T W O

163 20 5
                                    

L'homme aux yeux noisette me fixe entrain de paniquer.

-Calme toi. dit-il en touchant mon épaule

Je retira brusquement sa main.

-Tu ne sais rien. Laisse moi. dis-je en pleurant

J'enfila mes bottes à talons, me fit une queue de cheval et couru jusqu'à la porte d'entrée. "Justin" m'avait suivit.

-Je me suis présenté, à toi. dit-il en croissant les bras sur sa poitrine

Je me mis à rire.

-Donc hier tu ne veux pas coucher avec moi, ensuite tu me fou dehors, et tu veux savoir mon prénom. Va te faire voir

-Mais je t'ai ramené dans la maison. dit-il avec un sourire malicieux

Je claqua la porte d'entrée et me mis à courir, un kilomètre me sépare de ma "maison" ou plutôt de ma prison, mon cœur bat la chamade, quelle sanction m'attend?

Je n'eu pas le temps de débattre sur autre chose que je me retrouvais sur le seuil de la porte. Je pris une grande inspiration et entra.

Ils étaient là, assis sur un canapé moisie, avec leur armes sur la table. Leurs yeux me fixaient automatiquement.

-Tu sais ce qui t'attend? me questionne un homme aux yeux vert

J'hocha la tête, mon ventre gargouillait, mes mains gesticulaient dans tout le sens, mes pieds eux aussi remuer dans mes bottes trop petite.

-Suis moi.

J'avance à petit pas, mes yeux regardent le sol, mes mains jouent avec mes cheveux abîmé.

J'entre dans une petite salle, des fouets sont posés sur une table ainsi que des couteaux, des armes à feux et des pistolets électrique.

-Assied toi.

La chaise en bois me brûle les fesses, les cloues s'enfoncent dans ma chair.

***

Le calvaire vient de se terminer. Je suis recroquevillé sur moi même, le sang sort de tout les coins de mon visage et de mon corps, les marques de fouets sur mes cuisses, sur mon dos, sur mes bras, sur mes jambes, sur mon coups enflent, les marques me brûlent le corps, le choc du pistolet électrique me donne encore la chair de poule.

J'ai besoin de soin. Mon nez est sûrement cassé, mes yeux gonflent, mes joues enflent. Je suis à l'agonie sur le sol, mon corps convulse, ma respiration se fait irrégulière, mes genoux cachent ma poitrine en sang.

J'ai besoin d'aide.

***

Plusieurs heures ce sont écoulés avant que je puisse me relever, et que je puisse désinfecter mes plaies qui on besoin d'être recousues.

Je suis dans un état déplorable, je ressemble a rien, mes cheveux sont emmêler et rêche, mon visage est un immense hématome, mon corps ressemble à de la viande coupé en plusieurs morceau. Et pourtant ce soir je dois aller travailler. Dans cet état.

Un homme entre dans ma cellule, il me tend le téléphone.

-Allô?

-Effy c'est moi. Jeremy.

Mes yeux étaient devenue deux fontaines.

-Tu..vas..bien? dis-je en pleurant

-Je vais très bien Effy. Et toi?

-Aussi.

-Ne ment pas, je sais ce que tu fais. Peux tu parler?

-Non.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Aug 27, 2014 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

-L'amour à ses raisons que la raison ignore-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant