II-Tobogan

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Le prénom Troy m'as toujours fais pensé à trol, peut-être parce que le seul que j'avais connus en était efectivement un. Gigantesque et énorme, il étais malgré tout assez athlétique. Ce qui renforcait le côté bestial de son physique, mais le pire, étais sans doute son cerveaux: vide, il ne communiquais que par de grognement guturaux, et ne conaissait que deux mot, taper et veut. C'est deux acolyte, Mick et Tony, étais du même accabit, même si depuis peu Tony me surprenais. Il avait fais preuve de reflexion en biologie. Mais bon toujours est il qu'il étais là, en face du Pélican, un bédo entre les doigt. Il m'interpella, j'haïssais quand je ne controlait pas tout. Parce que c'est quand les situation t'échappe que ça devient dangereux, après d'autre rétorquerait que c'est là que ça deviens marrant. Je suis d'accord, mais pas quand c'est à moi que ça arrive. Et là, Tony m'interpellais et je n'avais aucun échapatoire. Enfin si: partir en courant, mais j'ai beaux être un fou, j'ai ma fierté. J'y suis allé, en m'interrogeant sur quoi cette connerie allais m'emmener. Je ne les aimait pas et c'étais réciproque pour eux, donc à part des enmerde, je me demandais bien ce qu'il me voulaient. Enfin si, une clope, mais bon en vérité  il avait évolué, comme la suite allait le prouver. Ils m'ont fais tirer sur le royal quasi-pur qu'il venait de rouler. Comment vous expliquer?? Alors ils ont mis du shit, de la beuh mélangé  et quasiment sans tabac. Je n'en n'avais jamais fumé, évidement. Ils n'étaient pas devenus gentil, évidement. Je connaissait pas assez tous ça, alors je me suis pas assez méfié. Le contraire aurait été marrant, je m'imagine bien partir en courrant, paniqué, détruisant définitivement tout trace de fierté en moi. Mais pas cette fois. J'avais déjà négligé mon honneur, je me suis laissé insulté, laissez frappé, je ne voulais pas d'embrouille, ce jour là c'est comme si je m'étais révolté, j'afrontais la vie. C'étais pas une bonne idée, j'ai fais un bad trip. D'autre appelle ça un rêve indiens. Mais ça na rien d'un rêve, vertige, sensation d'étouffement, nausé, fièvre....c'est pas la chose la plus agréable à vivre. Dans cette étâts je n'ai rien vu venir. Bref, ils m'ont fais fumé, j'ai fais un bad trip, et Troy ma mis une droite, pour récupéré quoi?? De l'argent, un téléphone, et des clopes. Mais surtout pour me détruire, mais ça c'est pas pour tout de suite. Ce sont les flics qui m'ont retrouvé. Mes parents les avaient appelé vers 10h, en panique pour dire que je n'étais pas à la maison. Au débuts les policiers avaient pas trop réagit, pensant que j'allais revenir avant ce soir, de moi même. Il avait raison pour 50% de la chose. C'est une patrouille qui m'as trouvé par hasard. J'étais nu, allongé sur le sol, évanouis, en étât hypothermique, fièvreux, avec du vomis tous autours de moi, comme pour me protégé du monde extérieur. Pour me protégé du retour à la réalité, qui serait extrèmement violent. Quand j'ouvrais les yeux tous étais blanc, tous se confondais, des lumières m'aveuglait, j'avais froid, mais surtout j'étais attaché. C'est ça qui m'as vraiment réveillé. J'ai d'abord paniqué, secoué ma main, le contact du métal froid contre mon poignet me trerrorisait. Comprenant assez vite que ça ne servait à rien, je me suis calmé, ralentissant ma respiration, fermant les yeux, je décidais d'y allé plus doucement. J'ouvrais les yeux tous doucement, réalisait que mon bras gauche étais lui libre. Je me trouvais de toute évidence dans un hôpital, ce qui expliquait le blanc et les lumière. Je ne sais toujours pas ce qui m'as éclairé, mais j'ai eu un éclaire de compréhension. Ils m'avaient attaché parce que j'avais fumé et qu'ils le savait. Je ne savait pas quoi faire. Je ne pouvait pas mentir, il le seaurrait tous de suite, mais si je disait et dénonçait Troy et sa bande, dès qu'il serait libre ça serait ma fête. Deuxième erreur, après m'être dit qu'il avait changé, je refusais de les dénoncé. La suite allais encore me prouvé que j'avais enchaîné les connerie. Je ne savais pas quoi décider quand la porte s'ouvris. Un policier entra, il avait l'air cool. Il étais pas en uniforme, avec de lunette  des année 80, vous savez celle de Fred Mercury. Bref, habillé comme un hippie. Je devinais que c'étais un flic uniquement parce que je ne le connaissait pas, et parce qu'il n'avait pas la tenus d'infirmier. Ça ne pouvais donc qu'être ça, il ne me connaissait pas, il ne savait donc pas que j'avais deviné qu'il étais flic. J'avais donc un petit avantage. Enfin....j'étais toujours attaché. Donc bon....j'étais dans la merde. Il le savait, et il en à pas profité, j'aime pas les flics, je les avaient jamais aimé, en partit parce que je ne suporte pas l'autorité, mais aussi parce que depuis cette histoire, j'en ai vu plus d'un faire le connard. Mais celui-ci à été très sympa, très franc, et honnêtement il aurait pus tout changer. Malheureusement il l'as pas fait, parce qu'on ne l'as pas laissé faire.
Il est entré et s'est présenté:
-"Salut James, je suis le sergents David"
Sa voix grave et posé ne correspondait pas du tout à son physique, qui m'avait plus préparé à une voix aigus de folle. Comme quoi les prejugés sur le physique....

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 29, 2018 ⏰

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