Le Tombeau De Mon Graal

PROLOGUE

11/12/2018
Le tombeau de mon Graal.

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Le psychologue me dévisage d'un air impassible, ces murs blancs je l'ai et vue et revu, c'est pourtant si claire quand je passe cette porte ou le néant me demande si je vais bien , je suis perdu entre rire de folie ou de désespoir . Mais au lieux de cela , je fais perdre le temps à celui qui ne fais que relâcher et appuiyez sur son stylo . Attendant un mot , une réaction, un souffle de ma part . Alors que je n'ai rien dit depuis maintenant une bonne dizaine de minutes, il écrit sur son cahier ou cette fois ci c'est une nouvelle page qui prend . Je me demande qu'est-ce qu'il pourrait bien écrite alors que je n'est eu aucune réaction aujourd'hui, fais t'il des gribouillis ? C'est t'il quelque chose que je ne sais pas ?

Que devrais je lui dire mh ? Que depuis la semaine derrière rien n'a réellement changer , que je suis le même , que ma barbe de trois jours commence à gratter , que c'est maintenant depuis trois ans que ça en deviens une routine , oh je vous en supplie docteur épargné moi vos mots , vous voulais juste votre paie. Je le regarde à nouveau alors que j'avais la tête baissée , son regard était lourd et insistant , j'ai l'impression que je suis devant mon père et que j'ai fais une bêtise énorme et que je dois rendre des comptes. On ce regarde dans le blanc des yeux sans rien dire. Ça animé pas la pièce, derrière son bureau il y a des rideau , bleu ciel , bleu vieux , c'est là où la lumière passé et je haï ces rideau. Ils me paraissent trop , juste trop . Trop fade, trop clair , trop bleu , trop présent dans cette pièce qui est déjà assez pesante . Me voilà a m'acharnée mentalement sur des rideau qui ne vaut pas le centième de mes problèmes mais je  ne les aimes tout bêtement pas..

Hélas j'aimerais , j'aimerais dire à quelqu'un que la page qu'il viens de tourner , qui est vierge , qui n'a aucune couleur ,aucune encre dessus, représente mon monde . Sans couleur et sans goût , là où l'espoir vis de dessiné de porté des couleurs sur moi mais que les seuls que j'arrive à porté sont les seuls que j'arrive à percevoir. Mon teint est aussi blanc que cette page , et je n'écris rien , car tout est déjà tout écrit , tout est encrée dans quelques choses de profond en moi je sens la mort je sens le désarroi, le déni et le comble , la cerise sur le gâteau , je sens le regret , vide , pas totalement vide mais insensible. Je suis insensible à mon quotidien envers moi même . Le froid me gèle et la glace me couvre de sa parure  . C'est ainsi que je me meurs à petit feu .

Je tourne ma tête et je le vois assis à côté de moi , il me regarde de ces yeux noirâtre, assis sur une jambe , l'autre était ramené à son torse il laissa son bras pendre sur son genoux . Ces cheveux descendait légèrement sur son visage , un petit sourire ce forme sur son visage .

-Tu compte ne rien dire ? Me dit le noireau.

-Oh je t'en prie ferme la . Dit je en soupirant fortement.

-Vous avez parlé ? Me coupe le psychologue en arquant un sourcil ce qui me ramène à la raison , je secoue la tête en signe de négation. Mr. Delahousse s'impatiente et pose son stylo avant de ce frotté les yeux et reporte son attention sur moi .

- Monsieur Park vous ne pouvez pas restée comme ça , dites quelques choses .

-Oui allé Jaewon dis quelques choses , j'entendis le rire de cette idiot qui résonne dans mes oreilles et je fronce les sourcils en le regardant .

Je ferme fortement les yeux sachant que c'était qu' éphémère, et regarde mon psy , brûlant d'impatience.

-Je vais mal.

Tout simplement.

Tout bêtement.

Mal.

-Wouaaah! Il frappa dans ces mains , applaudissant ne cessant de rire , alors que je le dévisage.

-Ta pas trouvé mieux ?

-Oh jia ferme la..chuchotait je .

-A qui parlé vous ? Je relève à nouveau le regard sur mon psy .

-Personne.

-Vous savez vous ne devez pas vous la fermé , si c'est bien à vous que vous parlé, parler ça fais toujours du bien , je suis là pour ça , pour vous aidez à avancer petit à petit .

J'aime beaucoup sa supposition ce qui me fais légèrement rire . " Si c'est bien à vous que vous parlé" comme si qu'il ce douté que je parle avec le fruit de mon imagination.

C'est alors que je le regarde le plus sincèrement possible.

-Changez vos rideau docteur.