Tu es ma force (gxg) (Terminée)

Chapitre XVII

PDV Mia

Les jours passent et je me rapproche de plus en plus de Garance. Le problème c'est que maintenant, quand je le fais, je commence à ressentir des frissons. Je crois qu'elle m'attire mais comment c'est possible ? Ça doit juste être une passade. Enfin j'espère.
Le corbeau a du savoir quel choix j'ai fait car personne n'est au courant au lycée. Je culpabilise pour la copine de Garance. Si elle savait ! Elle mérite pas ça.

PDV Garance

Je crois que je suis de plus en plus attirée par Mia. Enfin disons que j'ai envie qu'elle continue ses petits trucs là, voire que ça aille plus loin...
Mais qu'est ce que je dis là ? J'aime Célia. Enfin je crois... Disons que ça va pas fort entre elle et moi. Ça doit faire des semaines qu'elle m'a pas touché. Je crois qu'elle n'a toujours pas digéré ce qu'il s'est passé la dernière fois. Je suis partagée entre essayer de la reconquérir ou me tourner vers Mia. En tous cas je sens que je vais pas résister longtemps à ses avances.
En parlant du loup, voilà qu'elle m'envoie un message. Elle me propose de venir chez moi. Vu qu'on est samedi et que ma mère n'est pas là, on aurait tout notre temps. Mais dois-je vraiment accepter ? Et puis merde, on n'a qu'une vie ! Je lui réponds positivement et elle me dit qu'elle sera là dans 20 minutes. Je l'attends.

PDV Mia

J'ai décidé de passer à l'action avec Garance. Elle me plaît de plus en plus. Je ne pourrais pas dire que c'est de l'amour mais c'est quelque chose de fort. Je me dirige vers chez elle un sourire aux lèvres. Je sonne. Elle met un peu de temps mais finit par m'ouvrir. Je ne peux plus résister. Je me saisis de ses lèvres avec le plus de tendresse possible. Ses lèvres sont tellement douces. Quand ça s'arrête, je la vois rougir.
"Euh... Tu veux rentrer... ?" Dit-elle génée. Elle est tellement mignonne quand elle ne sait pas quoi dire. Je rentre volontiers dans sa maison. Tout est très bien décoré. J'admire la déco quand je sens deux bras entourer ma taille et une tête dans mon cou.
"Mia, je pense qu'il faudrait qu'on parle, de ce qu'il se passe. Je ne sais plus si j'aime Célia. Entre elle et moi c'est compliqué en ce moment. Et pour être honnête tu m'attire de plus en pl-"
Je la coupe dans sa phrase en prenant possession de ses lèvres. Elle répond à ce baiser qui devient soudain plus fougueux. Ses mains glisse le long de mes hanches. Elle est hyper entreprenante dit donc. Mais c'est pas forcément pour me déplaire...
Elle coupe mon baiser pour m'emmener dans sa chambre, au 1er étage. Je m'allonge sur le lit, elle vient se mettre à califourchon sur moi. Elle me regarde et vient me murmurer à l'oreille : "J'ai envie de toi".
Il ne m'en faut pas plus. Je l'embrasse de manière torride et enlève mon T-shirt. Elle dégrafe mon soutient gorge et je lui retire son top. Elle m'embrasse alors dans le cou, mon point faible, et remonte parfois jusqu'à ma bouche mais ne fait que l'effleurer. Je pousse des petits soupirs. Je pose ma main derrière son cou et l'attire vers moi afin de réunir nos lèvres. Nos langues se touchent et dansent ensemble. Plus rien n'existe autour. Juste nous deux. Elle et moi. Je détache son soutient gorge et déposé d'abord des baisers innocents dans son cou, puis descend jusqu'à sa poitrine. Elle s'allonge et je continue mes baisers autour de ses tétons qui pointent à mon passage. J'en saisis alors un et le suce. Elle gémit de plaisir mais je suis loin d'avoir terminé. De ma main je défait les boutons et la fermeture de son jean. J'utilise mes deux mains pour le faire descendre jusqu'à ses chevilles. Je la regarde alors comme pour attendre sa permission. Elle hoche la tête. Je lui enlève sa culotte faisant également enlever son pantalon de ses chevilles. Je continue mes baisers sur sa poitrine mais passe à l'autre sein. Elle soupire de plus en plus. Je remonte pour embrasser ses lèvres qui me manquent déjà avant de redescendre mais cette fois je ne m'arrête pas à sa poitrine. Je descends mes baisers jusqu'à son nombril, son bas ventre et enfin son sexe. Je dépose un baiser sur son clitoris, la faisant gémir. J'en dépose alors plein d'autre la faisant gémir de plus en plus. Ma langue prends alors le relai en effectuant des mouvements circulaires. Elle donne des coups de rein comme pour me dire d'aller plus vite, ce que je fait. Ma langue se fait plus rapide. D'une main j'attrape un de ses seins et le malaxe. Je sens qu'elle va bientôt venir. Je lâche son sein et viens caresser ses petites lèvres avant de lui rentrer un doigt. Puis deux. J'accélère mes mouvements digitaux et ses coups de rein deviennent plus violents. Ma langue s'agite toujours sur son abricot quand elle lâche un ultime cri avant de se détendre. Mes doigts sont trempés de cyprine mais peu importe.  
Elle se redresse et m'embrasse comme elle ne l'a jamais fait. D'une main elle caresse mon entre jambe à travers mon pantalon. Je sens que je mouille. Elle suce un de mes tétons et malaxe l'autre. Je retire mon pantalon et ma culotte. Elle commence à me masturber en caressant mon clitoris. Je gémis. Parfois elle descend jusqu'à mes lèvres trempées de mouille mais remonte vite, ne fesant que les effleurer et me procurant des frissons.  Elle devient soudain plus sauvage et s'affole sur mon clitoris. Oh mon dieu c'est tellement bon... Je ferme les yeux pour d'autant plus apprécier cet instant. Une vague de plaisir m'envahit. Mes coups de rein, qui jusque là étaient légers, deviennent plus rapides. Je me contracte avant de relâcher tous mes muscles dans un cri libérateur.
Elle vient alors s'allonger à côté de moi en entremêllant nos jambes. Je caresse ses cheveux pendant qu'elle a sa tête sur ma poitrine et une de ses mains sur mes hanches.

"Garance, je crois que je t'aime..."