec les deux frère et à eux 5 ils ont l'air d'être une grande famille ça me fait chaud au cur. À coter de Luc se trouvais Florian le grand frère du célèbre groupe ''Bigflo et Oli'' c'est quelqu'un de humble et attachant c'est aussi le blagueur du groupe il à toujours le mot pour rire et des histoires incroyable pleins son sac, il est un grand frère pour tout le monde il est très sage, il est de bon conseil si on as un problème et le meilleur remède pour les coup de blues c'est vraiment quelqu'un sur qui ont peut se reposer. Et bien sûr nous avons pour terminer le principale intéressé de la soiré Olivio dit ''Oli'' mais je n'aime pas l'appeler comme ça j'ai l'impression de passer pour une groupie assoiffée de désire juste pour sa réputation alors je veille toujours à lappeler Olivio et seulement Olivio. Cette homme est une perle rare, au première abord il est très timide mais quand on apprend à le connaître on découvre un garçon très souriant et toujours de bonne humeur avec un grand cur, quelqu'un qui pourrait tout pour ses amis et sa famille mais aussi quelqu'un de très protecteurs avec des valeurs incapable de faire du mal aux autres et surtout c'est une personne intelligente et qui as de l'esprit. Je poussait un soupir en le fixant toujours des yeux le guouleau de ma bière poser sur mes lèvres comme si je voulait prendre une gorger mais je mettais arrêter en pleine action toujours dans mes penser Marine me donnas un léger coup de coude pour m'en extirper. Je me réveillais et pris deux trois gorger de la bière qui était encore à mes lèvre puis tournas le regard vers Marine les cils battant comme si je me réveillais d'un long rêve. Elle ricana en voyant ma tête ahuris puis retourna vaquer a la discutions de groupe, Olivio qui était devant moi se leva et attrapa un bol vide poser sur la table avant de se dirigé vers la cuisine en croisant son regard je baissais brusquement la tête sentant mes joues rougir. Une mains vint à caresser mon dos dans un mouvement rassurant tandis que je mabandonnait encore quelques secondes à la contemplation de mes pieds puis en reconnaissant cette main chaleureuse je tournais la tête, évidemment c'était bien celle de Luc qui me tendais un sourire réconfortant que je lui rendait pour le remercier puis il mit sa main sur mon épaule extérieur a lui pour me serrer un peut plus contre lui histoire de me faire passer le message. Bien sur j'avais compris avant même se jette qu'il savait tout de mon coup de cur moi et la discrétion on à jamais trop été copain encore une fois je le remerciait en silence et me concentra sur ce qui se passait autours. Florian nous racontais encore une de ses soirée entre amis ajoutant des détailles invraisemblable pour amuser la galerie et ce fut le cas j'oubliais tout mes soucis en riant à n'en plus pouvoir à ses blague jusqu'à en oublié que Olivio était partis depuis maintenant 10 bonne minute jusqu'à ce qu'un main chaude se posa pile au milieu de mon dos je sursautais et me retourne brusquement. Olivio légèrement pencher vers moi toujours la main sur mon dos me fit un grand sourire et un signe de la tête désignant la cuisine en susurrant légèrement plus près de moi un timide ''je peux te parler s'il te plaît.'' Il fit ensuite glisser sa main poser sur mon dos vers mas mains et m'extirpa sans difficulté du canapé puis il emboîta le pas dans la cuisine faiblement éclairer par un seul néon disposer au dessus de lévier il s'arrêta au plus loin possible à l'opposer de la porte et lâcha ma main. Je me retrouvait alors planté là dos au plan de travail disposer au centre de la salle et à quelque centimètre de moi Olivio avait encré son regard dans le mien mon corps et mon cur bouillonnais je salivais rien qu'à la penser qu'il soit aussi proche de moi j'avalais un gorger et pris une grande inspiration la bouche légèrement entrouverte. Il ne disait pas un mot mais fit un léger pas en avant de seulement 1 centimètre mais mon corps se tandis à l'idée qu'il pouvait être encore plus proche mon corps bascula légèrement en arrière et je senti la pointe de l'angle de lîlot centrale s'appuyer un peut plus contre mon dos, un frissons le parcourra en constatant que je ne pouvait pas plus reculer et es mains vienne à s'appuyer légèrement sur l'îlot pour me soutenir un peut plus que mes jambes qui commençait à s'engourdir comme si mon sang n'y affluait plus. Je décidais alors de rompre se silence par la première affligeante banalité qui me vint à l'esprit :

« - Merci pour cette soirée enfin je veux dire c'est gentil de nous avoir invitée.

- Ça me fait très plaisir que tu sois là aussi. »

Mes yeux devenait de plus en plus flou et mon cerveau ne pouvait réfléchir à quoi que se soit à l'entente de ces mots et dans une longue pose silencieuse mon cur loupa un battement et tout senchaîna très vite. Je sentis sa main glisser et s'enrouler autours de ma taille pour mattirer vers lui et pendant que dans un souffle il prononçais mon nom son autre mains s'enroula autours de mon coup. Je lâchais mon plan de travail pour me rapprocher de son corps jusqu'à être coller contre lui sa tête légèrement incliner savança vers la mienne. Je fermais les yeux en avançant aussi lentement la mienne mon regard dabord magnétiser sur ses lèvre je fermais les yeux pour profité de l'instant, une sensation de chaleur m'envahit au contact de ses lèvres et mes mains viennent à s'enrouler autours de son cou se baiser dura de longue seconde et j'en avait le souffle coupé. Quand ses lèvre se détachaient enfin des miennes je repris mon souffle et sentis le siens il était aussi court, je le regardait dans les yeux avec envie et il ne lui fallut qu'une seconde pour comprendre il se ruas contre mes lèvres et m'embrassait avec passion mes mains ballante glissèrent jusqu'à son coup que je pressait légèrement pour intensifié notre baiser tandis que sa main alors poser dans mon coup attrapa avec fougue ma hanche pour me presser un peut contre son corps puis me souleva sans peine les mains sur mes côtes pour m'asseoir sur le plan de travail. Mon corps brûlait de plus en plus et je sentais lexcitation au creux de mes reins une fois sur l'îlot je me retrouvais à se hauteur et tout en continuant de m'embrasser langoureusement il se plaça entre mes jambes puis ses baisers devinrent plus doux pour finir par se détacher de mes lèvres mais il ne s'arrêta pas la il dessina avec ses lèvre une série de baiser de mon épaule à mon cou. Le feu dans le creux de mes reins se diffusa dans mon corps déjà fiévreux et au contact de ses lèvres dans mon cou mes mains comme incontrôlable se posa dans son dos et remonta doucement jusqu'à presque le griffer puis je les remontais le long de son cou et lui caresser la naissance de ses cheveux. Brusquement une bruit retentis dans le salon comme un verre qui sa casse il arracha sa tête de mon cou et plongea ses yeux dans les miens mes mains encadrant son visage il me dit encore essouffler de notre échange :

« - J'aurais aimer que ça ne s'arrête jamais mais les autres vont finir par nous voir. »

Encore essoufflé moi aussi j'acquiesça d'un mouvement de tête et ses mains encore poser sur mes hanche me tira pour me faire descendre de l'îlot une fois les pieds sur terre il ne me lâcha pas tout de suite et déposa un dernier baiser sur mes lèvres passionnément. Quand il me lâcha je respirait un grand cou et me tourna vers l'îlot pour saisir un bol de gâteau apéro avant de me retourner vers lui sans un mot il compris et en saisit deux puis j'ouvrais la marche direction le salon et après avoir passer la porte battent un des garçon s'exclama que nous tombions à pique il n'y avait plus de gâteau, en repartant chacun de notre coter du canapé je ne réalisais pas encore tous ce qu'il venait de se passer.