PARTIE 3.
Elle était couché sur ce lit d'hôpital. Son visage pâle, ses cheveux recouvrant l'oreiller. Ma soeur était magnifique.. Mais cette maladie la bouffe petit à petit.. J'aimerai tant faire quelque chose..
DANS LA PEAU DE RANI.
J'y crois pas.. J'ai revu ma soeur.. Ma soeur qui était partit depuis mes 15 ans.
J'étais contente puis triste à la fois. Triste de la revoir dans ces conséquences.
Toujours sur ce lit dont les mur sont blancs. Sur ce lit dont ont laisse la vie ou donne la vie.
Mon morale est au plus bas, d'ailleurs il a toujours été ainsi. Orpheline je suis mes parents sont des lâches. Ils ont su nous faire mais n'ont pas sut nous assumer. Ma grand mère n'a plus l'âge de nous assumer, toute sa vie elle n'a fait que sa, et maintenant elle paie les fautes de sa fille. Triste réalité, nous ne sommes que des accidents et sa elle me la montré dès ma naissance, ensuite voyant qu'elle s'en s'en foutait complètement de nous, qu'elle ne nous aimaient pas elle a préféré fuir.
Chaque soirs l'insomnie s'installe dans ma petite pièce qui me sert de chambre. Je vis dans une favéla, dans un bidonville ou il n'y a ni électrice ni gaz.
Avec cette douleur que j'ai en moi, cet peur de ne plus se lever chaque matin et de ne plus travailler pour aider ma famille. Car oui, je ne suis pas attaché à cet vie. Nous sommes née pour mourir. Je n'ai pas peur de la mort, temps que j'accomplis mon devoir en tant que Musulmane tout va bien.
Je pense et pense encore dans ce lit d'hôpital. A 21 ans j'ai vécu tellement de choses.. Le manque d'affection venant de ses parents, le manque d'argent, la , misère, le racisme, embrouilles avec Sunny, ma maladie.. Sa fait beaucoup de choses quand ont y pense. Mais je garde le sourire Dieu éprouve ceux qu'ils aiment.
J'ai passé la nuit à réfléchir. Le soleil se lève et laisse place à un ciel bleu. Les oiseaux chantaient.. Que ce que j'aime ces moments.
Je me lève et prend ma douche. Une fois fini m'habille et me fit un chignon. Je me regarde dans le glace et vois ce visage amaigrit, ces cernes dut à l'insomnie. Cette pâleur moi qui avant cette maladie avait toujours ce sourire sur mon visage malgré la misère dans laquelle l'ont était.
Je secoue la tête pour effacer ces pensées de ma tête sa me rends encore plus mal que je le suis. Je me mouille le visage puis m'essuie.
Ps: les dialogues sont en Portugais.
-Mademoiselle?
Moi: Oui patientez quelques instant j'arrive.
Je souffle un bon coup puis sort de la salle de bain.
Moi: Oui que ce passe t-il?
Docteur: Je dois vous parler c'est important.
Moi: Oui, pas de soucis. Je vous suis?
Docteur: Oui, dans mon bureau.
Nous sortons de la chambre puis nous rendons dans son bureau.
Je m'assois sur la chaise puis il se met en face de moi, je voyais de la tristesse dans son regard accompagné de pitié.
Docteur: Comme vous le savez mademoiselle, vous êtes atteinte d'une maladie qui touche le coeur.
Moi: Oui, bien sur.
Docteur: Votre cancer est généralisé le saviez vous qu'il ne vous reste plus beaucoup de temps?
Moi: Ne tournez pas autour du pot et dîtes moi clairement ce que vous aviez a me dire.
Docteur: Oui, il ne vous reste plus beaucoup de temps, la maladie se propage beaucoup trop vite, il vous reste 2 mois.
Comment vous dire ce que j'ai ressentis à ce moment.. J'étais anéanti de quitter ma famille mais heureuse de mourir.. Vous me prenez pour une folle hein? Non, je n'arrive plus à ce supporter cet douleur, sa me fait trop mal, comme si je recevais des balles en pleines poitrine mais qui entre si lentement, la douleur est unique, sa fait tellement mal.
Les larmes me montent au yeux, je m'en contre fou de mourir, j'accompli mes devoirs en tant que Musulmane, mais comment ma famille va tel s'en sortir?
Moi: La douleur durera moins longtemps, c'est mieux.
Je me lève sous le regard choqué du docteur.
Je baisse ma tête traînant des pieds dans les couloirs de l'hôpital, j'étais dans le couloir de maternité, j'entendais des femmes accouché, des enfants pleurés, j'arrive devant la nurserie.
Puis vois ces petits bébés, c'est tellement beau... Moi qui rêvait d'en avoir beaucoup, de le sentir grandir en moi, lui donner la vie, mais je n'aurais pas cet chance..
Devant cet vitre a contempler ces beaux bébés que je n'avais pas vu qu'il y avait une personne à coté de moi.
-Pourquoi pleurez-vous?
Je tourne ma tête et voit une vieille dame, elle portait un voile sur sa tête et ressembler à une Arabe, elle était belle.
Je touche mes joues, elle était inondées je ne m'étais même pas rendu compte que je pleurais.
Moi: Oh.. Pour rien du tout ne vous inquiétez pas..
-Je sens que tu ne vas pas bien, c'est lequel ton enfant?
Je me remet a pleurer, je ne me contrôler plus, j'ai explosé en sanglot. Sa faisait tellement longtemps que je n'avais pas pleuré..
- Mais pourquoi pleures-tu? Tu dois être contente d'avoir donné la vie..
Moi: Non madame, je n'ai pas eu cet chance et je ne l'aurais jamais..
-Desole ma fille je pensais que tu étais maman.. Mais pourquoi tu n'aurais jamais cet chance?
Moi: Je suis condamné..
-Condamné en prison?! -choqué-
Moi: Non... Il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre. -Les larmes aux yeux-
Elle me regarde choqué..
-Je suis désolé mais ru as l'air très jeune pour mourir.
Moi: La mort n'a pas d'âge. Je n'ai pas à me pleindre sur sa hamdullah j'ai 21 ans et je suis encore ici.
-Ma, elle est dans quel chambre Tania?
C'était la voix d'un homme, il avait une voix si grave mais d'un côté qui t'attire.
Je tourne ma tête et vois un homme, mais cet homme était tellement beau que j'en est rougis. Mon dieu, d'un simple regard, j'ai ressentit tellement de sentiments d'un coup.
Il était grand, très grand. Très costaud, les cheveux noir, yeux noir, il parait simple mais à mes yeux, c'était l'homme le plus beau que j'ai vue jusque maintenant. Il dégagé un tel charme...
-Ha mon fils, elle est dans la chambre B123. Regarde ton fils est là..
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Une princesse au coeur malade.
RomanceC'est l'histoire l'histoire d'une vie, la mienne. Je me nomme Rani, née au Brésil mais de mère Pakistanaise et de père Yéménite. Mais les deux m'ont abandonné, ma grand mère que je nomme "mama" nous a élevé mes soeurs et moi. J'ai grandis dans un gh...