Chapitre 6

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Rick

La matinée c'est déroulée sans encombres. Je ne l'ai pas croisée depuis mon arrivée. Il est midi. Je décide de lui envoyer un message. « Vous êtes-vous décidée pour ce soir? ».
« Oui je serais là ».
Je relis cette phrase plusieurs fois. Elle sera là. Je m'imagine déjà lui faire toute sorte de chose. Je me mets sur elle et la baise en regardant son visage crispé, ou je la prend fort en levrette...toutes ses pensées me font bander dur. Il faut vraiment que je me calme. Je ne vais pas pouvoir tenir ce rythme longtemps. Je sors faire des photocopies et croise mon frère.
- Alors mec, qu'est-ce que tu lui as fait?
- Comment ça?
- Tu ne remarques pas comme les bureaux sont silencieux? Rigole-t-il.
- Je pense que nous avons trouvé un terrain d'entente, lui dis-je avec un sourire forcé.
- « Un terrain d'entente ». Il me dévisage et s'éloigne en me pointant du doigt. Quel connard celui-là, pensais-je intérieurement. Rien ne lui échappe. Je retourne dans mon bureau et reprends mes occupations quand Camille ouvre la porte et dépose du courrier. Dans son tailleur/jupe elle est ravissante.
- Ne vous ai-je pas déjà dit de frapper avant d'entrer?
- Oui Monsieur Corton..., dit-elle en levant les yeux.
- Attendez. Fermez la porte.
Elle s'exécute et se retourne vers moi. Je me lève et avance vers elle.
- Si c'est pour me faire la morale pour que je frappe avant d'entrer ce n'est pas la...
Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase que je l'embrasse et la colle contre la porte. Me pressant contre elle pour qu'elle sente mon érection. Elle lâche un petit cri de surprise puis enroule sa jambe autour de ma taille. Je l'a fait s'allonger sur la moquette de bureau et commence à défaire les boutons de son pantalon. Elle est si excitante...je me dépêche de lui retirer le vêtement encombrant pour me retrouver face à sa culotte en dentelle et en soie. Wow cette fille aime la lingerie de luxe. Elle a dû lui coûter une fortune. Je ne perd pas de temps et la lui retire. Elle soupire de plaisir quand j'effleure sa partie sensible du doigt. Elle sait qu'elle ne doit pas faire de bruit ce qui rend la situation encore plus intense. Je la lèche de haut en bas et sens ses cuisses se resserrer sur moi. Son nectar est divin. Ce goût sucré qui lui est propre durcit mon érection encore plus. Je rentre ma langue et la vois se tortiller de plaisir. Elle me tire les cheveux sans ménagement en poussant de petits gémissements. Je continu de la lécher et rentre trois doigts. Quelque va-et-vient et son orgasme se déclenche. Tout son corps tremble et se resserre. Je défais mon pantalon, monte sur elle sans plus attendre et la prend d'un coup. Elle crie et je passe ma main sur sa bouche.
- Chhhht ça va aller.
- Allez-y...plus vite...me supplie-t-elle.
Je ne me fais pas prier et la pénètre fort. Elle pousse des soupirs de plaisir et fait tout pour ne pas faire de bruit. Elle m'excite tellement que je n'ai pas senti mon orgasme tout proche.
- Je suis tout près...rejoins-moi...
Ces quelques mots suffisent à la faire jouir une seconde fois. Ma voix semble la satisfaire...je note. Elle se cambre et bloque mes hanches avec ses jambes. Le mien vint juste après et je soupire lourdement.
Je m'effondre sur elle et nous tentons tous les deux de reprendre notre souffle. Nous nous regardons et se posons la même question. Est-ce mal? Après avoir repris nos respirations normales, je me redresse et la relève. Et se rhabille et elle me surprends dans la posture du voyeur.
- Vous êtes toujours en train de mater comme ça?
- Vous êtes tellement sexy Camille...
Je m'approche d'elle et l'embrasse.
- Nous devrions reprendre notre travail Monsieur Corton...Sur ces mots elle sort de mon bureau comme une voleuse et ferme sa porte. Wow...cette fille arrive à avoir un tel pouvoir sur moi...ce n'est vraiment pas bon. Comme si elle savait exactement appuyer là où ça fait mal...et me laisser en plan comme ça après ce qu'il vient de se passer. La garce. Mais malgré son caractère elle reste mon meilleur plan cul.

17h40
La journée est passée très vite. Je termine de ranger mes dossiers et lui envoie un message. « Je vous attends en bas de l'immeuble alors faites vite et ramenez votre jolie p'tit cul dans la voiture ». Elle répond aussitôt « Vous permettez? Je ne suis pas votre petit toutou à la demande. J'ai accepté par pure politesse ». Hin hin...c'est ce qu'elle essaye de me faire croire. Je la voit descendre les marches de l'immeuble et venir vers moi. J'ouvre la portière passager :
- Après vous...
Elle me lance un regard noir et je souris. Tellement charmante. Je m'assoit à côté d'elle et tourne les clefs. Le moteur vrombit et nous démarrons. Après plusieurs minutes de silence elle me demande :
- Où allons-nous?
- J'ai un préparé un diné chez moi et j'en profiterais pour vous montrer les robes commandées. Ce n'est que professionnel n'est-ce pas?
Elle me regarde de manière provocatrice et commence à me caresser l'entrejambe.
- Bien sûr...
Je souffle et reprends mes esprits en réalisant que je conduis. Elle commence à me sucer doucement puis me prend en entier. Je jure en me déplaçant sur la voie de droite. Elle entame de longues succions suivit de roulés qui me fond bondir au plafond. Quelques minutes plus tard nous sommes arrivés devant chez moi. Je ne sais pas comment nous sommes arrivés vivant...Je sors et fais le tour de la voiture, ouvre sa portière et la tire vers moi. Nous nous dirigeons vers ma porte d'entrée et j'ordonne :
- Prends les clefs dans ma poche intérieure gauche et ouvre cette porte.
Elle fouille ma veste et trouve les clefs. Après plusieurs tentatives la porte s'ouvre. Je la pousse à l'intérieur et referme derrière moi...

Improbable Où les histoires vivent. Découvrez maintenant