IX

22 2 0
                                    

La semaine passa lentement. Enky nous a rendu visite deux autres fois avant que l'on finissent par couper les ponts à cause de ses mots qui se s'on fait de plus en plus raciste et blessant. Maintenant je sais qu'il ne faut que je fasses attention que je ne sais qui s'en prenne à Eden directement. Comment notre ami a pu se laisser convaincre que nous sommes des incapable, que nous servons à rien et j'en passes. Il nous connait, il devrait savoir que nous sommes pas comme ça. Bon il faut plus que j'y penses, aujourd'hui c'est notre jour de sorti avec Eden, il faut que nous en profitons. On dit au revoir à tous le personnels qui ont été en charge de nous et sortons. A notre sortie on a vue Enky et sa nouvelle bande, je fais signe à Eden de rester près de moi et de pas les calculer, il me répond avec un regard triste puis marchons en évitant leurs regards pleins de mépris et leurs critiques toutes autant stupide. Une fois être à leur niveau Enky m'attrapa le bras et me donna un coup dans mon ventre, je me débat du mieux que je peux mais rien à faire ils ressert leurs prisent et me tabassent. Eden aussi est incapable de bouger, il est pas sérieux, Enky pourquoi as-tu changé à ce point? Que t'ont-ils fait? Après une éternité pour moi et Eden, une aide soignante vient à notre aide. Elle fait dégager les inklings qui nous ont agressé et nous demande si nous allons bien. Nous hochons tous les deux la tête pour rassurer notre sauveuse et partons dans la peur. Une fois arrivée devant chez moi je vois pleins de tag sur la façade de chez moi, disant des choses horribles, je trouves toute de même la force d'effacer ces graffitis en les mélangeant avec mes larmes. Une fois assise sur mon canapé s'entends sonner. J'ouvres la porte et crie.

-LAISSEZ MOI! FOUTEZ MOI LA PAIX!

-Oh...désolé, je voulais pas te déranger.

-Aloha attends. C'est moi qui est désolé, j'avais peur que c'était des personnes que je ne souhaitais pas voir, désolée.

-Qu'est-ce qui ne vas pas? Pleures pas, je suis là,chut.

-Merci, t'es le seul inkling en qui je peux encore avoir confiance.

Je le fais entrer en essayant de sécher mes larmes. Je lui proposes quelques chose à boire mais refuses. je m'assois assez loin de lui mais il se rapproche, je mets ma tête sur son épaule et nous restons en silences. Tous ce qu'on entendait c'était mon téléphone qui faisait que de sonner, je me décides à le regarder pour voir si ce n'est pas Eden qui a un problème, dès que j'ai vu qui était mon destinataire et le contenues des messages, je lâches mon téléphone et prends ma formes de poulpe pour me blottir au fond de mon canapé. Aloha prends mon téléphone  par incompréhension et regarde à son tour, au début il était surpris puis son visage devenait plus sombres, ça me faisais peur. Je tremblais je ne savais plus où me mettre ou quoi faire, une fois que Aloha a fini de voir toutes les menaces de mort de Enky, il me pris sur lui et me réconforta. Sa tentative tombe à l'eau mais il me garde quand même. 

-Dis Tsuki, qu'est-ce qui c'est passé avant que j'arrives.

-...

-Tu sais tu peux tous me dire.

-Tu ne vas pas te retourner contre moi?

-Et puis quoi encore?

-C'est Enky. Il c'est retourné contre Eden et moi, à la sorti de l'hôpital il nous a attendu avec sa bande et ils nous ont fais notre fêtes.

-Ce qui explique tes hématomes? 

-Oui, et quand je suis arrivée devant chez moi, la façade de ma maison était remplit de graffitis.

-Je penses bien que je vais annuler la réunion des S4.

-Non! Je ne veux pas que tu te préoccupes de moi, tu as une vie, vie la c'est tous.

-Et te laisser seul face à ces idiots? D'en tes rêves!

Mon ventre a décidé de nous couper en se faisant entendre, je suis devenue rouge de honte. Apparemment ma tête ferait rire vu la réaction du S4 sauf que son ventre a décidé lui aussi de se faire entendre. Il me regarda m'éloigner, il était rouge d'embarra et moi je me suis contentée de faire un sourire moqueur. Nous avons passé la journée chez moi, Aloha avait peur qu'on a des ennuis si on sortait et puis il avait la flemme. le temps est passé deux fois plus vites qu'à l'hôpital. Le soleil est déjà entrain de se coucher. Aloha n'a pas l'air de s'en préoccuper, je lui dit qu'il devrait peut-être rentrer, il regarde l'heure et il me dit que si il voudra partir, il partira plus tard dans la nuit. J'en connait un qui se moquerait sûrement. il se faisait de plus en plus tard et Aloha restait, il doit avoir la flemme de bouger. Il était assis par terre et moi je m'étais mise contre lui. Mes yeux se sont fermés tous seules et j'ai senti qu'on me portait et après j'ai senti quelque chose de chaud près de moi avant que je sombres dans un profond sommeil.

C'est ça la liberté?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant