L'abruti Soumis Et La Pipelette

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  J'ai téléphoner au numéro indiqué sur l'affiche mais personne ne m'a répondu. Je le suis donc dit que je réessaierai plus tard.

Et ce plus tard, c'est maintenant !


Je compose à nouveau le numéro et commence à faire sonner la tonalité. Mais encore une fois personne ne me répond.


Je suis déçus...


Réfléchis un peut Maura !


S'est alors que s'enclenche le message vocal qui dit de laisser un message si c'est vraiment important, mais il est... Particulier?


- « vous êtes bien sur le numéro du Manoir de l'Horreur, laisser un message ou taisez vous à jamais. Sur ce, je retourne mourir en paix. » une voie purement masculine et sans expression...


- « heum, oui, ce serais pour savoir si vous avez encore une place de libre... Rappelez moi dès que vous pouvez ! » je bafouille de façons ridicule. 


Sérieusement... T'aurais pus trouver bien mieu que ça! Tu me désole... Je souffle et retourne vaquer à mes occupation.


Je me prépare pour sortir acheter les fournitures scolaires basiques en attendant de recevoir la liste des chose qui sont un peu plus... Spécifiques.


J'enfile un pantalon lavande et un sweat-shirt à oreilles de chat couleur blanche. Avec ça, des baskets qui me monte jusqu'à la base du genoux, d'un blanc immaculé.


Pour ma coiffure je me tresse mes deux mèches de cheveux qui m'encadrent le visage et les attaches ensemble à l'arrière de ma tête, comme une petite couronne elfique. Je met les boucles d'oreilles avec une chaîne qui remonte jusqu'à mon piercing en haut dans le cartilage, un collier argenté avec un pendentif circulaire et blanc d'où se découpe la forme d'un loup hurlant à la lune, un bracelet épais sur chaque poignet, couleur lavande avec une chaîne blanche et une argent. Une bague infinity. Et mon badge qui certifie que j'appartiens au monde surnaturel.


Il ressemble à un simple pins, mais c'est tellement plus que ça...


Il ouvre toutes les portes, comme un passe partout ou une clés qui s'adapte au différentes serrures pour toutes les faire pliées à sa grandeur. Comme moi !


Oui, la modestie ne fait pas partie de mon vocabulaire.


Je prends mon fidèle destrier, qui est mon skate, et me dirige vers l'abri bus à toute vitesse.


Une fois arrivé je salut les gens qui s'y trouvent de la tête avec un faux air timide, et attend le bus.


Plusieurs minutes plus tard, je descend du bus à mon arrêt, saute sur mon skate, je slalome entre les gens avec un certaine aisance pour arriver dans les petites allées.


C'est vrai que je suis une personne vraiment très maladroite, mais quand je suis sur un skate, tout glisse et tout roule !

Mon aimée électrisante (gxg)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant