un jour, une femme

Partie 1

Si je te dis que tu es mon oxygène, c'est que c'est la vérité.

On dit souvent que c'est le temps qui passe, mais en réalité, c'est les choses qui se passent...Je ne saurais jamais ce que je suis devenue jusqu'au jour où nos regards se croissaient, où nos respirations s'étaient arrêtées, nos coeurs battaient à rompre. C'était, c'était un moment figé où tout le monde s'était interrompu, oui, depuis ce moment-là, je savais qu'on s'attache l'un à l'autre et qu'on se quittera plus. Et aussi pour la première fois, j'apprends à apprécier la vie.

Qu'est-ce qui nous manque pour terminer notre chance de pourvoir vivre ? C'est une question qui se répète sans cesse dans notre cerveau. Certains cherchent le côté matériel et les autres la mentalité. Ou peut-être ni l'un ni l'autre, vivre n'est qu'une chose aussi normale que rituelle. Pour moi, pouvoir vivre est bien la chose la plus chère grâce à notre originalité cérébrale, tout le monde est différent parce que tout le cerveau est différent. Et pourtant, tu es mon oxygène qui nourrit mon cerveau, mon existence et je te dis, c'est que c'est la vérité.

L'égalité entre homme et femme existe si l'on voit la vie humaine avec plus de lucidité. Par ailleurs, c'est ainsi qu'évolue l'anthropologie. Autrement, pourquoi Dieu n'a que crée Adam et Eve ? Pourquoi Adam est plus fort en corpulence alors qu'Eve est plus tendre en émotion ? Et pourquoi en plus, les deux ensemble fait prolonger la vie ? Je crois que Dieu a bien raison de créer ce monde avec son raisonnement. Parce que c'est la chose unique qu'il veut que le monde comprenne : l'amour.

C'était un soir par hasard, une de mes collègue insistait que je devrais sortir un peu pour être avec les gens de mon âge dont par exemple, son fils. J'avais jamais rencontré son fils mais elle me rassurait qu'il allait juste me présenter ses amis ou ses amies. Bien, difficile de la refuser, j'étais donc partie pour voir son fils. C'était un jeune sympathique qui avait bien suivi les conseils de sa maman devant moi. Il m'invitait dans un bar pour rejoindre ses amis. Un bar ? Cette sorte de lieu ne me dit rien parce que mes parents n'aimeraient pas que leur fille y aille où il n'y a que des voyous ou des trafics  indécents. Mais comme il n'avait pas l'air un gars louche, je commençais donc à le suivre.