12 584 235 459 Habitants, voilà ce que comporte la planète...
Nous sommes en 3036 et cela va faire plus de 1000 ans que la Terre vit sous le joug d'une "force" nommée Singularity.
Dans ce monde là, Homme, Androïde et Cyborg sont devenus monnaies cou...
Il était approximativement huit heures lorsque les rayons du soleil vinrent taper à la fenêtre de la jeune femme. Il s'agissait d'une demoiselle d'environ une vingtaine d'année, à la peau tellement blanche qu'elle en parait presque diaphane. Lorsque la douce lumière de l'astre solaire vint réchauffer ce corps, des battements de cils firent papillonner les yeux de la belle endormie. Cependant rien n'arrivait à l'extraire de ce profond sommeil qui l'avait gagné, un profond sommeil qui ne cessa que lors d'un seul mouvement : en bougeant, cette dernière sentit la place froide et inoccupée qui était jonchée à ses côtés, une place vide et qui pourtant avait autrefois recueillit quelqu'un. Alors que ses fins doigts touchèrent cet endroit vide, les yeux de la demoiselle s'ouvrirent en grand, laissant ses iris d'un bleu gris regarder tout autour d'elle ce qui lui servait de chambre, c'est à dire une simple appartement d'à peine 25m² ou en son sein, un canapé convertible était le maître des lieux. Se redressant alors dans ce couchage qui était le sien depuis quelques années, le corps nue de la jeune femme se dévoila aux ustensiles de cuisine et autres éléments décoratifs de sa bicoque. Enroulant le draps autour de ce sein qu'elle ne saurait voir, elle marcha à pas de loups vers une porte en bois, assez insalubre, qu'elle poussa tranquillement de la main droite tout en maintenant le linceul de la gauche. Pénétrant ce lieu, c'est alors une rousse qui se refléta dans le miroir qui était accroché. Une rousse possédant de longs cheveux légèrement ondulés, des tâches de rousseurs pouvant donner un côté assez mignon à cette fille de 25 ans et deux petits yeux. Sa silhouette était relativement agréable à regarder et plutôt bien proportionné il faut dire. Laissant alors doucement tomber le drap qui glissa le long de son corps, c'est naturellement qu'elle se dirigea vers cette douche ayant allumé l'eau au préalable. Son corps nu dévoila trois magnifique tatouage, trois tatouages inspirés de l'Ancien Monde et plus particulièrement des histoires nordiques. Sur son dos, trône un magnifique phœnix possédant 8 queues posé en haut d'un immense arbre, l'Yggdrasil. Sur son poignet droit, un symbole de protection viking, un vegvisir et sur le gauche le symbole de l'éternel recommencement : Ouroboros. Cependant, le serpent se mordant la queue semblait être caché par... un bracelet ? Un bracelet comme ceux que possèdent les prisonnier, un bracelet réellement étrange.... Se faufilant alors sous l'eau, les perle de ce liquide vinrent glisser contre le corps de la demoiselle, caressant chaque parcelles de la carrure de la jeune femme et la rendant un peu luisante. Jetant sa tête en arrière, elle laissa l'eau venir caresser sa peau tandis que lentement ses lèvres rosées se décollèrent et qu'un fin son commença à émaner, un son se muant peu à peu en chanson, une chanson d'une ancien temps, une chanson de l'Ancien Monde.
-"You spoke a word, life began Told oceans where to start and where to end You set in motion time and space But still you come and you're calling me by name Still you come and you're calling me by name
If you can hold the stars in place You can hold my heart the same Whenever I fall away Whenever I start to break So here I am, lifting up my heart To the one who holds the stars
The deepest steps, the darkest nights Can't separate, can't keep me from your side I get so lost, forget my way But still you love and you don't forget my name
If you can hold the stars in place You can hold my heart the same Whenever I fall away Whenever I start to break So here I am, lifting up my heart If you can calm the raging sea You can calm the storm in me You're never too far away You never show up too late So here I am, lifting up my heart To the one who holds the stars
Your love has called my name What do I have to fear? What do I have to fear? Your love has called my name What do I have to fear? What do I have to fear?
If you can hold the stars in place You can hold my heart the same Whenever I fall away Whenever I start to break So here I am, lifting up my heart If you can calm the raging sea You can calm the storm in me You're never too far away You never show up too late So here I am, lifting up my heart To the one who holds the stars
You're the one who holds the stars...."
Alors que ses intonation basculèrent de douce à plus sauvage par moment, La jeune femme se sentait totalement emportée par cette chanson. Les yeux fermés, cette dernière sortait de sa bouche le plus naturellement possible et sans réellement forcer. Alors que les trois minutes de chansons se terminèrent dans une dernière note des plus douces, la jeune femme ferma calmement ses yeux avant d'appuyer son front contre la parois de douche et de rester ainsi, immobile durant un dizaine de minutes ou le bruit de l'eau tombant sur son dos se fit entendre. Ouvrant par la suite la paroi de douche de sa main droite, elle attrapa une serviette blanche qu'elle noua rapidement autour de ses hanches. Retournant alors dans ce qui lui servait de chambre / cuisine / dressing, la jeune femme ouvrit une commode en bois ou subsistait tout ce qu'il lui restait de vêtements, c'est à dire pas grand chose. Enfilant rapidement des sous-vêtements de couleurs bleu nuit, elle les recouvrit d'un jean légèrement délavé au niveau des genoux ainsi que d'un débardeur blanc qui, suivant les regards, pouvait mettre en valeur sa poitrine. Cependant ce n'était pas suffisant... farfouillant dans la commode, elle en sorti une arme, un simple pistolet noir avec des bordures jaunes, une arme qu'elle ne quitte jamais, une armes qui fait presque parti d'elle. La camouflant à l'arrière de son pantalon et y passant le débardeur dessus, la rouquine mis doucement des bottines noires et commença à partir pour sortir. C'est à ce moment la, lorsqu'elle tourna la poignée de la porte qu'un "bip bip" provenant de son bracelet se fit entendre. Paniquer ou ne pas paniquer ? Telle est la question. Sortant simplement, un coup de clé se fit entendre, signifiant qu'elle venait de fermer sa porte à clé avant de peu à peu disparaître dans l'immeuble puis dans la foule passante de sa ville... de la ville de Melena... une des nouvelles ville de ce monde ci...
Voici le prologue d'une histoire qui me tient vraiment à cœur ! J'espère que comme j'ai aimé l'écrire, vous avez aimé la lire ! Sachez que tout au long de l'histoire, vous découvrirez de nouveau personnages, mais également les péripéties des joueurs dans ce monde ou la dystopie règne en maître. Je posterais le plus souvent possible et de manière à vous tenir en alerte. Pour faire simple ! Dans ce livre vous aurez les histoire de plusieurs personnes qui tentent de vivre, que dis-je de survivre dans ce monde la !
Voici quelques informations si vous le désirez : La chanson de la rousse : https://www.youtube.com/watch?v=NtzrLpxM298 La rousse en question :
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