Bonjour, bonsoir
Bonne lecture ✨_________
Isaac
Bon vous me connaissez hein, ça sert strictement à rien de faire une présentation hein.
Voilà, je regrettes de malade ce que j'ai fais à Lyah, mais je n'aime pas quand elle traine avec des gars ni même qu'elle parle avec eux.
Elle me manques grave mais vas-y trop de fierté pour revenir.J'étais posé à la cafétéria avec Neyla, ma meuf. Je l'aime bien, elle a tout pour elle mais je sais pas c'est pas la même que Lyah, elles sont les opposés de chaque une.
Lyah est plutôt calme et poser, Neyla est dissipée et elle est très active.Neyla: Isaac ?
- ouais ?
Neyla: ça va ?
- laisse, alors ce soir c'est toujours bon ?
Neyla: Oui, j'ai pris mes affaires.
- Tu veux qu'on va au ciné où on rentre direct ?
Neyla: Vient on va au ciné, y'a un nouveau film qui est sorti hier.
Je l'ai vu rentrée dans la cafétéria, elle était juste en face de nous. Elle ne m'a pas remarquée, ses courbes généreuses, elles sont juste magnifique. Son visage d'ange, son sourire radieux, aussi douce qu'une rose sans épines.
Neyla: tu m'écoutes ?
- Ouais.
Neyla: Oh Isaac putain !
- Vas-y ferme ta gueule, pourquoi tu cris même ?
Neyla: Vas-y c'est bon t'ma fanée, je rentre.
Elle se lève, pouah elle prend la tête celle-là. Je me retourne, elle me regardait sans aucune émotion.
Je sors avec elle, nous allons dans la voiture.
Neyla: T'es sérieux ?!
- c'est bon, Neyla.
Elle me regarde et dit :
Neyla: t'a de la chance que je t'aime..
Je dis rien et l'embrasse.
[...]
Neyla: Souffle s'était géniale..
- Ouais.
Elle se met en califourchon sur moi, elle était peu vêtue, son corps me fait rêver.
Neyla: Je t'aime..
Et c'est reparti pour une autre partie de jambes en l'air. Je vais pas vous faire un dessin.
Jenna
Salem, moi c'est Jenna el Hazim, j'ai 17 ans. Je suis au lycée.
Maman: Jenna dépêche toi !
- Oui oui maman
Nazir: T'es sérieuse là ? Vas-y t'en que T'y est met toi en jupe aussi ?
- vas-y toi c'est rien, c'est qu'un jean troué. T'en met bien toi ?
Nazir: j'ai pas ton âge, je te rappelle !
Maman: Vas-y on a pas le temps, votre sœur est entrain d'accoucher et vous vous parlez !
Nazir: chuchotant ta bien abandonné tes deux gosses toi..
- Qu'est-ce que quoi ?
Ma mère n'avait pas entendu apparemment, Nazir me regarde et trace devant.
C'est quoi ça ? C'est la vérité ? Je lui demanderai au pire.
Nous montons tous dans la voiture et direction l'hôpital, ma grande sœur accouche d'un garçon, j'ai jamais été proche de ma sœur ni même de son mari. Elle est égoïste, elle ne pense qu'à elle, elle est orgueilleuse et méchante. J'me demande comment elle a fait pour ce trouver un mari avec tout les défauts qu'elle a mais bon Dieu ne se trompe jamais.
Nazir: vas-y allez-y le temps que je trouve une place.
Il nous laisse, nous courons vers l'accueil et demandons la chambre de Inès. ( Oubliez pas très importante dans l'histoire)
Nous allons dans sa chambre, elle était entrain d'embrasser son mari, Nabil. Tranquille t'en que vous y êtes refaites un deuxième enfant.
Maman: hum hum
Nabil: smehli khelti..
Bref on a vu le bébé etc hein, en espérant qu'il ne finit pas comme ses deux sheytans de parents.
Nazir n'est pas venu, lui non plus n'apprécie pas Nabil. Je lui envoie un message pour nous récupérer, fallait que je restes avec lui.
Nazir et moi nous nous entendons très bien même si on a pas le même sang, il a 24 ans.
[...]
- Nazir ?
Nazir : Ouais ?
- je t'ai entendu tout a l'heure..
Nazir : T'occupe pas de ces histoires, c'est pas de ton âge.
- Mais c'est vrai ?
Nazir : ...
Il ne m'a pas répondu, je me met en face de lui, il dit donc la vérité.. ce silence était la réponse à ma question.
- Elle... Elle est.. horri...
Nazir: me coupant dit pas ça ! Tu connais pas ses raisons.
- Ils sont toujours en vie?
Nazir : elles.
- Ce sont des filles ?!
Nazir : C'est bon j'en ai trop dit, dors bien Jenna.
Il m'embrassa le front et sort en fermant la porte derrière lui.
J'ai donc des demi-soeurs..
A 30 votes, je mets la suite 🌙
Choramg®
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Lyah « Étoile du jour. »
Ficción General•Édition 2018• Choramg© La nuit quand on ne dort pas les soucis se multiplient, ils enflent, s'amplifient, à mesure que l'heure avance les lendemains s'obscurcissent, le pire rejoint l'évidence, plus rien ne paraît possible, surmontable, plus rien n...