"My name James, and i presur i'm a psychopat" J'adore cette phrase. Peut-être parce qu'elle me décris bien, ou tout simplement que je suis fan de "The end of the fucking world". Je ne sais pas. Mais comme je sais pas grand chose, c'est pas exceptionnel. En vérité je m'appelle aussi James, et je suis aussi un psychopathe. Et j'aimerai faire comme le "vrai" James, fuguer, me barrer, enfin respirer, mais je ne peux pas. Pourquoi? Parce que je n'ai pas de couille. Si j'en avais je serais parti depuis longtemps, vivre à Woodstock, d'amour et d'eau fraîche, avec la carte bleu de maman. Mais dès que j'essaie de fuir, de jeter tout mon passé, je pense au réaction de ceux qui appartiennent au passé. Comme si mon passé se défendait. Je pense au regard de ma mère, que j'abandonnerai, mais je pense aussi à la raclé que je vais recevoir si je reste. Et ça me fait rester. C'est pour ça que je suis un fou. C'est pas l'idée des larmes de ma mère qui me retiennent, c'est le plaisir que j'éprouve à la douleur de la ceinture contre mon dos. C'est une sensation si spécial, que parfois je me dit que je vais sortir, fuguer, avant de me ravisser, juste pour la resentir. C'est comme une bouffé de liberté, comme un prisonnier qu'ouvrirais la porte sans partir. Comme si le simple fait de pouvoir partir soulageait. Bon assez de discusion philo à la con. Aujourd'huis est un jour assez spécial. Je deteste cette phrase mais y'en avais pas d'autre pour décrire ce qui allait m'arriver, même si j'étais pas au courant. En faite c'est aujourd'huis que je tire pour la première pour la première fois. Sur un bédo. Pour la première fois je me suis drogué. Après ça ma beaucoup servie en vérité. Mais tout ça je ne le savais pas, alors on va faire comme si je vous avait rien dit. C'étais un matin normal, je me réveillait à 7h30, pour me recouché immédiatement, snooze étant devenus mon meilleurs amis quand je suis devenus insomniaque. Bref, comme d'hab j'étais en retard a cause de snooze, mais bon ça fais personne normal, et comme je déteste être normal, bah je vais dire que j'étais à mon heure, ce qui est stupide, mais original. Donc je sortais de la maison en catastrophe en courant sans avoir mangé, sans avoir dit un mot à personne quand je me rendis conte du silence qui résonait dans le quartier. Le genre de silence bruyant. Mais ce silence m'alertais sur autre chose: on étais dimanche. Je pouvais allez me recouché, malheureusement j'étais stupide, alors pour évité la normalite, je suis quand même allez devant le lyçée. En y repensant maintenant je me dis que ça à été à la fois la pire et la meilleurs erreur de ma vie. Mais bon, sur le coup, c'étais plutôt la pire. Devant le lyçée, mais quel connerie, qu'est ce que je voulais y faire?? Aucune idée. C'est faux, j'avais un espoir secret, mais tellement terrifiant que je ne vous le révèlerait pas toute de suite. La grille grise de fer austère pas très accueillante étais fermé, logique, mais pas le bar en face du lyçée. Ce bar, " Le Pelican" était génial, en principe les élèves n'avait pas le droit d'y allez, mais depuis que c'étais écris dans le réglement, on aurais dit que tous les élèves y allait un maximum, ce qui arrangeait bien Tom, le barman, et qui rendais fou Mr.Polson, notre pion principal. Donc ce bar étais ouvert, mais quand j'y suis rentré il étais vide. Depuis que les élèves y allait dès qu'il pouvait, les autres clients, les trouvant trop bruyant, avaient deserté ce bar, qui servait pourtant la meilleurs bière blonde de toute la Californie. Mais dimanche, y'avait pas cour, donc l'atmosphère d'ordinaire bruyante du bar, devenait feutré presque calme, mais le fond musical, de la country contribuait a évité ce drame. D'après moi, dans un troquet, plus l'ambiance est festive, dans le sens ou tous le monde réclame a boire en criant avec une musique beaucoup trop, plus cette une bonne ambiance. Le commerce de Tom ressemblais à ça, donc, le voir aussi calme constituait en sois un drame. Mais bon je rentrais quand même, et commandais des clopes, et un chocolat chaud. Je fumais peu, mais la j'en avais envie. Je n'avais pas la journé, car mes parents allait se réveiler, si ce n'étais déjà fais, puis allait me cherchez, donc j'avais interet à me dépecher. Finalement j'avalait mon chocolat brûlant, n'en déplaise à ma langue maintenant ébouillanté, et je sortit me griller une clope. Évidement tout ne se passa pas comme prévus, sinon je ne vous en parlerais pas, en face du bar, devant la grille austére du lyçée, se trouvait Troy Masher, Mick Sharku et Tony Mc'Luis.
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We're fucked
Teen FictionC'est l'histoire d'un ado, pommé, qui se recherche, et qui ne trouve que d'autre question.