Caste:Devant L'amour L'impossible S'incline

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Je l'entends taper la porte

Aziz: oubil bounte bi so gnémé*

Moi: mane dh Yallah défnani tapéte la *sourire *

Il rit en s'éloignant sûrement pour prendre son bain j'entends quelques minutes pour sortir avant qu'il m'attrape par la poignée de ma main

Lui: tu croyais quoi hein *

Moi: dara Ndiaye Diatta Ndiaye *

La sonnerie m'a sauvé

Lui: va ouvrir ma mère t'a sauvé *

Moi : merci maman*

Je pars ouvrir la porte exactement c'est elle et la soeur du père de Aziz Badiéne Ndoumbé Ndiaye

Moi :maman Diaw Badiéne Ndiaye*

Je plie mes genoux   comme signe de respect

Moi:  entrez je vous prie*

Eux: merci*

Maman kiné : comment vous allez j'espère que Aziz ne te fatigue pas*

Moi : pas pour autant *sourire *

Moi: et vous badiéne comment vous allez et les enfants*

Elle: ça va *

Elle est méchante cette vieille je leur sert à manger on parle de tout et de rien jusqu'à l'arrivée de Aziz il se met à côté de moi

Maman fatima :  tu m'as laissé ces temps hein tu ne viens plus voir ta maman*

Aziz: je suis trop pris je ne peux pas vous laissez*

Badiéne Ndoumbé: moh geune dh nitt bokoye bayi danga kaye dieundé kouko geune*

Fatima: wa ndoumbé...

Elle: dara waxko té dh andiwouñou li moteu kassou ataya di prétendre bok si famille bou bakheu*'

elle parle de moi je ne lui répond même pas

Maman fatima : je suis heureuse de te voir ma fille à présent  il faut qu'on parte*

Ndoumbé : mais on vient juste d'arriver *

Moi: restez un peu*

Aziz: non elles vont partir*

Je cours vers ma chambre pour prendre les 4 geztners qui me restaient et la parure d'or que Aziz m'a offert et que je n'ai jamais porté elles s'apprêtent à se lever des canapés 

Moi: maman ça c'est pour toi *

Je les donne les 2 geztners rouge et blanc

Maman fatima : aye wayeu*

Moi: yako mome  Yaye badiéne moye baye li pour ioe la*

Badiéne: hum dieureu dieuf*

La parure et les 2 autres getners c'est pour elle

Maman: aye li beuri na di*

Badiéne Ndoumbè : diomboula sa domako liguéye *

Maman fatima : ame nga dome bouye liguéye té diabaram meussouma diox Khartoum *

Aziz: salut papa de ma part*

Il ferme la porte derrière lui il me regarde je fronce les sourcils

Lui: ne l'écoute pas*

Moi: c'est rien vient on va regarder la télé *

C'est désolant d'avoir une famille comme ça