Chapitre 2

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Après un bon dîner, je montait dans ma chambre, comme tout les dimanches soirs, je ranger mes bouquins un par un, par ordre alphabétique. Oui je suis une grande lectrice, lire c'est une passion, sa me fait oublier le mal que j'ai, je m'évapore dans un autre monde, rempli d'angoisse, de sentiments et de dragons aux yeux bleu marine. Une fois tout ranger, je me glissais dans ma couette rempli de motif de papillons. Je pris mon téléphone et j'envoyais un message à mon ami d'enfance Bryan, qui lui habitait toujours dans ma ville natale, bradford. Quand nous étions petit, nous étiez nommé " les voisins malicieux ". J'aimais terriblement ce surnom, ça nous décrivez totalement. Nous avions vécu chacun de notre côté une vie délicate, nos parents se criiez après sans arrêt, le soir quand je montez dans ma chambre je voyais ma soeur pleurer,alors je sortais avec Bryan dans la rue et nous passions nos soirées a erré dans bradford, à rire aux éclats, à nous raconter nos soucis du jour et nous nous endormions dans notre coin préférer, là où personne n'a jamais mis les pieds. Chaque lendemain matin, dès que le soleil trouver sa place entre les nuages, nous rentrions par la fenêtre de nos chambres, ni vu, ni connu, nous fesions cela a peu près cinq fois par semaine, dès que l'un de nos parenrs se crêpé le chinion. Bryan me manque terriblement, sans lui la vie nest plus pareil. Il savait pour la maladie et ne m'a jamais abandonné pour autant. Lorsque nous avions atteint les 14 ans, Bryan et moi avons fait une association pour aider les vieilles personnes financièrement, lui jouer de la guitare, il jouer comme un pro, et moi je chanter, comme une casserole bien évidemment, mais malgré ça, nous avions gagner pas mal de sous, que nous avions verser à une vieille dame de la rue d'à côté. Il a eu la même idée pour moi, une fois que ma mere fut décédés, mon père n'avais plus assez d'argent pour me payer les soins de chimio, avvec Bryan nous avions alors créé une association, nous avions gagner quatre cent dollars, ce qui m'a suffit pour deux semaines de soins, puis mon père est décédé et c'est tomber au tour de ma grand mere de me l'ai payer, elle n'avait pas besoin d'aide financièrement, elle s'en débrouiller très bien, même sans travailler.

Alors que je discuter avec Bryan ma grand mère m'interrompit et me dit :

- Amy, je sais que tu n'en a pas envie, mais sa me tiendrait a coeur que tu ailles à l'hôpital, pour la charité de demain.

J'ai dit oui sans hésiter, je voulais que ma grand mère puisse être soulagé et puis elle me paye mes soins médicaux, elle prend soin de moi comme son propre enfant, comment lui refuser ce qu'elle demande. Elle était très heureuse de ma réponse, elle m'embrassa sur le front et sortit de ma chambre.

Une rose parmis tant d'autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant