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J'ouvre mon coeur, un vent froid souffle dans mon cou, le temps ne mets pas compter.
La lame dorée s'élance et se plante dans le coeur qui est enfaîte vide,  mais le petit couteau reste planté, la fine couche retient légèrement la lame.
Je donne plusieurs fois des coups dedans pour l'extirpé de mon coeur, au contraire la fine lame s'enffonce longtemps plus profondément.
La folie m'emporte,  je fais les gros yeux et je ris doucement cette fois,  la saveur de cette prétendu folie me rend ivre de bonheur.

Le bonheur triomphera toujours dit-on, *rire* je n'y crois pas, si une majorité devient folle rien ne pourra l'arrêté.

Je ne crois pus à l'amour, ni à rien d'autres maintenant une nouvelle air démarre, celle des psychopathes refoulés et des pulsions meurtrières.

Je suis un morceau de viande.
La chair rouge qui m'entoure me rend toute chaude,  la couleur rouge m'inspire tellement .

La sensation de plaisir quand un cri atteind mes oreilles, les mains dans le dos,  du sang sur mes mains et une douleur aigu à la poitrine et des tremblement indescritible comme des tics.

Désormais, je rigole à pleine dent, mes cheveux mouillé de sang viennent se coller sur mon visage plein de sueur d'exitation,  je murmure ma folie et m'assois.

Le fleuve me parle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant