Imagines Harry Potter &Co

George « C'est romantique »

La petite rousse courrait vers moi, les cheveux roux volant dans le vent. Elle esquivait des élèves de 7 eme année qui rigolait et ce jetait sur moi.
-Tati! criât l'enfant.
Elle entoura de ses jambes mon bassin et mis ses bras autour de mon cou, en plongeant sa tête dedans.
-Une fripouille. Ça va mon cœur ? demandais je en lui passant ma main dans le dos.
-Oui. Tonton george est avec monsieur Rusard pour parler de ses bêtises. dit elle avec un petit sourire.
-J'ai pas le droit à un câlin moi? dit une voix derrière nous.
Je me retournais et vis mon cousin, directeur
de ce collège, accroupis attendant que l'enfant ne se jete à son tour dans ses bras.
-Jaloux. dis je en rigolant et relâchant ma prise sur l'enfant qui courra vers son oncle.
Je regardais la petite rousse courir vers le survivant et lui faire un câlin, tandis que la femme de ce dernier arrivait derrière eux, un sourire sur le visage.
-Tu as vu ton frère ? demandais je à Ginny en replaçant bien ma robe.
-Non, pas encore. dit elle en souriant toujours devant le spectacle de son homme et sa nièce.
Et tandis que moi aussi je regardais la scène attendris, je me retournais brusquement vers le couloir bondée d'élèves. Je découvris mon homme, pourchasser par le concierge de l'école, courant vers moi. Il m'embrassa vite avant de ce cacher derrière moi tel un enfant.
-Espèce de petite vermine, faite cela et je vous pend par les pieds avec mes chaînes.
-Qu'Est ce qu'il a fait ? demandais Je calmement au concierge furibond.
-Il veut faire exploser quelques chose, dans mon château! s'écriat le cracmol.
-George. dis je en me retournant. Je m'attendais à le voir recroquevillé sur lui même, avec un sourire enfantin comme quand il fait des bêtises, mais je le vis un genou à terre, tenant une petite boîte.
-Je... ok. dit il en soufflant. C'est dans ce château qu'on c'est rencontré en première année. Je me souviens je t'avais mis un explosif dans ta purée le deuxième soir.  Et au lieu de crier, tu t'étais vengée. Le tableau de l'explorateur manchot ce souviens encore de ça. dit il.
C'est aussi ici, que j'ai perdue la moitié de moi. Fred était... tout. Et j'ai cru que j'allais perdre pieds après son départ. Mais tu as été l'a. Tu savais exactement ce que je ressentais et je ne te remercierais jamais assez. Et après exactement 6 ans, 5 mois, 12 jours et 5h54 minutes de passées à tes côtés, je te le demande aujourd'hui. continuât il.
Aria Maria Queen Potter, veux tu devenir ma femme et me supporter toute ta vie? conclut il en ouvrant la boîte et dévoilant une magnifique bague brillante.
Mon cerveau eu une prise de conscience et se déconnecta. La sensation que je ressentit en elle regardant était indescriptible.
Je repris contrôle de mon corps lorsque je sentis mes joues inonder de larmes.
-Bien sur. dis je en me jetant dans ses bras.
Les personnes autour applaudissaient tandis qu'il me glissait la bague au doigt.
-Alors futur madame Weasley ? demandât Ginny toute contente.
-Tout les Potter ce marient au Weasley. dit Harry en riant.
-Je vais avoir une nouvelle jolie robe ? demandât alors Freena en me sautant dans les bras.
-Oui. On la choisira ou alors on demandera à grand mère de la coudre. dis je en prenant dans mes bras.
-Vous voyez vous avez réussis dans tout faire exploser. dit simplement en guise de félicitations le concierge en quittant l'espace.
-Alors, prête à te marier et avoir une famille rien qu'à toi ? demandât Harry en se moquant de moi.
-Prête. dis je pleine de convictions.
Et des années plus tard, je regardait les jumeaux et leurs demandaient.
-Prêts ?
-Oui maman. dirent il en même temps.
Je mis ma main sur les leurs et nous fit apparaître devant la gare King Cross.Comme toujours en début septembre, la gare était pleine de moldus, mais la voix 9 3/4 était elle dégagée. Je fis traverser le mur à Joe en premier et Neals en second, avec moi. 
Une fois se le quai, je les embrassaient simplement et leurs fit un signe de la main.
-On se revoit au prochaines vacances. dis je aux deux petits roux. N'oublier pas une lettre pars semaines sinon je demanderai des nouvelles à travers votre oncle. dis je en les voyant souffler.
-Je les ai pas louper. arrivât essouffler leur père d'un coup.
A travers le hublot et les embrassât sur le front et leur donnât chacun un paquet.
Il revient vers moi et mis son bras sur mon épaule.
-Tu leurs a donner quoi ?
-Des choses. Pour égayer leurs scolarité. Qui sait. Peut être que demain soir l'un d'eux va rencontrer l'amour de sa vie.
-C'est romantique. Si on oublis que tu viens de donner des explosifs à nos fils. dis je en regardant Le Roux au regard rieur.